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#7 - Crise aux Gnolls [EVENT : TDG-1]

Retracé des posts sur la page de l'Event TDG-1
Seras mis à jours à nouveau post de ma part.
Entrée #7 :
"Crise aux Gnolls" - 23441
Jour 1

► Partie 1
Heptade pourrie !
Déjà une soirée qui s'est mal déroulée puis la suivante avec une attaque de rats mutants.
Elle essayais de rester autant que possible au calme, sa famille allant aider à la lutte. Dans la même journée une Hostis qui vient d'amuser avec une ceinture de grenade un peu partout dans le secteur.

Elle se disait qu'elle resterait en sécurité dans son lit jusqu'à ce que la situation dégénère de tous les cotés. Elle s'empressa de vérifier si son oncle avait bien vu un médecin avant d'essayer de venir en aide.. Un de ses amis et collègues contacte sur le canal global : Il est contaminé, et veut qu'on lui vienne en aide avant qu'il ne blesse quelqu'un, et ce quelqu'un ça allais être elle. sa combinaison ne l'aurais pas protégée de la sulfateuse qui l'attendais, prévue pour ne pas finir dans le même état. Elle est amenée en urgence à l'HI, bloc opératoire avec un chargeur complet de sulfateuse à extraire de sa carcasse, tandis que la tension ambiante est à son apogée.

Elle se réveil alors que la situation reviens globalement sous contrôle, bandée et sous perfusion sanguine ayant échappé à la cuve de justesse, avec pour seule envie de sortir d'ici, se heurtant même à son supérieur qui refuse de lui accorder cela. Une percée douloureuse voilà ce qui la ferais sortir d'ici. Elle rassemblas ses force pour se mettre à courir et éviter ses collègues et personnes réquisitionnées pour assurer la sécurité. Un effort qui fonctionnas.

La moindre chose qui la contrariait entrainais une réponse assez épineuse, et pour le coup, si elle serait rester, elle se serais attiré des ennuis en se jetant sur le Lord commissaire adjoint, sans compter que l'Hôpital était surpeuplé. La moindre douleur de ses blessures la contrariais tout autant qu'il la rendais hors d'état de nuire.
► Partie 2
Dans son nid, et assommée à coup de somnifères, la plumette avait fait l'erreur d'aller prendre le smog pendant que celle avec qui elle veillait dormais. Les rues étaient désertes, normal vu l'état de crise que le secteur subissait. Sur sa rapide promenade sous module elle croisa le chemin de son oncle, pris de conversation avec un gobelin qui ne lui revenais pas en tête. Elle écouta leur conversation discrètement avant de se faire remarqué, même si calme avec les médicaments ingérés, calme qui ne dureras pas si longtemps avant qu'un de ses collègues kobold ne fasse savoir sa présence et.. rien que sa présence a suffis à ce qu'elle aille lui placer les deux cannons de ses deux 9mm en face de ses deux orbites, prête à tirer et pas d'humeur à être raisonnée par la maladie, même avec son oncle tentant de la tranquilliser d'avantage, pour finir sonnée par la douleur d'un nouveau tir droit dans son épaule.

Elle n'était plus une vaut' trainant sa carcasse en étant infectée, et donc une potentiel menace, mais un corps aussi percé qu'une passoire entre les tirs de l'après-midi et là, affaiblie physiquement, mais déterminée à retrouver un endroit calme. Elle est laissée avec son collègue avec pour indication de la part de son oncle qu'il la ramène chez elle.. jusqu'à une phrase qui fit déclic :


"Écoute, je suis désolée mais je t’emmène à l'HI pas chez toi."
"Tu. Ne. Me. Ramène. Pas."

Elle grognas avant de venir, malgré sa combinaison à lui planter ses serres dans son cou pour se libérer et s'enfuir.. Avant qu'un second déclic la prend : Quirin, son ami et collègue, qui l'avait mitraillé plus tôt sur une crise qui venait en renfort, une seule envie, lui rendre la pareil. Elle se débat avec un violent coup de serre avant de pointer un de ses 9mm vers lui pour détoner le plus de tirs possibles, avant de recevoir un coup de crosse pour l'envoyer dans les vapes.

