EDC de Dinah~71671
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2. Jamais, tu disais ?
Ce texte viens à la suite de 1. Orpheline ? Jamais !
Il est tôt dans une énième journée du Secteur Marran, la Gobeline dors dans une de ces nuits agitées depuis plusieurs jours, inquiète, perturbée, recroquevillé sous sa couverture. Elle ouvre les yeux, dans la pénombre, les lumières du bar et de l'arrière salle étant absente. Seule le petit clignotement bleuté de son communicateur fais se révéler les contour de la pièce qui l'entoure.
Enfin ! Ce dernier jour !
Elle ne pensais pas si bien dire, cette journée, celle qu'elle attendais était bien là dans son communicateur à l'interpeler de cette lumière bleu. Comme beaucoup de personne ici-bas, la petite se saisis de l'appareil pour en consulter le contenu, trop de message y régnais... trop de nom... Mais un seul retenue l'attention celui de la fameuse, sa fameuse pièce maternelle, dans un empressement frénétique du pouce elle ouvrit ce message, qui lui sauta au yeux, l’écran illuminant sa frimousse d'habitude si fine et agréable à la vue.
Ses oreilles s’abaissèrent, visage meurtrit, les pauvres indications manuscrites de ce message défilé sur ses prunelles ambrés devenant tout à coup bien morne. Ses lèvres se pincèrent, le menton tremblant et ses doigts pressèrent le fameux annonceur si fort...
Ses oreilles s’abaissèrent, visage meurtrit, les pauvres indications manuscrites de ce message défilé sur ses prunelles ambrés devenant tout à coup bien morne. Ses lèvres se pincèrent, le menton tremblant et ses doigts pressèrent le fameux annonceur si fort...
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Le communicateur se brisa sous sa force, pourtant minime habituellement... Elle l'aura compris bien vite, elle ne reviendra pas. Elle y est restée.
Maman ! Naaaaan, pas toi !
Comme toute scène que vous pourriez imaginez, des hurlements et de pleurs prirent le dessus sur tout autre. Quelques instants plus tard, la Gobeline allumera éclairage du bâtiment, cet endroit qui les identifiais tant, l'endroit qui l'avais accueillis et qu'elles avaient construites toutes les trois jusque maintenant. Elle ne pouvais s'y résoudre, la nouvelle étant trop grosse.
On la retrouve quelques instant plus tard, pleurant toutes les larmes de son corps, le visage décomposé en une vrai caricature de tristesse, assise sur un pouf devant l'entrée du rade, l'éclairage rose des néons roses flottant au dessus racks étant pour permettre le reflet de ces gouttes d'eau personnel qui ruisselle sur ces joues.
On la retrouve quelques instant plus tard, pleurant toutes les larmes de son corps, le visage décomposé en une vrai caricature de tristesse, assise sur un pouf devant l'entrée du rade, l'éclairage rose des néons roses flottant au dessus racks étant pour permettre le reflet de ces gouttes d'eau personnel qui ruisselle sur ces joues.
Elle va passer cette porte, je l'attends.
Le cœur arraché, dévasté, les cycles tournent et bien évidemment aucune Gnoll ne fera son apparition dans l'encadrement de la porte vitrée du bâtiment. Sa tête tombe entre ces petites mains, relançant pour de longues minutes ces pleurs, force ou raison, libre à vous de les interpréter.
Dinah ? Qu'est ce que tu fais là... Les gens s'inquiètent...
Laissez moi...
Moi aussi je suis triste, tu sais, elle comptait beaucoup... Si tu as besoin de quoi que ce sois, je suis là...
Bien sûr... que j'ai besoin de quelques chose, et c'est de ma Mère dont j'ai besoin... alors vous êtes toujours là ?...
Laissez moi...
Moi aussi je suis triste, tu sais, elle comptait beaucoup... Si tu as besoin de quoi que ce sois, je suis là...
Bien sûr... que j'ai besoin de quelques chose, et c'est de ma Mère dont j'ai besoin... alors vous êtes toujours là ?...
La journée enchainait les témoignages de condoléances, de soutien, elle erra tout du long dans ce bar, on s'en demanderait presque comment on peut autant pleurer, inconsolable malgré les paires de bras étant venus à son secours.
Dinah, elle vivra toujours dans nos mémoires, dans nos souvenirs.
Bien sur... J'en ai tellement, elle est tout pour moi. Elle m'as tout appris, je l'aime et elle me manque terriblement depuis le premier jour de son départ... C'est trop difficile.
C'est ta plus grosse épreuve, laisse toi du temps pour guérir.
Bien sur... J'en ai tellement, elle est tout pour moi. Elle m'as tout appris, je l'aime et elle me manque terriblement depuis le premier jour de son départ... C'est trop difficile.
C'est ta plus grosse épreuve, laisse toi du temps pour guérir.
A la fin de celle-ci, il et elle vinrent, les deux seuls qui pouvait certainement comprendre sa douleur particulière, les mots touchant, fort n'auront que pour objectif de remettre une pièce dans la machine à sanglots avant l'épuisement de la Gobeline dans un des canapés avec celle qui avais recueillis les dernier mots de sa défunte Maman d'Amour, ses mains tenant serrer à elle ce collier, ce précieux, ce présent qui lui avais été laisser et sur le dos ce manteau encore calqué de son odeur lui rappelant son fidèle cocon qui la désormais quitté.
A jamais dans mon cœur Maman, Aeternum... Merci pour tout, Je t'aime ♥...
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Informations sur l'article
Mes écris
02 Février 2020
841√
19☆
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◊ Commentaires
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Joey~62360 (404☆) Le 02 Février 2020
Tu as su trouver les beaux mots pour parler de ce malheur. C'est un très joli texte! * -
Kemelvor (1249☆) Le 02 Février 2020
TEEEEEEEEEEEEEEEEX