EDC de Eva~34638
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Cacher
Je vais bien ♪ Tout va bien !! ♪ ♬
-Pourquoi ?! Pourquoi à moi ? Je ... Je n'ai rien fais pour le mériter.
Il luttes pour ne pas s'évanouir, la douleur intolérable qu'il s’oblige à supporter pour rester en vie, es perceptible, à chacune de ses inspirations flétries.
Il a mal, très mal.
Il aimerais en finir sur le champs pour ne plus avoir à subir ça, ou que je le relâche. Espoir perdu mais auquel il s’accroche désespérément pour survivre.
Il a mal, très mal.
Il aimerais en finir sur le champs pour ne plus avoir à subir ça, ou que je le relâche. Espoir perdu mais auquel il s’accroche désespérément pour survivre.
-Tu m'as mentie, et c'est bien suffisant.
-En quoi ? Je ... ne vois pas où ! Sans vouloir faire de mauvais jeux de mots.
Pourquoi ? Pourquoi ?!!
Pourquoi ? Pourquoi ?!!
Il m'arrache un sourire sardonique, comment pourrait il voir quelque chose ? Je viens de lui crever les deux yeux. Ses orbites sont remplacés par une mare de sang dégoulinante, mélangé à un liquide transparent visqueux.
Sur son torse dénudé, écrit à l'emplacement de sa poitrine, le mot " Rouge " dans un mélange de sang et de fusain . Ses avant bras lacérés par de nombreux coup de ciseaux, ruisselle également, inondant le lit d'une marée sanguinolente.
Sur son torse dénudé, écrit à l'emplacement de sa poitrine, le mot " Rouge " dans un mélange de sang et de fusain . Ses avant bras lacérés par de nombreux coup de ciseaux, ruisselle également, inondant le lit d'une marée sanguinolente.
C'est jouissif, de voir cet homme dépossédé de tout ses moyens, soumis à ma merci. Sourire carnassier, j'admire encore un long moment la scène qui se présente devant moi. La donne a changer, les masques tombent ... Entre bourreau et victime, le gouffre se creuse et la situation s'inverse. Ambiance pesante, lourde, celle de la mort qui approche lentement et avec laquelle on joues dangereusement. Mais celui qui passera par là ce soir, ne s'y pensait pas prédestiné, ce qui donne à ma torture un goût de victoire infinie. Alors jouons mon ami, jouons !!!
Fermement attaché au barreaux du lit par deux paires de menottes, l'humain grelotte, frissonne ... Ses spams sont de plus en plus rapprochée, il risque de me lâcher a n'importe quels moments.
Merde, on commencer juste a discuter sérieusement et a s'amuser ensemble. Une claque bien placé et brievement donnée le ramène à son cauchemars.
Fermement attaché au barreaux du lit par deux paires de menottes, l'humain grelotte, frissonne ... Ses spams sont de plus en plus rapprochée, il risque de me lâcher a n'importe quels moments.
Merde, on commencer juste a discuter sérieusement et a s'amuser ensemble. Une claque bien placé et brievement donnée le ramène à son cauchemars.
- Hé !! Tu veux savoir pourquoi ?!
Tu le sais bien plus que tu l'imagine. Perdu, aveugle,et malléable. Faible, soumis ...Prisonniers de ta souffrance. C'est cette douleurs que moi, je ressent continuellement. Une douleur qui ne se serait jamais réveillé si des types comme toi ne m'avais pas "punis" plus jeune, en me volant tout ce que j'avais. La réalité fais mal ... N'est ce pas ?!
TU COMPREND ? Allez ... Dis moi que tu comprend !!!
Bien sur que non, il ne comprend rien ... Le pauvre n'avais rien d'un mauvais bougre, il as simplement voulu jouer avec la mauvaise fille, et maintenant .. Le voila.
Voila ... Le point ultime de résignation. La réalité.
Il réalise qu'il ne peux plus rien pour se sauver, que c'est perdu d'avance ... Il comprend que je suis beaucoup trop furieuse pour le laisser en vie, ou pour mettre un terme a son agonie. Je jubile d’avoir enfin le contrôle.
