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Projet les "Enfants Perdus", archive vidéo n°874-5963
utilisateurInconnu@PEParchive >>> Accès à l'archive vidéo, lecture en court
Deux hommes en blouse blanche regardent dans une cellule, à l'intérieur, la créature difforme mi-homme, mi-machine est recroquevillée dans un coin. Il lui manque son avant bras droit et sa jambe cybernétique. Il est habillé d'un vêtement bleu d'hôpital.
Médecin 1 : Je comprends pas pourquoi on le fourre pas dans un maturateur et basta !
Médecin 2 : Je sais pas, le psy a encore monté la tête du général avec son projet des « Enfants Perdus ».
Médecin 1 : Qu'est-ce qu'il espère en obtenir, c'est même pas humain ! Ce petit enfoiré à mordu Gael à la gorge lorsqu'on l'a amené ici, il a faillit finir en cuve.
Médecin 2 : Ca te tente pas ?
Médecin 1 : De quoi ?
Médecin 2 : D'aller lui caresser un peu le poil ? Il est encore sous sédatif en plus, il pourra pas se défendre.
Médecin 1 : Carrément !
Médecin 2 : Je sais pas, le psy a encore monté la tête du général avec son projet des « Enfants Perdus ».
Médecin 1 : Qu'est-ce qu'il espère en obtenir, c'est même pas humain ! Ce petit enfoiré à mordu Gael à la gorge lorsqu'on l'a amené ici, il a faillit finir en cuve.
Médecin 2 : Ca te tente pas ?
Médecin 1 : De quoi ?
Médecin 2 : D'aller lui caresser un peu le poil ? Il est encore sous sédatif en plus, il pourra pas se défendre.
Médecin 1 : Carrément !
Les deux hommes sortent des matraques électriques et se dirigent vers la porte de la cellule. Un grand elfe baraqué surgit derrière eux et encastre la tête du premier dans la paroi vitrée, avant de se tourner vivement vers l'autre médecin. L'elfe à les cheveux grisonnants, une aura de charisme et d'assurance semble briller autour de lui.
Elfe : Ramasse ton copain et file pointer au C.I.P.E connard !
Médecin 1 : Mais, docteur...
Elfe : Il n'y a pas de mais, dégage !
Médecin 1 : Mais, docteur...
Elfe : Il n'y a pas de mais, dégage !
Un militaire, vraisemblablement un haut gradé, arrive tranquillement dans le dos du docteur, alors que les deux humains s'enfuient comme ils le peuvent. Il tends une assiette pleine de nourriture à l'elfe qui s'en empare et regarde à travers la vitre, les mains croisées dans son dos.
Militaire : Un passé dans l'armée ça ne s'oublie pas, hein doc ?
Elfe : On pourrait le croire, mais il y a des choses qu'on choisit tout de même d'oublier.
Militaire : Vous pensez vraiment arriver à un résultat avec ce monstre ?
Elfe : Vous savez ce qui va se passer si on le met en maturateur maintenant ?
Militaire : Il oublierait tout, mais garderait une chance sur cent de se souvenir un jour.
Elfe : Les chance de recouvrer la mémoire sont en réalités plus élevées que ça mais le problème est ailleurs. Imaginez un jeune enfant, torturé, implanté et transformé en machine de guerre, si on lui efface la mémoire, on ne résoudra rien, la violence sera inscrite dans son inconscient et il deviendra violent en grandissant. Nous devons l'apprivoiser dans un premier temps, comme avec un animal, puis le rééduquer avant de l'envoyer en maturateur.
Elfe : On pourrait le croire, mais il y a des choses qu'on choisit tout de même d'oublier.
Militaire : Vous pensez vraiment arriver à un résultat avec ce monstre ?
Elfe : Vous savez ce qui va se passer si on le met en maturateur maintenant ?
Militaire : Il oublierait tout, mais garderait une chance sur cent de se souvenir un jour.
Elfe : Les chance de recouvrer la mémoire sont en réalités plus élevées que ça mais le problème est ailleurs. Imaginez un jeune enfant, torturé, implanté et transformé en machine de guerre, si on lui efface la mémoire, on ne résoudra rien, la violence sera inscrite dans son inconscient et il deviendra violent en grandissant. Nous devons l'apprivoiser dans un premier temps, comme avec un animal, puis le rééduquer avant de l'envoyer en maturateur.
Le militaire se tourne vers l'elfe qui entre alors dans la cellule, l'assiette à la main. Aussitôt le cyborg tente de se montrer menaçant et tente de parler, mais les sons produits sont tout bonnement inintelligibles. Sans chercher à s'approcher plus que ça, le docteur pose l'assiette au milieu de la pièce et va s’asseoir à l'autre bout de la cellule.
Militaire : J'espère que vous avez raison doc, j'espère que vous avez raison...
utilisateurInconnu@PEParchive >>> Lecture terminée
Informations sur l'article
Les Enfants Perdus
03 Août 2012
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◊ Commentaires
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Erwhann~29050 (16☆) Le 03 Août 2012
C'est pour respecter les quotas de diversité des minorités visibles.
Sans compter qu'il parait que ton elfe te tord en deux quand elle veut