EDC de Eaven
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Vers l'Ailleurs.
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Chaque phrase a un point. Chaque paragraphe a un retour à la ligne, inévitable. Chaque livre a une dernière page.
Chaque phrase a un point. Chaque paragraphe a un retour à la ligne, inévitable. Chaque livre a une dernière page.
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Le monde a l'Éternité dont il ne sait parfois que faire.
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Immobile, inactive, ses pupilles mauves ne fixent le plafond qu'en de rares moments. Désertées, les conférences qu'elle appréciait tant, avide de tout savoir que l'on pourrait lui donner. La dernière remonte à l'avènement du nouveau Legatus, en lequel elle avait cru, et croyait encore. Et croira toujours.
Si ses paupières ne s'ouvrent que par instants, des exceptions presque aussi fréquentes que les trouées du smog par le soleil, son esprit, son corps, eux, fonctionnaient. Un peu trop. Certains actes semblent bons, tant que l'on n'en voit pas les néfastes conséquences.
Immobile, inactive, ses pupilles mauves ne fixent le plafond qu'en de rares moments. Désertées, les conférences qu'elle appréciait tant, avide de tout savoir que l'on pourrait lui donner. La dernière remonte à l'avènement du nouveau Legatus, en lequel elle avait cru, et croyait encore. Et croira toujours.
Si ses paupières ne s'ouvrent que par instants, des exceptions presque aussi fréquentes que les trouées du smog par le soleil, son esprit, son corps, eux, fonctionnaient. Un peu trop. Certains actes semblent bons, tant que l'on n'en voit pas les néfastes conséquences.
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Là où son histoire touchait la dernière page de son livre, l'humaine ivre de temps abandonné avait encore assez de forces pour entreprendre ce qui l'avait composée durant toutes ces années, ce qui avait fait quasiment toute sa vie. L'on ne sait jamais ce que demain nous réserve, et elle avait au moins conscience de cela.
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Elle s'était raccrochée à une feuille blanche arrachée d'un geste, et avait tenté, maladroitement, de combler le blanc immaculé de mots silencieux. Une feuille sur laquelle elle ne parvenait plus à mettre la main, aujourd'hui, mais dont elle semblait avoir irrémédiablement besoin, subitement.
Là où son histoire touchait la dernière page de son livre, l'humaine ivre de temps abandonné avait encore assez de forces pour entreprendre ce qui l'avait composée durant toutes ces années, ce qui avait fait quasiment toute sa vie. L'on ne sait jamais ce que demain nous réserve, et elle avait au moins conscience de cela.
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Elle s'était raccrochée à une feuille blanche arrachée d'un geste, et avait tenté, maladroitement, de combler le blanc immaculé de mots silencieux. Une feuille sur laquelle elle ne parvenait plus à mettre la main, aujourd'hui, mais dont elle semblait avoir irrémédiablement besoin, subitement.
Se raccrocher, encore. Raccrocher
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« Hemilly. Quoi qu'il arrive, tu passes toujours avant les hommes, tu vois. Et pourtant, tu ne l'aurais peut-être pas cru. Mes excuses, pour t'avoir tant délaissée, et pour le faire encore. Tu as été.. Non. Tu es, la seule véritable famille que j'ai, cette sœur qui discerne les secrets au travers d'un regard invisible. Merci pour tout, même de loin. Mais ne pleure pas, s'il te plaît, j'ai horreur des larmes. Parce que je ne les comprends jamais, souris pour moi.
« Hemilly. Quoi qu'il arrive, tu passes toujours avant les hommes, tu vois. Et pourtant, tu ne l'aurais peut-être pas cru. Mes excuses, pour t'avoir tant délaissée, et pour le faire encore. Tu as été.. Non. Tu es, la seule véritable famille que j'ai, cette sœur qui discerne les secrets au travers d'un regard invisible. Merci pour tout, même de loin. Mais ne pleure pas, s'il te plaît, j'ai horreur des larmes. Parce que je ne les comprends jamais, souris pour moi.
Tu as ma parole, je reviendrai. Un jour. »
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Le regard éteint de s'être trop illuminé, d'avoir été peut-être trop souvent cette fenêtre sur le smog, comme le lui disait encore cette femme à part entière qui lui manque tant, elle se fiche de son état, et cherche lamentablement cette misérable feuille. Pourtant, elle dispose largement de quoi se souvenir de chaque mot écrit, et réécrire. Mais sa main tremble, parce que, là-haut, ça vrille.