A son réveil, elle ne comprend pas très bien ce qui s'est passé, elle est toute étourdie et tranquillisée, sans se rendre compte de suite d'être attachée et allongée. Elle cherche un détail de là où elle est avant de remarquer un présence familière, celle de sa cousine qui viens s'occuper assez particulièrement d'elle. Les premiers mots qui viennent sont calmes mais prouve son état.


"Cousine.. tu m'aideras.. à sortir.. ?"

L'échange ne vas pas dans son sens, sa cousine préférant obéir aveuglément à des ordres, presque prête à la cuver sur place si on lui disait.. Ce qui viens évidement l'agiter. Elle se débat dans son lit, s'énervant, allant même à menacer sa cousine de représailles, dans le cas où elle refuserais de l'aider, avant d'essayer de se libérer un bras en limant les sangles de ses serres ce qui entrainas l'ordre de l'assommer.. ce que sa cousine fis, la calmant d'un coup sec avant d'aider à resserrer ses sangles, à la limite de l'étouffer sans même faire attention à ses blessures. Elles lui enroulent du tissus pour neutraliser ses serres et la laisse continuer à de s'énerver. Elle niait le fait d'être atteinte, dans le seul objectif qu'on la laisse sortir.

Plus tard, le Lord commissaire adjoint, son supérieur, passe alors qu'elle essaie de ronger non sans mal la sangle qui la retienne, venant lui injecter une dose de produit pour calmer la vautourde fiévreuse et hystérique. Le temps passe, lentement, encore plus entre la douleur de ses liens et le calme qui reviens. Encore plus tard dans la nuit, plusieurs autres atteints sont amenés, parmi eux des amis, des inconnus, mais elle entend aussi la voix de son oncle. L'une d'entre eux est amenée en isolement, laissant la salle sans surveillance. Peut de temps s'est écoulé avant qu'une des éveillées de la salle n'arrive à glisser hors du lit pour venir les détacher, le sas verrouillé, mais s'ouvrant suite à l'exposition de l'insigne de la vaut'. Les trois s'évadèrent et des bruit étranges étaient audibles de la salle d'isolation, mais elle ne perdis pas de temps, peur d'être de nouveau attachée dans une salle surpeuplée, filant vers son nid pour récupérer, épuisée et toujours fiévreuse, énervée pour un rien.
Jour 2
Une journée de plus en sentant l'enfer dans son pauvre crane. La fièvre ne se calme pas si bien et les somnifères manquent. Des le réveil ils deviennent nécessaire pour rester calme.

La nouvelle journée progresse assez rapidement, la plumette cherche à se reposer le plus possible, mais une crise lui viens dans l'après midi en repensant à la veille.. Trahie par sa cousine, ses amis et ses collègues, de nouveau une seul pulsion : se défouler, et rien de mieux pour se défouler sans prendre le risque d'aller se faire abattre que de redécorer la chambre de sa cousine et détruire des canettes à coup d'arme à feu ! ..Il n'y avait pas vraiment d'autres options pour le coup, surtout avec cette fièvre qui empêche de réfléchir efficacement sans s'énerver sur les détails.
On ne lui avait pas confisqué ses 9mm et sa réserve lui donnait autant de canettes de Glukoz' qu'elle souhaitait, et elle commença par ça, tirer un meuble dans une salle à part pour y aligner des canettes pour venir leur envoyer un flot de balles,


"Celles là.. c'est pour cet enculé de Quirin.. !"

limite en bonne folle de la gâchette,

"Celles là.. c'est pour ma traitresse de cousine.. !"

laissant le pauvre mur derrière criblé comme sa pauvre carcasse la veille.

"ET Celles là.. pour m'avoir.. attaché à un lit !"


