EDC de Duke~5586
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Cacher
[Promissio] The sweet melody of warfare.
Wasteland Paradise
De longues et interminables minutes de marche dans ce sombre tunnel. Pleinement équipé, notre groupe traversait ce corridor lugubre avec des kilogrammes d'équipement sur le dos, pataugeant dans la crasse mêlée à l'eau, c'est avec prudence que nous découvrions l'inconnu à chaque tournant, à chaque porte.
Rien de plus glauque d'un ancien tunnel de la DI2RCO qui servait à transférer de dangereux criminels, par chance, il avait été abandonné et seul le bruit des gouttes d'eaux brisait le silence environnant.
Un couloir, un ascenseur, un couloir, des cellules, un couloir, des escaliers, un couloir puis une échelle vers la surface. Nous allons enfin pouvoir respirer une bonne bouffée d'air toxique.
Rien de plus glauque d'un ancien tunnel de la DI2RCO qui servait à transférer de dangereux criminels, par chance, il avait été abandonné et seul le bruit des gouttes d'eaux brisait le silence environnant.
Un couloir, un ascenseur, un couloir, des cellules, un couloir, des escaliers, un couloir puis une échelle vers la surface. Nous allons enfin pouvoir respirer une bonne bouffée d'air toxique.
La vue est magnifique, à notre droite un immense mur décoré de tourelles automatiques et à notre gauche, ce qu'il semble être un cratère géant qu'une météorite a dû dessiner. C'est en distinguant l'enfermement d'un côté et la liberté de l'autre que nous avions déterminé notre position.
A peine le temps d'étaler notre pique-nique, une des portes du mur s'ouvra pour laisser passer une deuxième escouade qui contrairement à nous, sortaient de chez eux.
Nous avions remarqué tout de suite l'allure agaçante des impériaux avec qui nous avions négocié une "paix".
Peu de temps après, deux androïdes étaient venus avec ce qui semblait être une outrillienne qui était bien trop discrète. Un impérial portant une rebelle, l'avait-il secouru ou l'avait-il traîné ?
Il nous expliqua ensuite les fait, ce qu'il c'était passé, sans détails. Parlant un court moment, jusqu'à ce que la notre repris conscience. C'était bon, sinon c'était un sac de plus à porter, hors de question de laisser un des notre sur cette terre aussi paradisiaque que mortelle.
Vint ensuite une joyeuse marche orchestrée par les deux escouades qui se déplaçaient en rythme, le bruit de leurs pas trahis par la végétation que nous bousculions.
A peine le temps d'étaler notre pique-nique, une des portes du mur s'ouvra pour laisser passer une deuxième escouade qui contrairement à nous, sortaient de chez eux.
Nous avions remarqué tout de suite l'allure agaçante des impériaux avec qui nous avions négocié une "paix".
Peu de temps après, deux androïdes étaient venus avec ce qui semblait être une outrillienne qui était bien trop discrète. Un impérial portant une rebelle, l'avait-il secouru ou l'avait-il traîné ?
Il nous expliqua ensuite les fait, ce qu'il c'était passé, sans détails. Parlant un court moment, jusqu'à ce que la notre repris conscience. C'était bon, sinon c'était un sac de plus à porter, hors de question de laisser un des notre sur cette terre aussi paradisiaque que mortelle.
Vint ensuite une joyeuse marche orchestrée par les deux escouades qui se déplaçaient en rythme, le bruit de leurs pas trahis par la végétation que nous bousculions.
Chaleureuse forêt radioactive
Une immense tour se distinguait des arbres, comme quoi le développement urbain n'a aucune limite. C'était la tanière d'un certain Ahambar, le Big-Boss. Sauf que ça nous a pas empêché d'y rentrer, c'était assez crade partout et certains droïdes, impériaux à première vue, jonchaient le sol. Les deux groupes rivaux se séparaient, l'un montait, l'autre allait au nord, là où quelques coups de feu avaient retentis plus tôt.
Nous continuons de marcher, encore et encore, à travers la verdure nucléaire, respirant l'air humide qui nous plombait les poumons. Un autre bâtiment, plus petit avec une porte. L'architecte avait fait en sorte qu'une tourelle garde la porte, allumant les intrus. Facile cette fois, une grenade de lancée, une tourelle de mauvaise facture perdue à jamais. Ce bâtiment était une sorte de salle des serveurs, bon, il fallait des accès spécifiques, on a passé le chemin.
