EDC de Djames~23874
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Cacher
Un seul baiser
Il savait qu’elle allait venir ici, il venait tout juste de quitter le comptoir pour un coin plus calme, afin d’être assis seul dans le divan et pour que peut être elle choisisse cette place de libre à côté de lui.
La soirée était déjà bien entamée et Djames avait passé une bonne partie de celle-ci au bar à discuter, boire raisonnablement et échanger des propos avec des connaissances. Il était sur le point de rentrer chez lui quand cette femme prit la décision de s’asseoir à ses côtés.
Elle était vêtue d’une tenue particulièrement sexy malgré son arme qui en disait long sur ses aptitudes au combat.
Elle était vêtue d’une tenue particulièrement sexy malgré son arme qui en disait long sur ses aptitudes au combat.
Djames ne pouvait s’empêcher de la regarder, détaillant ses courbes mise en valeur par sa robe de soirée élégante et ses escarpins assorti. C’était comme si la lumière tamisée et la musique avait été choisie pour valoriser l’entrée de cette femme dans ce bar.
Il se fait un plaisir de l’accueillir, essayant de n’afficher qu’un joli sourire pour ne pas paraître trop avenant.
Cette soirée va enfin devenir intéressante se dit-il et qui sait peut être apprendra-t-il à la connaitre un peu plus aujourd’hui car finalement connait-on vraiment les gens qu’on fréquente ?
Il jette un œil à la serveuse qui semble bien occupée par la situation au comptoir… Il semblerait qu’une jeune femme serve presque d’objet sexuel ou d’amuse-bouche à quelques messieurs qui l’entourent.
Djames réfléchit un instant et se dit qu’il vaut mieux se servir soi-même plutôt que de gâcher cette soirée en tête à tête en perturbant la situation paisible qui s’est installée autour d’eux.
Djames réfléchit un instant et se dit qu’il vaut mieux se servir soi-même plutôt que de gâcher cette soirée en tête à tête en perturbant la situation paisible qui s’est installée autour d’eux.
Il n’a pas le temps d’aller chercher une Vodkast au self-service qu’un homme avec un masque à gaz arrive devant eux. Il le regarde, une fois, deux fois pour être bien sûr que c’est lui. Mais oui, c’est bien Mancini Pario alias le Duc.
Djames s’exclame : « Je suis content de te voir mon vieil ami ! Qu’est-ce que tu deviens ? »
Cette seule phrase, rompt complètement l’ambiance feutrée, calme et privée qui s’était installée entre lui et cette femme qui l’attire.
La tranquillité devient retrouvaille…
Les échanges et les regards complices se transforment en étonnements et camaraderies…
Djames s’exclame : « Je suis content de te voir mon vieil ami ! Qu’est-ce que tu deviens ? »
Cette seule phrase, rompt complètement l’ambiance feutrée, calme et privée qui s’était installée entre lui et cette femme qui l’attire.
La tranquillité devient retrouvaille…
Les échanges et les regards complices se transforment en étonnements et camaraderies…
Le Duc-K les invite chez lui car la soirée au bar continue sur le ton de la débauche et les emmerdes ne sont généralement pas loin quand un homme partage sa femme aux yeux de tous.
Djames et son amie acceptent la proposition avec plaisir, mais il ne peut s’empêcher de penser à ce qui aurait pu arriver, si, il était resté seul avec cette femme dans se divan à l’écart de la foule…
Ils arrivent ensemble devant une belle villa de caractère malgré le smog épais qui l’entoure. Leur ami ouvre la porte laissant apparaitre un logement récent, somptueux, fort bien agencé et spacieux. Un grand espace est réservé au bar avec des chaises hautes et une série de frigos sont adossées au mur derrière le comptoir. Le design est magnifique.
Djames n’est pas étonné d’apprendre le nom de l’architecte qui a construit cette villa alors qu’il partage une pinte avec son ami et que la discussion s’oriente sur le passé, les 400 coups, les bonnes vieilles aventures et la rigolade bat son plein.
Ce moment est agréable et les retrouvailles également mais il regarde discrètement cette femme de nouveau assise à côté lui. Elle est très belle…
Tout à coup, le communicateur de son ami retentit, il doit partir dit-il. Une obligation et c’est urgent.
Djames se demande si c’est un rêve, si cette soirée peut recommencer au début comme dans certains films ou l’acteur à l’opportunité de revivre la même journée chaque matin. Est-ce là une seconde chance qu’il faut saisir ?
Que recherche-t-elle, que pense-t-elle de lui ? Autant de questions qui demeurent un mystère.
Djames prend son courage à deux mains et décide que la soirée n’est pas finie, que ce n’est pas ce qu’il avait décidé…
Il la regarde : « Viens suis-moi »
Djames l’emmène avec lui, dans un appartement proche mais fort particulier. Arriver jusqu’à celui-ci pourrait être votre footing matinal tellement le couloir est long et interminable.
A l’intérieur, rien d’extraordinaire… Peu de mobilier… Mais il y a cette machine… Cette machine qui a déjà servi pour l’implant de souvenirs virtuels… Elle est un peu abandonnée aujourd’hui mais l’installation est toujours bien fonctionnelle.