Le regard éteint de s'être trop illuminé, d'avoir été peut-être trop souvent cette fenêtre sur le smog, comme le lui disait encore cette femme à part entière qui lui manque tant, elle se fiche de son état, et cherche lamentablement cette misérable feuille. Pourtant, elle dispose largement de quoi se souvenir de chaque mot écrit, et réécrire. Mais sa main tremble, parce que, là-haut, ça vrille.
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Et si tu étais sa mère ?
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« Valmont. Pour ne pas changer, je ne saurais quoi te dire que tu ne sais déjà. Merci, pour tant de choses. Pour ces instants partagés, entre émotion et sentiment dont parfois, je ne sais plus faire la différence. Presque solennels, je ne les oublie pas, plus maintenant. Merci, pour avoir cru en moi aussi, si tôt, là où je ne voyais qu'un brouillard face à ce miroir que tu m'as forcé à regarder. Aujourd'hui, j'ai compris. Les yeux, sont toujours la fenêtre de l'âme, et tu es ce rouge sang du regard qui fait battre la vie.
Tu as tout ce que je pouvais te donner. Pourquoi Les Ailleurs ? Parce que je savais qu'un jour, tu partirais, tant tu touchais du bout des doigts ce pays glacial. Tout comme je sais aujourd'hui que tu ne liras jamais ces lignes. »
« Valmont. Pour ne pas changer, je ne saurais quoi te dire que tu ne sais déjà. Merci, pour tant de choses. Pour ces instants partagés, entre émotion et sentiment dont parfois, je ne sais plus faire la différence. Presque solennels, je ne les oublie pas, plus maintenant. Merci, pour avoir cru en moi aussi, si tôt, là où je ne voyais qu'un brouillard face à ce miroir que tu m'as forcé à regarder. Aujourd'hui, j'ai compris. Les yeux, sont toujours la fenêtre de l'âme, et tu es ce rouge sang du regard qui fait battre la vie.
Tu as tout ce que je pouvais te donner. Pourquoi Les Ailleurs ? Parce que je savais qu'un jour, tu partirais, tant tu touchais du bout des doigts ce pays glacial. Tout comme je sais aujourd'hui que tu ne liras jamais ces lignes. »
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Elle s'arrête, comme totalement bloquée, ses cheveux en bataille tombant sur son visage soudainement immobile. Un arrêt, bref, avant que la machine ne reparte, et qu'elle se mette à fouiller frénétiquement dans son sac. Désespérée, si elle avait pu être encore capable d'émotion.
Elle s'arrête, comme totalement bloquée, ses cheveux en bataille tombant sur son visage soudainement immobile. Un arrêt, bref, avant que la machine ne reparte, et qu'elle se mette à fouiller frénétiquement dans son sac. Désespérée, si elle avait pu être encore capable d'émotion.
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Et si tu étais une expérience ?
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Un nouveau nom apparaissait sur la feuille.
Les remerciements auraient pu être sans fin, si son écriture ne faisait pas apparaître son empressement à terminer alors, et ses idées qui se bousculent, et font tout basculer.
Les remerciements auraient pu être sans fin, si son écriture ne faisait pas apparaître son empressement à terminer alors, et ses idées qui se bousculent, et font tout basculer.
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« Amar. Vautour effacé qui fut pourtant toujours là, dans un coin, de près, de loin. Les yo-yo sont plus réguliers que nous, mais malgré cela, tu fus l'un des rares visages que je vis toujours. Si l'entraide portait un nom, ça aurait été le tien, ça lui irait certainement bien. Toi non plus, tu n'as pas besoin de mots, là où je m'évertue d'en chercher pour combler un vide insoutenable, sans en trouver. Écrire pour ne rien dire, piètre essai. Pardonne-moi si je ne t'ai pas attendu. J'aurais aimé que tu continues de chercher là où je ne peux plus suivre, mais cette recherche ne mènerait à rien si je ne suis plus là, n'est-ce pas ? »
« Amar. Vautour effacé qui fut pourtant toujours là, dans un coin, de près, de loin. Les yo-yo sont plus réguliers que nous, mais malgré cela, tu fus l'un des rares visages que je vis toujours. Si l'entraide portait un nom, ça aurait été le tien, ça lui irait certainement bien. Toi non plus, tu n'as pas besoin de mots, là où je m'évertue d'en chercher pour combler un vide insoutenable, sans en trouver. Écrire pour ne rien dire, piètre essai. Pardonne-moi si je ne t'ai pas attendu. J'aurais aimé que tu continues de chercher là où je ne peux plus suivre, mais cette recherche ne mènerait à rien si je ne suis plus là, n'est-ce pas ? »
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Cette fois, un nouvel arrêt total manque de la faire chuter du lit, alors qu'elle regardait en-dessous dans un dernier espoir. Et son regard fixe, vide de tout, noyé de rien qu'elle ignore, l'apparente à ces êtres immobiles qui n'existent plus dans un tel monde ne voulant que des humains actifs qui survivent d'eux-mêmes. Elle inspire plus vite, et l'air qui fuit de ses poumons ravagés lui fait plus mal encore que sa toute première bouffée d'air. Première, celle dont elle se souvient. L'horloge s'affole, elle, devient folle, et ses mots s'égarent au fur et à mesure que son implant mémoriel lui dicte les visages et les noms par des images qu'elle a elle-même enregistré.