Nous continuons de marcher, encore et encore, à travers la verdure nucléaire, respirant l'air humide qui nous plombait les poumons. Un autre bâtiment, plus petit avec une porte. L'architecte avait fait en sorte qu'une tourelle garde la porte, allumant les intrus. Facile cette fois, une grenade de lancée, une tourelle de mauvaise facture perdue à jamais. Ce bâtiment était une sorte de salle des serveurs, bon, il fallait des accès spécifiques, on a passé le chemin.
Plus loin devant, un autre bâtiment de la sorte. Plus loin derrière, un groupe hostile qui marchait sur nos pas. Bonne tactique, nous jouons le rôle d'éclaireur pour se bouffer tous les pièges que possédait cette jungle et ses propriétaires.
Cette tactique a porté ses fruits, en ayant accéléré le pas, laissant notre prudence dans le coin de notre tête, l'un d'entre nous s'est pris une mine. La jambe fautive avait explosé, neutralisant le combattant au sol, lui laissant tout de même la vie.
Des soins ont du être apportés pour le garder en vie, quelques minutes suffirent pendant que l'escouade impériale échangeait les rôles, devenant des éclaireurs.
Encore une fois, nous avons repris la marche avec cette fois, un troll de cent quatre-vingts à kilos à porter. Nous ne laisserons aucun des notre ici.
Cette tactique a porté ses fruits, en ayant accéléré le pas, laissant notre prudence dans le coin de notre tête, l'un d'entre nous s'est pris une mine. La jambe fautive avait explosé, neutralisant le combattant au sol, lui laissant tout de même la vie.
Des soins ont du être apportés pour le garder en vie, quelques minutes suffirent pendant que l'escouade impériale échangeait les rôles, devenant des éclaireurs.
Encore une fois, nous avons repris la marche avec cette fois, un troll de cent quatre-vingts à kilos à porter. Nous ne laisserons aucun des notre ici.
Le doux parfum de la guerre
Nous qui voulions un peu d'action, nous voilà servi.
Nous étions entrés dans une espèce de jungle morte et toujours aussi glauque pour ne pas changer. La végétation n'existe pas à l'intérieur des cités, c'est pas plus mal vu les problèmes que ça apporte. Une visibilité restreinte, nous attendions en groupe tandis qu'un homme gueulait des conneries à tout va. Le groupe impérial était plus loin mais plus à découvert que nous. C'est alors que le grand crieur s'est présenté à nous, un elfe armé d'un simple fusil. Il avait pas l'air d'être une menace. Sauf qu'il voulait négocier l'androïde rebelle que nous avions récupéré plus tôt, pour une histoire de four ou une autre connerie du genre.
Et comme quoi il ne fallait pas juger trop hâtivement, l'elfe a dévoilé une superbe ceinture d'explosifs sous ses fringues. Elle avait de la gueule sa ceinture. Il a ensuite décidé de jeter un bocal de Med-H au centre de la zone, pour nous attirer ? Les med-h c'est pas de la bonne came mais c'était pas l'avis de tous. Un du groupe ennemi s'est jeté dessus comme un junkie mais un gnoll visiblement pas aimable avait le même avis, se jetant donc sur l'individu pour le marteler de coups.
C'était le moment parfait pour agir sauf que l'autre groupe fut attiré par la ceinture de l'autre elfe, un gout pour la mode ? Aucune idée, sauf qu'il s'est fait explosé, dispersant la deuxième escouade un peu partout.
Là c'était le meilleur moment pour agir, notre escouade a rejoint la mêlée, terminant le groupe affaibli avec de gros coups.
C'était rapide et facile, mais la partie la plus difficile était arrivée aussi, la bonne bataille contre les gnolls.
Nous étions entrés dans une espèce de jungle morte et toujours aussi glauque pour ne pas changer. La végétation n'existe pas à l'intérieur des cités, c'est pas plus mal vu les problèmes que ça apporte. Une visibilité restreinte, nous attendions en groupe tandis qu'un homme gueulait des conneries à tout va. Le groupe impérial était plus loin mais plus à découvert que nous. C'est alors que le grand crieur s'est présenté à nous, un elfe armé d'un simple fusil. Il avait pas l'air d'être une menace. Sauf qu'il voulait négocier l'androïde rebelle que nous avions récupéré plus tôt, pour une histoire de four ou une autre connerie du genre.
