EDC de Ethayel~30165
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~ Osmose ~
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Parlons du beau temps ou même de la pluie,
Raconte-moi tes peines, cachées par tes sourires,
Les notes de ta voix illuminant ma symphonie,
Fuyons, rions du hasard, le destin le fait médire.
Mais que vois-tu aujourd’hui? Par pitié, dis-le-moi?
Mon amour, je me perds encore sur tes rivages,
Je m’accroche dans ce désert, où le soleil ne vient pas,
Mon amour, l’espoir n’est-il plus que naufrage ?
Mon amour, je me perds encore sur tes rivages,
Je m’accroche dans ce désert, où le soleil ne vient pas,
Mon amour, l’espoir n’est-il plus que naufrage ?
J’aurai le mal de toi, mais j’embrasse nos souvenirs,
Ce soir je ne peux plus toucher ton visage,
La chaleur d’un amour blessé qui ne veut partir,
Je rêve et ferme les yeux, ton corps nu est mon image.
Ce soir je ne peux plus toucher ton visage,
La chaleur d’un amour blessé qui ne veut partir,
Je rêve et ferme les yeux, ton corps nu est mon image.
De toutes ces rimes brûlées, par mes phalanges arrachées,
De ces instants immondes où je te voyais pleurer,
Je ravale mes sentiments, hélas de travers,
Je ne compte plus les larmes qui débordent de mon verre.
De ces instants immondes où je te voyais pleurer,
Je ravale mes sentiments, hélas de travers,
Je ne compte plus les larmes qui débordent de mon verre.
Il était un monde, un ciel bleu dans une vallée d’ombre,
Comme elle était belle, cette romance solennelle
Des pages blanches salies, ces mots perdus en nombre,
Des portes s’ouvrant hier sur de glacés soleils.
Comme elle était belle, cette romance solennelle
Des pages blanches salies, ces mots perdus en nombre,
Des portes s’ouvrant hier sur de glacés soleils.
Toutes ces proses envolées, ces discours romantiques,
Accablent une peine devenue atavique.
Pleurer les soins du temps coulants d’un cœur crevé,
Des horloges sans sommeil, d'une âme rapiécée.
Accablent une peine devenue atavique.
Pleurer les soins du temps coulants d’un cœur crevé,
Des horloges sans sommeil, d'une âme rapiécée.
Parlons de l’amour, de nos étreintes les soirs de pluie,
Raconte-moi tes rêves, égayés par tes rires,
La beauté de tes secrets au milieu de la nuit,
Dormons mon amour, il est inutile ce soir… de partir.
Raconte-moi tes rêves, égayés par tes rires,
La beauté de tes secrets au milieu de la nuit,
Dormons mon amour, il est inutile ce soir… de partir.
Informations sur l'article
[HRP] Oeuvres diverses
04 Mars 2013
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