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EDC de DREYER~53827

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[3/3] Il était une fin

Cet EDC relate la fin du personnage Emy/Dye ID35279.
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1025 jours plus tard. La fin défunt.

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Vous souvenez-vous de vos morts ?
Vous arrive-t-il encore de les pleurer ?
Le câble s'extirpe sans délicatesse de l'implant où il était enfoncé pour tomber lourdement sur le sol, tel un serpent à l'agonie - ou déjà mort. L'opercule métallique glisse en silence, venant obstruer à nouveau l'implant scintillant caché sous la masse de cheveux et enfin libéré de la prise qui y était logée. C'est la première fois que la douleur est aussi étendue, aussi claire dans l'esprit de l'implantée : elle ressent la piqûre, la zone d'entrée du flux de données qu'elle parvient à sentir couler dans ses veines, proliférant de sa nuque au reste de son corps. Sur son siège, celle qui fut Nema est retournée à son état d'être humain lamentablement recroquevillé sur son siège de plongée.
Le temps reprend sa lente avancée, le silence pesant de la pièce remplace maintenant le bruit matriciel, cet éternel bourdonnement électrique que peu connaissent et savent apprécier. Les échos de destruction d'un monde qui fut le sien sonnent encore à ses oreilles, de plus en plus lointains au fil des secondes qui s'écoulent. Il est dur à présent d'ouvrir les yeux. C'est fait.
Derrière ce portail fermé, il n'y a plus rien. Pas même les décombres de son univers, non, plus rien. C'en est fini pour de bon. Elle est déjà morte, allongée-là, dans ce vieux fauteuil poussiéreux. Elle est morte depuis plusieurs minutes et pourtant, elle respire encore. Elle est morte depuis des années, mais la voilà qui se redresse contre toute attente, tant bien que mal, massant de ses doigts métalliques la zone poisseuse où trône son implant cybernétique.
Seuls ses mouvements froissent le calme : plus une diode ne scintille, plus une lampe ne grésille, celles qui peinaient à illuminer la pièce se sont tout simplement éteintes pour de bon. Ne reste plus qu'un filet blanchâtre venant d'un néon vaillant mais pour le moins inutile. Emily garde les paupières serrées, fermées. Les larmes qui s'en échappent semblent fuir le mal qui la saisit par la gorge en l'étouffant.
« ... », un souffle haché, des mots inaudibles. Les mains invisibles serrées autour de son cou, par-dessus le tatouage noir, l'empêchent à la fois de parler et de crier. Les morts n'ont pas ce droit. Même sa toux se fait sans bruit, lui redonnant malgré tout quelques forces, assez pour détendre ses membres, étirer ses jambes et les faire tomber du fauteuil, inanimées. Emily pose alors les pieds au sol, ou plutôt semble-t-il se glisser miraculeusement sous ses semelles toujours humides. Un peu de courage, putain s'ordonne-t-elle en tentant de se lever. Sous son propre poids, la voilà qui s'écroule, frappe brutalement les genoux sur le carrelage qui craque - ou bien est-ce un os.
Dans ses souvenirs, mourir avait été moins dur. Il avait suffi de hurler à une elfe de courir, hurler à l'homme à la main de fer, au vautour transgenre, crier, crier, fuyez ! puis voir le ciel, les crocs s'abattre. Se rendre sourde aux reniflements bestiaux de la créature en train de lui dévorer le bas du corps. Un bourdonnement salvateur dans ses oreilles, un filet de sang dans la bouche, les yeux noyés. Un long sifflement et sa propre respiration. Le ciel. Bon sang, le ciel.
Un instant, sous ses paupières fermées, la même couleur l'éblouit. Un flash fulgurant, des lumières et du son, des voix, l'absence de toute autre sensation que celles vécues tant de fois, en vrai comme en rêve, en fièvre et en délire.
Tuer et rentrer. Tuer et rentrer. Tu te souviens. Je ne connaîtrai pas la peur. Répète. Je ne connaîtrai pas la peur car la peur....
Sa paume s'appuie fermement sur le sol humide. C'est elle qui transpire. La fièvre et les délires, elle ne connaît que trop bien. Depuis le caisson maudit, depuis tout ce temps. Les visages apeurés de la voir ainsi crier, tant de visages déformés par le verre qui la fixent et la pleurent. Effacés.
Ce soir, il n'y a plus de cuve en verre. Il n'y a plus d'obstacle. Ni de gens qui la pleurent, d'ailleurs.
Peu à peu, misérablement certes mais avec courage, ses pas s'éteignent tandis qu'elle parcourt le couloir à contre-sens. Les portes automatiques restent closes. Il n'est plus là, lui non plus. Le gardien des clés, des souvenirs, de la raison, lui aussi, adieu.
La maison se vide lorsqu'à son tour, Emily la quitte. Pas d'au revoir pour les murs glauques de son ancien domicile. La porte claque sur sa silhouette vacillante.
Un jour futur, ce bâtiment s’effondrera tel un château de cartes. La Dame de pique s'en est allée à tout jamais. Peut-être qu'un jour, d'autres fous verront-ils son fantôme hanter les ruines.
Dans le silence de l'obscurité qu'elle laisse derrière elle, une goutte de sang claque au sol, tombant tel un filet d'huile depuis la pointe du câble de connexion qui ne mène plus nulle part.