Et comme quoi il ne fallait pas juger trop hâtivement, l'elfe a dévoilé une superbe ceinture d'explosifs sous ses fringues. Elle avait de la gueule sa ceinture. Il a ensuite décidé de jeter un bocal de Med-H au centre de la zone, pour nous attirer ? Les med-h c'est pas de la bonne came mais c'était pas l'avis de tous. Un du groupe ennemi s'est jeté dessus comme un junkie mais un gnoll visiblement pas aimable avait le même avis, se jetant donc sur l'individu pour le marteler de coups.
C'était le moment parfait pour agir sauf que l'autre groupe fut attiré par la ceinture de l'autre elfe, un gout pour la mode ? Aucune idée, sauf qu'il s'est fait explosé, dispersant la deuxième escouade un peu partout.
Là c'était le meilleur moment pour agir, notre escouade a rejoint la mêlée, terminant le groupe affaibli avec de gros coups.
C'était rapide et facile, mais la partie la plus difficile était arrivée aussi, la bonne bataille contre les gnolls.
Ils étaient robustes, encaissants les coups sans laisser sortir la moindre douleur et répliquant avec une violence hors du commun. Tombant notre doc' et notre leader qui avait préalablement percé la jambe du gnoll avec un fusil spécial. Malheureusement, le gnoll s'est vengé, le tuant sur le coup.
Nous avons réussi à le tomber, enfin, après s'être acharné sur lui à coups de lames. Mais ce n'était pas fini, la deuxième compagnie gnoll arrivait ensuite avec un Mantis, un truc encore plus dégueulasse et violent.
La bataille faisait rage encore une fois, de nombreux d'entre nous s'écroulaient au sol, blessés pendant que les autres continuaient leurs assauts, de longues minutes de violence pour les faire fuir. C'était difficile et c'était nous qui avions tout fait.
Nous avons réussi à le tomber, enfin, après s'être acharné sur lui à coups de lames. Mais ce n'était pas fini, la deuxième compagnie gnoll arrivait ensuite avec un Mantis, un truc encore plus dégueulasse et violent.
La bataille faisait rage encore une fois, de nombreux d'entre nous s'écroulaient au sol, blessés pendant que les autres continuaient leurs assauts, de longues minutes de violence pour les faire fuir. C'était difficile et c'était nous qui avions tout fait.
Affaiblis, retrouvant nos forces et nos esprits, j'ai aperçu l'escouade ennemie en train de fuir, laissant même certain de leurs citoyens derrière. Hors de question que cela se finisse aussi facilement pour eux. J'ai du essayer mon nouveau jouet, pas trop fiable, le premier coup tiré plus tôt avait enraillé l'arme mais quelques minutes suffirent à la remettre en marche. Le coup décisif propulsa un missile artisanal sur l'escouade qui toucha un arbre, malheureusement.
Ils semblaient être sauvés jusqu'à ce qu'un craquement prouva l'efficacité de l'arme. Le tronc céda sous l'explosion pour s'écrouler sur deux membres de l'escouade, la jungle avait en réalité quelques atouts.
Ils semblaient être sauvés jusqu'à ce qu'un craquement prouva l'efficacité de l'arme. Le tronc céda sous l'explosion pour s'écrouler sur deux membres de l'escouade, la jungle avait en réalité quelques atouts.
Nous avons ensuite repris la route inverse, ensemble, emportant nos blessés et quelques civils impériaux. Le chemin pour rentrer semblait être trois fois plus long et plus difficile. Aux aguets, nous avancions, sur nos gardes malgré le bruit, aucun monstre sur notre chemin jusqu'à marcher dans un piège explosif. Ce piège avait dispersé notre groupe, en tuant quelques uns, blessant d'autres. Il aurait pu être plus efficace et nous tuer tous, mais nous avons eu de la chance tout comme le reste du chemin, pour arriver aux portes de notre chez nous.
Chez nous, dans notre cité où les secteurs nous divisent, la richesse nous classe mais où nous trouvons tout de même une certaine harmonie qui nous permet de survivre.
Par le Capitaine Duke Striker
Informations sur l'article
La route est longue
15 Septembre 2015
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