Et ça ne suffisait pas. Deuxième étape : une petite re-décoration façon destroy dans cette chambre qu'occupait sa cousine en temps normal. Un vautourde, c'est pas forcément très résistant au niveau des os, mais les serres sont aussi dangereuse que des griffes classiques. Les meubles, particulièrement ceux en tissus, y sont passés, à présent en sale état. Et même après s'être défoulée, quelque-chose continuait de la déranger.. cet état fiévreux et omniprésent, une seule solution, les somnifères non prévus pour ça : une douche. Une douche gelée pour aider à réguler la température de son corps, comme après une plongée épuisante, même si la situation était différente.

Pendant qu'elle refroidit sa tête fiévreuse l'alarme retentis sur son com.. Le CdO ? Militarium ? N'importe qui qui souhaiterait vouloir lui repasser des liens pour la coller dans un lit ? Pas le temps d'essayer de voir qui s'est, mais il n'est pas autorisé, le module est la seule option pour sortir sans se faire voir. Le cadet ? Il faisait quoi ici ? Comment avait-il eu le digicode ? Il était seul et dans un geste sécuritaire elle essayas de le plaquer museau contre le sol avec un clé de bras.. Dieux que c'est agile un kob', même attrapé il réussis à se retourner et se libérer. Il était là pour prendre des nouvelles, profitant d'ailleurs pour lui laisser quatre seringues tranquillisantes. Finalement, c'était plutôt une bonne chose qu'il soit passé, permettant à la plumette somnoler paisiblement, sans être dérangée pour la nuit.
Jour 3

► Partie 1
Réveillée par la douleur de sa respiration et de ses blessures, la plumette ne donnas pas plus de solution à sa moitié d'utiliser une seringue de tranquillisant, réduisant d'avantage les stocks qui sont déjà ridicule. Mais la petite envie d'aller prendre le smog était bien plus particulière. Plus ça allait, plus cela devenait un besoins, un besoins qui lui provoqua une sensation d'étouffement entre les murs de son nid.

Sous effets des tranquillisants, son elfe la sortit, lui permettant de prendre un grand et longue bouffée de smog qui l'apaisa presque aussitôt. Les douleurs de la maladie s'estompèrent, même si celles des blessures restèrent. Elle étouffais moins qu'avec de l'air purifié, présent dans le nid et une idée lui est venue.


"Dit.. tu pense qu'on.. pourrait isoler une pièce.. et démonter la fenêtre.. ?
Pour prendre le smog.. sans avoir à sortir.."

Étrangement, la réponse de l'elfe était positive, elle voulait sincèrement prendre soins de sa plumette, elle était la seule saine d'ailleurs à ne pas lui vouloir explicitement du mal, ou l'attacher et la neutraliser.. Sa seule présence l'apaisait déjà d'une certaine manière.

Leur petite sortie auras durer deux trois cycles, avant qu'elle ne la fasse rentrer, elle même épuisée dans sa combi depuis trois jours. La vautourde ne voulais que ressortir, éviter de se sentir étouffée de nouveau.. Ce qu'elle fit, elle en profita même d'une erreur durant sa dernière capture : lui avoir laisser son badge du CdO. Ni l’ascenseur, ni les sas ne l'on stoppé, et son module était actif du long, passant pour l'AI qu'elle était au vue de la sécurité, et un courant d'air pour le personnel. Elle fouillas les deux salles qu'elle avait vu avec des infectés, cherchant des connaissance qui avaient été amenées ici. Mais seul qu'elle trouvé était une kobold féline, qui avait essayer de l'aider lors de sa dernière capture. Elle passa un coup de kanuf sur ses liens avant de se faire attraper par derrière, par surprise. S'en était fini ? La sécurité laissait à désirer, non seulement la kobold avait réussis à disparaitre alors que la salle était bondée, mais en plus elle a été relâchée.

"On peut m'expliquer pourquoi y'a une agent du CdO qui s'amuse sous module ?"

Mais quel blague ! Même pas ils ont fait attention qu'elle n'était pas munie d'un masque mais en plus ils la laisse filer comme si de rien n'était ! L'erreur lui avait au moins permis de ne pas finir attachée à un lit de nouveau, mais en plus de ramener la kobold au nid.