...car la peur tue l'esprit. La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale.
Tout comme ses pas. Nulle part, exactement : d'où elle vient. Descendre vers le mur, rejoindre les odeurs putrides de pisse(s), de mort(s), celle plus délectable de la poudre. Là où le sang coule toujours, à flot, comme l'alcool. Cet endroit qui a vu ses clones s'égrainer, changer, murir, vieillir, choisir entre la raison et la trahison, l'amour et l'absence. Des corps contre les siens, des âmes manipulées, manipulables, comme elle le fut si longtemps avant que de passer de l'autre côté des ficelles. Qui, à part elle, outre Dreyer, qui a vraiment su pour ses fornications, ses plans foireux, ses inclinations profondes pour le mal et parfois, peut-être, pour le bien ? Au fond, même elle, ne sait plus.
Il aurait suffi d'une balle pour que rien ne soit ce que ce fut. Il faudrait remonter trop loin, passer au-delà de trop de regrets. Mais voilà déjà le Sud, comme toujours. Des bâtiments où elle se laisse choir contre les briques qui tombent en miette moins vite qu'elle-même. Dans l'ordre des choses fades qu'il faut faire avant de s'en aller, voilà la pire. Faire un retrait, ordonner à des drones de faire ce que son corps lâche n'est plus apte à faire : mettre dans des sacs, dévaliser sa propre vie, son compte, ses coffres.
Et attendre qu'Ils prennent le relais.
Le cycle horaire est bourré. Les minutes ne défilent pas, elles sautent. Il était douze, il est quarante-huit. Je ne me souviens plus. Il pleut. J'étais à la banque et je n'y suis plus.
Les deux hommes sont encore là. Ils disent au revoir, ils...Ils pleurent. Emily les regarde sans vraiment les voir. La mort ne va plus attendre bien longtemps, la voilà qui grignote déjà l'intérieur de ses yeux. Elle ne dira pas qu'il fait noir, qu'elle ne les voit plus. Elle ne dira pas non plus qu'elle ne sent pas l'étreinte, que le sens des mots commence peu à peu à lui échapper. Comme le droïde qu'elle n'a jamais été entièrement, Emily s'éteint. Une diode après l'autre, en bonne machine.
...à l'oblitération totale. J'affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi.
C'est bientôt terminé. Le respirateur n'est plus là, ça y est. Qu'en a-t-elle fait ? D'autres minutes effacées, qui semblent ne jamais avoir été vécue alors que...
C'est ainsi. Depuis si longtemps, maintenant. Depuis qu'elle est revenue. Tant de jours, d'années vécus sans l'être. La mascarade est terminée, pour elle ainsi que pour tout le monde. Il faut juste jouer le jeu, encore un peu. Quelques minutes. La folie, parfois parvenait à lui faire croire que tout était vrai. Tu es en vie, jeune fille. Mais c'est faux. Combien de fois n'a-t-elle pas dit, à la Vautourde...
« Emily, j'ai peur... »
Moi aussi.
Je vais revenir.
Une dernière cigarette et une dernière gorgée de Skiwi, sur le toit d'un immeuble réalisé par ses propres soins. Son seul réel domicile, sa création, sa plus belle réussite. Une salle d'entraînement cachée derrière une bibliothèque, un étage supplémentaire pour y cacher les secrets d'une vie trop longue et surtout, une vue sur le Sud, les murs, la ville, la Torche.
Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon œil intérieur sur son chemin.
Derrière le voile obscure qui s'est abattu sur ses yeux, elle ne devine que vaguement quelques lueurs lointaines, mais aussi le flash autrefois si violent qui balaie régulièrement son bureau. D'elle, il ne restera probablement que ça, au moins quelque temps. À moins qu'il ne soit écroulé depuis longtemps maintenant.
La fumée de cigarette n'a plus de goût. Emily l'ignore, mais elle n'avale plus de coton de nicotine mais des gouttelettes de sang diluées dans un reste de salive au fond d'un verre de Skiwi vide. Ses sens disparaissent. L'enveloppe s'effiloche. Sa tête dodeline d'une épaule à l'autre, sans plus de contrôle. C'est bientôt fini. Il ne reste plus grand-chose à faire, maintenant. Juste un dernier passant malchanceux qui se fera cuver à cause d'une bouteille éclatée sur le coin de la gueule et venue du ciel, un peu comme l'amour, paraît-il. Quand on ne s'y attend plus.
« Dreyer...Je n'ai plus mal, je n'ai plus peur. J'ai vécu et je meurs...Enfin. Je n'sais plus si l'message...Est-ce que j'l'ai envoyé ? Faut lui dire. Lui dire la vérité, avant. T'sais. Qu'on parte. Faut qu'elle... »
Mais elle ne contrôle plus sa voix. Il ne lui reste qu'assez de force à présent pour le dernier baroud, celui d'honneur, celui qu'elle a programmé depuis le retour du grande dehors. Malgré le fait qu'elle ne ressente plus rien, n'entende, ne voit, ne goûte, ne sait plus rien...Il lui reste un faible battement de coeur et tout juste la force de grimper maladroitement sur le rebord en métal qui surplombe le monde de Dreadcast.
La voilà, poupée chancelante, marionnette décousue que plus personne n'aide à tenir debout. Emily Marie Tyr...Sa révérence, les bras tendus. Trois p'tits tours, un éclat de rire tonitruant et puis s'en va.
Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi.