Lui, il ressassent, les dernières et interminable minutes qui l'ont mener jusqu'ici.
Le temps nous échappe parfois, accélérant le pas pour certain d'entre nous, nous plongeant dans un profond sentiment d'injustice.
Il s'en veut d'y avoir cru ... D'avoir espérer pouvoir trouver un peu d'amour et de tendresse a mes cotés. De s’être fait berner par une gosse ... Ou du moins, ce qui lui paraissait l'être. Alors que je ne suis que haine et désespoir.
C'est le derniers visage qui lui sera donné de voir, dans cette vie, le visage de l'écorché, de l'âme meurtrie, du monde macabre qui hante la cité, celui de la souffrance.
Il abandonnes.
Il l'avais cherchée, en l’appâtant sournoisement . Il avais jouer la carte de la confiance " viens, j'ai son numéro de communicateur chez moi !" lui avais t'il dis pour l'attirer jusque dans sa chambre. Crédule, Elle l'avais suivie. Mes yeux invisible les surveillaient, omnisciente. Les faux pas ne leurs étaient pas permis, sinon ... je me devais de refaire surface.
Pourtant, peu après, il accumula les erreurs ... Fatalement, il courait déjà a sa propre perte, de part les pensés obscure qui l'habité. Profitant de la faiblesse de Mon coté gamin, de mes psychoses, c'était prévisible ... tellement prévisible.
Tout ce paye un jour, et parfois ... La note arrive plus vite qu'on ne le croit.
Pourtant confiante et jovial, sa poupée dans les bras, Elle avais suivie aveuglement cet impérialiste, certaine de pouvoir enfin récupéré les informations qu'Elle venais chercher. Mais quand la porte de la chambre ce referma sur eux, et que sa peau effleura la sienne, mon retour fut soudain et brutal. Omniprésente.
Une onde de choc dans mon esprit, un flash ... Puis la migraine qui réveille du mauvais pied.
J’éjecte la poupée sur le lit,L'enfant qui accaparais mon esprit, ce souvenir tenace qui contrôlais mon corps, m'avais guidée jusque dans cette chambre. De peur, elle, se terre maintenant dans son cocon, laissant place à la violence qui découle de l'incompréhension. La grande protectrice d'elle même. Mon attitude à changer, ma confiance me guide, et ma colère me pousse. Il flanchera avant moi.
J’éjecte la poupée sur le lit,L'enfant qui accaparais mon esprit, ce souvenir tenace qui contrôlais mon corps, m'avais guidée jusque dans cette chambre. De peur, elle, se terre maintenant dans son cocon, laissant place à la violence qui découle de l'incompréhension. La grande protectrice d'elle même. Mon attitude à changer, ma confiance me guide, et ma colère me pousse. Il flanchera avant moi.
Je pestes en me ressaisissant :
-Putain !!! Nyah .. tu m'fou encore dans la merde !!!
L'homme ne comprend pas, il me regarde, moi la femme mature aux cheveux rouge gronder son baigneur, dans un dialogue à sens unique, hésitant. Ce n'es plus la même ... Non !
Finalement, il tente tout de même de m’empoigner le bras en m'interpellant sèchement :
Finalement, il tente tout de même de m’empoigner le bras en m'interpellant sèchement :
-Tu débloques ?
Deuxième Erreurs
A son réveil, il avais toujours ses deux lobes. Mais un sérieux mal de crâne. Le coup de cross doit y être pour beaucoup, mais qu'importe. Je contrôles !
Il était déjà attaché et a moitié nu. Le tableau qui se présente devant lui le paralyse, je le fixe en coiffant mon jouet d'une main, la femme pure qu'il draguais plus tôt n'existe plus, elle dort bien a l’abri dans le phylactère que mon coté vindicatif protège envers et contre tout.
Dans ma main gauche, une paire de ciseaux. Je parles seule, du moins c'est ce que le type en perçoit, mais c'est tout autre chose dans ma tête.
Dans ma main gauche, une paire de ciseaux. Je parles seule, du moins c'est ce que le type en perçoit, mais c'est tout autre chose dans ma tête.