Mais les ressources en calmants étaient déjà faible pour une, et désormais nul pour deux.

► Partie 2
Une bonne nouvelle, enfin ! Et celle-ci venait de sa cousine. Elle allait venir, se libérer pour venir à l’abri dans le nid avec un petit stock de calmants et de la morphine. Elle est blessée, mais bon.. La colère, assimilée à cette cousine, qui l'a laisser attachée sur un lit et l'a assommé. Cette colère s'éveille alors que le cadet lui fait passer la porte en chaise roulante et, tant qu'elle en avait encore les moyens, elle confia une seringue à l'elfe pour ne pas avoir à se jeter sur elle.

Une seconde bonne nouvelle suivit, ceux toujours à un stade peut avancé pouvaient revenir à un état normal.. Quelle bonne idée, d'exposer la situation en face d'elle alors que les calmants faiblissent ! Parler d'isolement ! A ça non ! Jamais le nid deviendras comme ces centres !

La plumette ne pouvais pas se laisser faire comme ça, elle disparus pour juste passer dans un salle à coté.. doté d'une fenêtre suffisamment large pour passer. Elle préféras s'enfuir que d'avoir à se mettre en danger face à sa propre famille. Une détonation est quelques bruits de verres avant que la barrière entre le dedans et le dehors ne soit brisée, une seule chose à faire, roder dans le smog, son nid étant devenus une zone d'isolation.
► Partie 3
Il n'as pas pris tant de temps à son elfe de la retrouver, mais la plumette était plus méfiante sur le coup avant de négocier son retour au nid.. On ne l'enferme pas, on prend soins d'elle et pas de piqures.

La soirée est plus calme et la plumette se sent calme pour un moment, avant de reprendre différents médicaments pour rester calme, finissant par fatiguer pour la soirée. Sa gardienne en combinaison lui prépare un bac avec à manger, à boire et des cachets de somnifères pour plusieurs jours en l’emmène dans la chambre, la laissant ouverte pour le coup avec un petit film et.. ça ne se ressent pas mais un petit bonus à été ajouté à ce film : un ultrason d'une fréquence assez précise.

Elle était calme, jusqu'à la visite d'un ami, pour des nouvelle.. qui n'étaient pas prévues. Tout était confirmé, elles voulaient profiter qu'elle dorme pour lui faire on ne sait quoi pour la garder en place. Une fois de plus, la seule chose qu'elle eu envie de faire est fuir. Ils pouvaient cuver ! Ils ont abusé de la confiance qu'elle leur a confier, du fait qu'ils l'aidaient. Cette nuit, elle dormiras.. mais cachée dans une benne entre deux immeubles.
Jour 4

► Partie 1
Elle se réveil dans ses propres plumes, observant tout autour alors que quelque chose la titille. Le smog rend déjà tout gris de loin, mais même de près les couleurs meurent, et une odeur.. Une odeur qu'elle n'avait jamais sentit auparavant qui la fis fouiller cette benne à ordures dans laquelle elle a passé la nuit. Ce qui la dérangeais le plus, c'était qu'elle se sente encore plus calme dans le smog, et ces changements.

Après quelques minutes à fouiller sa benne, une nouvelle odeur.. elle les sent bien plus distinctement pour le moment, même si elles doivent être relativement proche. Elle relève la tête, non sans surprendre le kobold qui s'approchait. Le pauvre s'est tellement fait un sang d'encre qu'il dormait debout, fouillant le secteur sans arrêt pour retrouver les fugueuse du nid. Elle montras les crocs en le voyant armé, se préparant à fuir au cas où, ce qui n'était pas nécessaire au final, elle même moins agitée. Ils engagèrent une discutions, non sans que la plumette n'essaie de faire la sourde, il veut la raisonner de retourner ne plus s'exposer au smog.


"Je souffre depuis trois jours.. je me sent enfin bien.. dehors..
Zahdum nous chasse.. avec une espèce de milice..
J'étouffe entre quatre murs.."