Pourquoi l’avoir emmenée ici, ce n’est pas cosy et ce n’est pas spécialement chaleureux. Par contre une autre installation entoure la pièce. Une sonorisation qui ferait pâlir n’importe quel audiophile et un beau divan matelassé. Aime-t-elle la musique ?
Ils s’installent confortablement et discutent au calme. A l’abri de toute perturbation extérieure.
Djames démarre une piste musicale, c’est un morceau calme qui comporte d’agréables sonorités au piano. Le son résonne et se répercute sur les murs de cette grande pièce carré où l’acoustique est excellente.
C’est un endroit paisible et reposant finalement.
Il ne sait pas pourquoi, et sans demander la permission, de sa main droite, il caresse les cheveux de cette femme avec beaucoup de douceur.
Elle écoute la musique et en douceur prend sa main gauche dans la sienne lui laissant la liberté de continuer ses caresses sur son visage et de jouer dans ses cheveux alors que leurs deux corps se sont retrouvés dans se divan confortable.
Il déjà tard et la fatigue se fait sentir mais ce moment partagé est magique.
Elle lui caresse le visage sans dire un mot…
Seul le son de cette piste audio paisible comble le vide…
Djames et son amie acceptent la proposition avec plaisir, mais il ne peut s’empêcher de penser à ce qui aurait pu arriver, si, il était resté seul avec cette femme dans se divan à l’écart de la foule…
Ils arrivent ensemble devant une belle villa de caractère malgré le smog épais qui l’entoure. Leur ami ouvre la porte laissant apparaitre un logement récent, somptueux, fort bien agencé et spacieux. Un grand espace est réservé au bar avec des chaises hautes et une série de frigos sont adossées au mur derrière le comptoir. Le design est magnifique.
Djames n’est pas étonné d’apprendre le nom de l’architecte qui a construit cette villa alors qu’il partage une pinte avec son ami et que la discussion s’oriente sur le passé, les 400 coups, les bonnes vieilles aventures et la rigolade bat son plein.
Ce moment est agréable et les retrouvailles également mais il regarde discrètement cette femme de nouveau assise à côté lui. Elle est très belle…
Tout à coup, le communicateur de son ami retentit, il doit partir dit-il. Une obligation et c’est urgent.
Djames se demande si c’est un rêve, si cette soirée peut recommencer au début comme dans certains films ou l’acteur à l’opportunité de revivre la même journée chaque matin. Est-ce là une seconde chance qu’il faut saisir ?
Que recherche-t-elle, que pense-t-elle de lui ? Autant de questions qui demeurent un mystère.
Djames prend son courage à deux mains et décide que la soirée n’est pas finie, que ce n’est pas ce qu’il avait décidé…
Il la regarde : « Viens suis-moi »
Djames l’emmène avec lui, dans un appartement proche mais fort particulier. Arriver jusqu’à celui-ci pourrait être votre footing matinal tellement le couloir est long et interminable.
A l’intérieur, rien d’extraordinaire… Peu de mobilier… Mais il y a cette machine… Cette machine qui a déjà servi pour l’implant de souvenirs virtuels… Elle est un peu abandonnée aujourd’hui mais l’installation est toujours bien fonctionnelle.
Pourquoi l’avoir emmenée ici, ce n’est pas cosy et ce n’est pas spécialement chaleureux. Par contre une autre installation entoure la pièce. Une sonorisation qui ferait pâlir n’importe quel audiophile et un beau divan matelassé. Aime-t-elle la musique ?
Ils s’installent confortablement et discutent au calme. A l’abri de toute perturbation extérieure.
Djames démarre une piste musicale, c’est un morceau calme qui comporte d’agréables sonorités au piano. Le son résonne et se répercute sur les murs de cette grande pièce carré où l’acoustique est excellente.
C’est un endroit paisible et reposant finalement.
Il ne sait pas pourquoi, et sans demander la permission, de sa main droite, il caresse les cheveux de cette femme avec beaucoup de douceur.
Elle écoute la musique et en douceur prend sa main gauche dans la sienne lui laissant la liberté de continuer ses caresses sur son visage et de jouer dans ses cheveux alors que leurs deux corps se sont retrouvés dans se divan confortable.
Il déjà tard et la fatigue se fait sentir mais ce moment partagé est magique.
Elle lui caresse le visage sans dire un mot…
Seul le son de cette piste audio paisible comble le vide…
Djames la regarde…
Son corps est attiré par le sien et son visage se rapproche.
Dans ce calme olympien, sur des notes de piano, il effleure ses lèvres pour la première fois…
Dans ce calme olympien, sur des notes de piano, il effleure ses lèvres pour la première fois…
Informations sur l'article
La ville...
05 Décembre 2015
994√
5☆
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◊ Commentaires
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Aislinn~60672 (172☆) Le 12 Avril 2016
Une étoile pour le romantisme et la beauté du personnage. Beaucoup de poésie dans ta plume j'aime.