-Tu vois qu'on peux quand même y arriver a deux. C'est même mieux. Tu les attirent et je les saignent. C'peux être fun !
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-Tu crois qu'il allais faire quoi avec nous ? Une partie d'carte ?! Tôt ou tard, tu aurais eu mal ... Physiquement ou mentalement. Il dois être puni. Pour qu'il comprenne qu'on ne te touche pas, que tu n'es pas faible, que moi j'suis aussi là pour te proteger !
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-Tu m'emmerdes avec tes conneries !!! J'ai pas envie d'retourner en taule. Tu crois qu'il feront quoi de ta poupée cherie la bas ?! Si ça arrive hein ?!! Laisse moi gérer, maintenant!
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- Mais... tu es folle ma parole ...
A qui tu parles ??!!!
Détache moi grogniasse!!!! Ou je te jure que ...
A qui tu parles ??!!!
Détache moi grogniasse!!!! Ou je te jure que ...
- Que quoi ?!! T'es pas en position d'force pour jurer quoi que ce soit ! Donne moi l'numéro de communicateur et j'te fou la paix ...!
- Tu peux te le carrer où je pense ton numéro d'id, si tu le trouve un jour... haha.
Je la connais pas ta mère, j't'ai mentie !!! Casse toi maintenant !
Je la connais pas ta mère, j't'ai mentie !!! Casse toi maintenant !
Troisièmes erreurs
C'est trop tard.
La poupée es écarter, ignorée ... Il n'existe plus que la souffrance à cette instant. Mes yeux rougies par la rage, se braquent sur le pauvre impérialiste. Sa soirée es foutu mais la mienne sera libératrice.
Nyah surveille, pas très loin, le carnage qui s'opère devant elle, comme la 1er fois. Je la regarde un instant, et revois ma vie passé au travers de ses yeux cristallins et innocent.
C'est comme une vieille musique ...
Une musique mélodramatique en répétition, une douce musique qui attriste mais qui soulage. Une musique qui se réécoute sans fin, bien qu'elle nous tourmentes, on aimerait tant pouvoir la partager avec quelqu'un, quelqu'un qui puisse la supporter ... autant qu'on la subit.
Les notes sont précises, inchangées.
La poupée es écarter, ignorée ... Il n'existe plus que la souffrance à cette instant. Mes yeux rougies par la rage, se braquent sur le pauvre impérialiste. Sa soirée es foutu mais la mienne sera libératrice.
Nyah surveille, pas très loin, le carnage qui s'opère devant elle, comme la 1er fois. Je la regarde un instant, et revois ma vie passé au travers de ses yeux cristallins et innocent.
C'est comme une vieille musique ...
Une musique mélodramatique en répétition, une douce musique qui attriste mais qui soulage. Une musique qui se réécoute sans fin, bien qu'elle nous tourmentes, on aimerait tant pouvoir la partager avec quelqu'un, quelqu'un qui puisse la supporter ... autant qu'on la subit.
Les notes sont précises, inchangées.
Alors je perces et mutile, pousser par une fureur enfouie depuis trop longtemps, qui me contrôle. Comme si je revivais encore et toujours cette nuit là. Mais cette fois, c'est moi qui tiens les ciseaux !Et si je ne contrôle pas ma propre douleurs, je suis capable de contrôler la sienne, là ... A cette instant !
Il n'existe plus de lui, qu'un défouloir, un sac de viande, sur lequel exprimer quelques choses d'ineffables.
J'ai envie de hurler, a m'en décoller les tympans et à m'en éclater les cordes vocal.
La douleur c'est comme un cancer, ça vous ronge, vous consumes .. Ça engloutie votre vie, et l'avale à petit feu. Il n'y a aucuns mots capable d'exprimer ce qui vous brûles. C'est tellement plus gros que sois, plus imposant. Alors on cherche simplement quelqu'un qui comprennes, capable de dire " Oui, je ressent la même chose" et qui ne juges pas, qui vous aides bien malgré lui ou de son plein grès, sans jamais vous abandonnés.