"Tu veut dev'nir comme Raksha ?
Tu veut dev'nir un vrai danger ?
Tu veut rester la vaut' qu'tu est ?"


Elle faisait presque semblant de ne pas l'écouter, essayant de l'ignorer jusqu'à un argument qui fit basculer le débat :

"Ecoute.. Si tu veut réagir comme une junky qui souffre, en manque, et pr'férer sombrer dans la cam qu'essayer la désintox.."

La réponse au retour fus assez explosive, lui mettant ses serres à la gorge à la limite de venir la lui arracher pour se passer les nerf, sous une violente impulsion :

"Ne me.. Traite pas.. comme une putain de jukie.."

La confrontation l'avait éveillée un instant à cette question, dont la seule réponse qu'elle sortait était le fait de se sentir bien, et de ne pas souffrir. Les retombées de se laisser aller, et devenir une Gnoll comme tous ceux ayant dépassé un certain stade allais être douloureux, elle le savait, elle même avait été effrayée par une Gnoll, quelques jours avant que tout ne commence. Elle s'effrayait elle même lors de sursaut de conscience lors-ce qu'aucune pulsion ne la faisait aller dans une direction sans lui montrer les autres.

Dans ce sursaut, elle le repoussas en prenant la fuite par rapport à la conversation, direction son nid avant d'appeler sur tous les fils de communication des personnes en qui elle avait pu compter..
"Quelqu'un au nid.. C'est urgent putain.. !"
Elle appela trois fois avant que sa cousine et son elfe ne viennent. Elle se tenait en boule, se concentrant pour ne pas s'enfuir de nouveau en perdant ses plumes, suffisamment pour que s'en soit anormal, elle tendis une arme à la première venue.

"Il se passe quoi ? Tu... t... Tu veut que je tir ?"
"Attend pas.. putain.."

Elle ferma les yeux, plus qu'une dernière douleur et elle serait délivrée de tout, remise à zéro. Une détonation puis.. plus rien, plus de douleur, plus de pulsion, plus d'envies, plus sensation d'étouffement, plus de fièvre, plus de perte de plumes, plus de couleurs qui fuient sa vision.. et plus besoins de fichus calmants. Elle allait ressortir, affaiblie, mais saine.. plus question pour elle d'avoir à sceller ce dilemme une fois de plus, et de souffrir de ce virus d'avantage.
► Partie 2
Elle était délivrée ? On peut dire ça, délivrée du second stade et du fait d'être une menace pour les proches qui veillent. Son elfe viens la chercher à la sortie de la cuve, elle doit endurer l'un des warp les plus violent qu'elle connaisse, elle est exténuée, elle pourrait presque s'endormir à même le sol, une combi et un masque qu'elle enfile, pas la tête à rechigner, elle est emmenée chez elle.. Pas dans son nid, qui après les ravages qu'elle y a causé serait un bon moyen de la recontaminer.. Thalys purifie les corps de leur mots avant de les laisser sortir, non ? Mais pas le temps d'y réfléchir, elles sont toutes deux à bout de force, l'une, aillant pendant les trois jours, jeuner pour veiller sur l'autre qui venait de cuver.

Un SAS, elles sont décontaminés, retire leurs protection et s'afralent l'une contre l'autre sur le canapé non loin et elle s'y endormis toutes les deux. Mais si c'était si simple, ce ne serait pas amusant ! La phase 2 est une transition, que la cuve lui avait épargné. La cousine les avait rue joins dans leur sieste.. Et au réveil de cette elfe et cette kobold que sommeil une Gnoll blanche avec quelques plumes de prises dans le pelage que le warp avait suffisamment affaiblie pour qu'elle reste à sommeiller, ne souffrant au moins pas de sa mutation. Elles s'organisèrent, verrouillant le SAS, préparant une ambiance calme en croisant les doigts pour son réveil et la garder au calme, sans vouloir la déranger. Avec l'agitation dehors, elles voulaient veiller à sa sécurité.
"Ça fera bizarre.. Vraiment bizarre.."

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