EDC de EveR~4918
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Un manque épée
- De l'Orfèvre naît l'épée -
- La Cité est ainsi faite que la nuit semble éternelle...
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- Certaines nuits ne consument qu’une vie...
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- Certaines nuits ne consument qu’une vie...
Si vous lisez ceci, alors cet avertissement est pour vous.
Chaque mot que vous lisez de ce texte inutile est une autre seconde perdue dans votre vie. N’avez-vous rien d’autre à faire ? Votre vie est-elle si vide que, honnêtement, vous ne puissiez penser à une meilleure manière de passer ces moments ? Ou êtes-vous si impressionné par l’autorité que vous donnez votre respect et vouez votre foi à tous ceux qui s’en réclament ? Lisez-vous tout ce que vous êtes supposés lire ? Pensez-vous tout ce que vous êtes supposés penser ? Achetez-vous ce que l’on vous dit d’acheter ?
Sortez de votre appartement. Allez à la rencontre du sexe opposé. Arrêtez le shopping excessif et la masturbation. Quittez votre travail. Commencez à vous battre. Prouvez que vous êtes en vie. Si vous ne revendiquez pas votre humanité, vous deviendrez une statistique.
Vous êtes prévenu...
Chaque mot que vous lisez de ce texte inutile est une autre seconde perdue dans votre vie. N’avez-vous rien d’autre à faire ? Votre vie est-elle si vide que, honnêtement, vous ne puissiez penser à une meilleure manière de passer ces moments ? Ou êtes-vous si impressionné par l’autorité que vous donnez votre respect et vouez votre foi à tous ceux qui s’en réclament ? Lisez-vous tout ce que vous êtes supposés lire ? Pensez-vous tout ce que vous êtes supposés penser ? Achetez-vous ce que l’on vous dit d’acheter ?
Sortez de votre appartement. Allez à la rencontre du sexe opposé. Arrêtez le shopping excessif et la masturbation. Quittez votre travail. Commencez à vous battre. Prouvez que vous êtes en vie. Si vous ne revendiquez pas votre humanité, vous deviendrez une statistique.
Vous êtes prévenu...
- Fight Club, Tyler -
La mise en garde entendue plus qu’écoutée, il avait osé, cherché, trouvé, tenté l’aubade puis... s’en était allé. C’était il y a des années, c’était hier, c’est maintenant. Des nouvelles çà et là glanées, il reste l’Ombre comme l’Orfèvre, aussi éthéré que l’Epée.
En transit entre une persistance et l’autre, d’un mot au suivant jusqu'au silence, l’ultime seconde, celle qui semble une éternité quand elle finit par finalement se livrer. Les âmes en Ombres chinoises tracent les pantomimes d’une fêlure sur nos deux murs ; un face à face d’abstractions ou de trop grandes réalités, hante l’espace, grave la matrice, ces pages encore intactes de notre rectitude… Nos Idéaux drapés de souhaits, les maux en ombre portée, les autres restés en suspens.
Une fusion incorporelle effleurait nos âmes désentravées en quête d’un Idéal pour lequel se battre et enfin se libérer. J’ose croire que nous avons ainsi déposée la plus improbable des plumes sur l’un des plateaux de la balance pour qu’Elle se souvienne de nous comme des espoirs qui alors nous portaient.
Les mots se sont enchaînés avec une fluidité et une complicité que je n’aurai sans doute pas soupçonnée. Un manifeste d’espoirs, d’émotions défait de toutes nécessités, juste posé là à se lire puis s’écouter ; la mélodie rythmique de tourments à partager de s’être trop retardée, dans un espace resté confiné dans nos veines, à pulser, vibrer, perdus avant même de naître -du moins je le pensais-.
Nous méditions ce futur composé d’us et d’usages, de changements en attente d’exister ou de simplement être osés.
Je me souviens avoir souhaité lui offrir la force des rêves que j’avais un jour portés, de sentiments qui érigent citadelles blanches en lieu et place des égouts pervertis par le pouvoir des possédés, lui murmurer les silences, lui souffler parfois les cris des espaces restés indomptés.
Sur l’écran vide, nos espoirs esquissaient des traits disjoints par l’espace, réunis par l’esprit pour dessiner une réalité encore intelligible, mais que nous rêvions à notre portée. Oublier les errances et trouver l’espérance. Nos vies dépérissent comme notre Histoire avec plusieurs amants, faute d’être contée ou du pantin savoir couper les filaments.
A regarder là son oeuvre sans oser.
Puis... Il les a coupés comme je l’ai fait il y a des années, a drapé ses espérances rêveuses d’apparences d’un noir d’ébène que je ne connais que trop bien et laissé souffle de pêché sur les lèvres.
Son pèlerinage entre Ombre et Lumière arpente l’échiquier entre passé dévoyé et futur simple, le présent pour seule éternité.
Il est temps.
Le présent n’a jamais su attendre.
Le présent n’a jamais su attendre.
- Extraits -
La peinture fraîche se transfert, s'écoule, teinte, se mêle, crée ou déforme... Seules les plus anciennes arrivent à s'estomper mais jamais, ne disparaissent réellement de la fresque initiale ou initiée.
Rien n’est erreur.
...Le trouble est d-osé.
...Le trouble est d-osé.
- Gustave Flaubert -
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Seules les personnes ayant accès à son carnet pourraient savoir ce qui y est écrit. Petit rappel au cas où à lire sur la présentation de son EDC.
Informations sur l'article
VIII - EmpreinteS
06 Août 2015
1367√
10☆
4◊
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Personnages cités
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Jay (569☆)
Citoyen (très) discret
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◊ Commentaires
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NeufCentÖnze (1795☆) Le 06 Août 2015
...l'impression désagréable de reconnaitre ce visage ;-) -
Nefer~54050 (135☆) Le 06 Août 2015
Elle me manque Ever x) * -
EveR~4918 (1729☆) Le 06 Août 2015
... Désagréable... mais non ! Justement c'est ça qui te plait monsieur le Boucher.
Idem Nefer.. et pas que. -
Jay (569☆) Le 06 Août 2015
Et ce n'est guère à cause d'ailes que je m'égare..
C'est simplement superbe... *