On tente de s'en libérée, mais malgré nos effort pour l'écarter, pour la combattre ... elle revient toujours, bien plus forte que sois même ! On aimerait l'ignorer, ne plus la voir ... Et pourtant, à chaque clignement de paupières dans l'obscurité qui nous habites, elle nous guettes, prête a bondir.
Il n'existe plus de lui, qu'un défouloir, un sac de viande, sur lequel exprimer quelques choses d'ineffables.
J'ai envie de hurler, a m'en décoller les tympans et à m'en éclater les cordes vocal.
La douleur c'est comme un cancer, ça vous ronge, vous consumes .. Ça engloutie votre vie, et l'avale à petit feu. Il n'y a aucuns mots capable d'exprimer ce qui vous brûles. C'est tellement plus gros que sois, plus imposant. Alors on cherche simplement quelqu'un qui comprennes, capable de dire " Oui, je ressent la même chose" et qui ne juges pas, qui vous aides bien malgré lui ou de son plein grès, sans jamais vous abandonnés.
On tente de s'en libérée, mais malgré nos effort pour l'écarter, pour la combattre ... elle revient toujours, bien plus forte que sois même ! On aimerait l'ignorer, ne plus la voir ... Et pourtant, à chaque clignement de paupières dans l'obscurité qui nous habites, elle nous guettes, prête a bondir.
Et ce soir, même si la méthode es violente, elle n'en reste pas moins libératrice.
Alors nous y revoilà ...
Fatalement, il abandonnes.
Dans un gémissement des plus pitoyables, il plonge dans l'inconscience et attend d'être emporter, loin de son calvaire. Il ne dis plus rien, sa respiration haletante sonne comme une funeste minuterie.
Il veut partir.
Enlaçant mon baigneur, je perfore sa poitrine dans un dernière élan de hargne, le dernier coup, celui qui achève mais qui libères. Son corps devient immobile, calme ... Serein.
Tandis que mon cœur, se serre, en me penchant au dessus de son visage avant que celui ci ne disparaisse, une de mes larme s'écrase sur sa joue.
Ça me déçoit toujours ... Cet abandon incontrôlable.
Il veut partir.
Enlaçant mon baigneur, je perfore sa poitrine dans un dernière élan de hargne, le dernier coup, celui qui achève mais qui libères. Son corps devient immobile, calme ... Serein.
Tandis que mon cœur, se serre, en me penchant au dessus de son visage avant que celui ci ne disparaisse, une de mes larme s'écrase sur sa joue.
Ça me déçoit toujours ... Cet abandon incontrôlable.
-Je croyais vraiment que tu voulais m'aider ... Je pensais que tu était sincère ... Mais finalement, vous êtes tous pareil ! Des menteuuuurs et des lâches. !!!
Rituel incessant, les ciseaux à la pointes ensanglanté et la trousse à fusain retrouvent leurs places dans la petite poche avant de mon sac à dos noir, j'enroule ma poupée dans la serviette blanche qui lui sert de protection et la range dans la grande ouverture, avec les menottes et les bouteille de Vod'. Je regarde une dernière fois le drap rougie en son milieu. Magnifique contraste avec le blanc d'origine.
Ce soir, j'ai eu le sentiment d'être comprise et que quelqu'un partager ma douleur.
Cette air de musique, je ne l'avais pas entendu depuis des années ... Souvenir tenace, accrochée, rythmant ma vie depuis mon enfance volé.
Il n'aurait pas du me mentir, il aurait pu finir autrement. Mais la route qu'il a choisie d'emprunter n'était malheureusement pas la bonne.
Mon sac à regagner mon dos, et je trace rapidement à travers les ST, il me faut une douche ... Laver les restes de cette rage étouffante, éteindre mon esprit quelques minutes et regagner cette vie ... Banale, d'alcoolique antipathique, l'air de rien.
Tout vas bien ...
Tout vas bien !
Tout vas bien ...
Tout vas bien !
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Informations sur l'article
En vrac
22 Juillet 2013
1389√
5☆
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◊ Commentaires
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Léonie (322☆) Le 23 Juillet 2013
Je remercie ma dose de vitamine de pimenter nos rencontres.