Cette fois, un nouvel arrêt total manque de la faire chuter du lit, alors qu'elle regardait en-dessous dans un dernier espoir. Et son regard fixe, vide de tout, noyé de rien qu'elle ignore, l'apparente à ces êtres immobiles qui n'existent plus dans un tel monde ne voulant que des humains actifs qui survivent d'eux-mêmes. Elle inspire plus vite, et l'air qui fuit de ses poumons ravagés lui fait plus mal encore que sa toute première bouffée d'air. Première, celle dont elle se souvient. L'horloge s'affole, elle, devient folle, et ses mots s'égarent au fur et à mesure que son implant mémoriel lui dicte les visages et les noms par des images qu'elle a elle-même enregistré.
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Et si tu n'étais qu'un essai ?
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« Mes excuses, Monsieur, pour n'avoir pas été à la hauteur de ce que vous attendiez de moi. Pour avoir, finalement, été comme toutes les femmes que vous m'aviez tant énoncé.
Mes excuses, Monsieur Julian, de ne pas être là si vous vous éveillez enfin. J'ai accordé trop de danses qui m'ont essoufflée sans que je ne prenne la peine d'apprendre à respirer pour m'en sortir.
Mes excuses, à tous ceux qui avez vu en moi la Lady que je ne serais jamais. Mes excuses pour les faux espoirs que j'ai peut-être éveillé, ou autre déception que je méconnais de trop, Mes excuses à ceux que j'abandonne.
Mes excuses à cet Empire qui m'a donné la vie, que je reprends comme une ingrate.
Mes excuses.. Mais merci à la vie, et ceux qui l'ont comblé. Merci, Lady Mane, pour m'avoir lancé dans ce monde. Merci, Lady Astaa, pour cette fleur de papier. Merci, Lady Macaron, pour ces visions de mondes effleurées. Merci à ces noms si nombreux, qui furent tout autant de souvenirs ancrés. Merci, et mes excuses. »
« Mes excuses, Monsieur, pour n'avoir pas été à la hauteur de ce que vous attendiez de moi. Pour avoir, finalement, été comme toutes les femmes que vous m'aviez tant énoncé.
Mes excuses, Monsieur Julian, de ne pas être là si vous vous éveillez enfin. J'ai accordé trop de danses qui m'ont essoufflée sans que je ne prenne la peine d'apprendre à respirer pour m'en sortir.
Mes excuses, à tous ceux qui avez vu en moi la Lady que je ne serais jamais. Mes excuses pour les faux espoirs que j'ai peut-être éveillé, ou autre déception que je méconnais de trop, Mes excuses à ceux que j'abandonne.
Mes excuses à cet Empire qui m'a donné la vie, que je reprends comme une ingrate.
Mes excuses.. Mais merci à la vie, et ceux qui l'ont comblé. Merci, Lady Mane, pour m'avoir lancé dans ce monde. Merci, Lady Astaa, pour cette fleur de papier. Merci, Lady Macaron, pour ces visions de mondes effleurées. Merci à ces noms si nombreux, qui furent tout autant de souvenirs ancrés. Merci, et mes excuses. »
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En tirant sur le temps, elle permet une accélération maudite, et l'implant vivrait presque de lui-même. Son cerveau l'alimente, ses souvenirs le nourrissent, tant et si bien qu'il grossit plus vite qu'elle. Les mots sur cette feuille arrivent à leur terme, et l'écriture manuscrite si appliquée d'ordinaire tremble pour devenir tellement maladroite qu'elle serait presque méconnaissable :
En tirant sur le temps, elle permet une accélération maudite, et l'implant vivrait presque de lui-même. Son cerveau l'alimente, ses souvenirs le nourrissent, tant et si bien qu'il grossit plus vite qu'elle. Les mots sur cette feuille arrivent à leur terme, et l'écriture manuscrite si appliquée d'ordinaire tremble pour devenir tellement maladroite qu'elle serait presque méconnaissable :
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« Je ne vous oublie pas, Boucher d'un Ordre dont les souvenirs sont encore trop frais. A égalité, je pense, vous ne m'avez pas eue, pas encore. Mais je sais que ce n'est que partie remise. Si la Justice Impériale n'oublie pas, vous non plus, j'imagine. Je gagne là où vous ne m'avez pas touchée, et vous gagnez par la peur que vous avez engendré. Le prochain round, pour un autre temps.. »
« Je ne vous oublie pas, Boucher d'un Ordre dont les souvenirs sont encore trop frais. A égalité, je pense, vous ne m'avez pas eue, pas encore. Mais je sais que ce n'est que partie remise. Si la Justice Impériale n'oublie pas, vous non plus, j'imagine. Je gagne là où vous ne m'avez pas touchée, et vous gagnez par la peur que vous avez engendré. Le prochain round, pour un autre temps.. »
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Et si tu n'étais qu'un reste réutilisé ?
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Alors, tout tombe. Tiroir, feuille, paupières et monde.
Il prend le contrôle sur un corps qu'il ne peut maîtriser, mais auquel il impose ces dernières images :
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Ancien Juge Impérial, elle revoit la copie du dossier, médusée.
Le décor bouge inlassablement, faisant défiler tous les paysages face auxquels elle a pu relire ces mots presque étrangers, ce pourquoi, là-haut, il s'affole.
Ce à quoi elle n'a pas de réponse.
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Le décor bouge inlassablement, faisant défiler tous les paysages face auxquels elle a pu relire ces mots presque étrangers, ce pourquoi, là-haut, il s'affole.
Ce à quoi elle n'a pas de réponse.
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Enfant : Eaven. Date de naissance : approximativement le 1/67.
Mère Inconnue Premier (né). Père Inconnu Premier Né.
Dossier Eaven X.
Enfant : Eaven. Date de naissance : approximativement le 1/67.
Mère Inconnue Premier (né). Père Inconnu Premier Né.
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... Inconnue .. Inconnu .. Inconnue .. Inconnu .. Inconnue ...
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Le tiroir de la commode à demi ouvert s'écrase sur le sol face au poids mort qu'il ne peut soutenir. Quelques secondes durant lesquelles le silence résonne, jusqu'à ce que la petite feuille, tant recherchée, effleure le sol d'une caresse, d'un écho presque retentissant de vide.
Le tiroir de la commode à demi ouvert s'écrase sur le sol face au poids mort qu'il ne peut soutenir. Quelques secondes durant lesquelles le silence résonne, jusqu'à ce que la petite feuille, tant recherchée, effleure le sol d'une caresse, d'un écho presque retentissant de vide.
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Délicatement, il l'emporte, alors que ses bras tombent, suivant la gravité d'un corps. Déposée dans un caisson qu'il a lui-même ouvert, une fois toute émotion effacée sur son visage, elle se frigorifie lentement au son d'une promesse...
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Informations sur l'article
Danse, petite.
19 Avril 2015
1459√
26☆
7◊
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◊ Commentaires
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Hemilly~37023 (37☆) Le 19 Avril 2015
je te hais si fort. si fort > < -
Nefer~54050 (135☆) Le 20 Avril 2015
Repose toi bien -
Julian~33748 (153☆) Le 20 Avril 2015
“ Venez, Dame,
D'Ailleurs nous attendent,
Univers, belle femme,
Etoiles qui scandent:
Au Revoir, au Revoir !
Chevaliers qui se posent,
Dans de brumes ivoires,
Longtemps se reposent.
Au Revoir, au Revoir !
Car ça n'est pas un adieu,
Je vous l'ai dit avec espoir,
Rien que nous deux, à Dieu. -
Amar (211☆) Le 21 Avril 2015
Bon repos sale bête. Profite bien. -
Manerina~6356 (1552☆) Le 24 Avril 2015
A bientôt!