Quand je reviendrai d'entre les morts, pourrez-vous à nouveau bercer mes rêves ?



[ Transmission Interrupted ]
P̷͙̺͜͝ͅa̵̖̐́͌͊ȑ̷͈͇̜̫͝m̵̯̼͑i̷̝̟̹̓̚ ̸̼̺̜̋ͅṭ̵͇͎̰̒̿́͑ó̷̧̟̥ṳ̸̀̎ͅt̵̻̒e̸̢͉̝̞̓̚ ̸̻̻͎̗͂̏͑l̵̙̼̉'̸̪͖̳̤͐̈͝h̴̢̫̣̞̒̄̕͠ő̵͍̼͇͑ŗ̶̎̉͑͝ṙ̸͙̗̒͝ȇ̵̲̈́̏͒ư̴̮͎̫͐r̴̛͍̃̈ ̵̧̘̰̊͝d̶̟̩͑e̷̖̍̋̓ ̴̼̠͒̉͑̕c̶̺͕͛̃͠è̷̞ ̴̧̘̲̙͂̓͊m̶̗̋̑̀o̷̡̺̲͒̎n̷̡̟̿̈d̸̡̲̰̎͌e̵̬̺̰̫͌̔̚͝,̷̨̍ ̸̼͋͋́͠m̵͚̃͑ä̸̦͓̟̐̍͜ĺ̴̢̨̺̞͒̀̄g̶̛̳̖͓̯̅̅̅r̴͉͒͆é̷̜̭̻̎͊͛͝ ̴͖̊͛̃͊c̸̥̅̕ȅ̴̥̪ ̸̠͕͈̇͐v̷̧̖̥̽̿e̵̡͕̝͖̋͒ȑ̸̟͆͜s̸̼̭̻̉ ̷̜̼̇͜q̴͈͚̺̼̔̒̊u̷͔͉̍̾ơ̵̧͛̈́̈́͜i̷͍͇͇̓̾̎ ̶̳̼̺̌̕̚i̸̛͉͗̀l̷̻͔̓͆͜ ̶̺̅͛̏͆s̸͓̤͍̄̚e̶͚̱̩͕̊ ̴̢̇̋p̷̰̻͖̄̄e̴̖͍͙̬̕u̷̮̼̗͂̆̓́t̶͚̏͐̿ ̴̯̲̙͕̎͆̄͠q̵̠̟̯̘̒̆u̴͉͖̇͝ẻ̷̪̽̐ ̸̼̬̫͊̒l̵̛̥͓̭̀̍'̸̺̲̿͑̈̂Ȟ̸͈͈̱u̶͕̍͘m̸̩͙͖̈́́͒̋ǎ̷̖̱̤͔ṋ̷̤̍̐į̴̦͍͊͝ẗ̴͍̥̰̹́͗̈́é̶̪͝ ̸̲̣̇s̴̡̞̦̀̄ẻ̶̱̗͖̠ ̵͍̻̹̂̆͑d̸͖̾ì̶̦̠̓ͅṛ̷̦̙͌i̶͖͂g̷̱̈́è̷̳̾̑̑,̶͔̿ ̸͖̪̘̄ȁ̶̘͓u̵̖̲͒̇̅͜ ̵̻̒̈́m̴̧̧̮̅ì̵͕̲̳ĺ̶̖̤̕̕͝ͅī̴̧ē̷̪̲͗̈͝ū̸̜ ̶̙̿d̶̟̜̪͑͐̎͝e̵̲͚͋̓ ̷̣̝͍͆̃̑t̵̻̕õ̴͍̩̗̭͌͑u̵̧͊̓̆ẗ̴͍̺̗̒̕͝ ̷̟̩̟̾́̓c̷̼͉̰͔̿͗̚ė̸̫͍̪̫̅͋̒l̴̞̼̙̟̀͊a̴̘͚̯͛.̶̪͇͉͕̓͂͒.̴͆̃͝ͅ.̶̝̻̆̄̐̏I̷̩͕̮̊͆͘͝l̸̪͙̻͛̐͝ ̷̭̩̗̒́ỳ̷̟͗̂ ̶̠͇̹͉̓̏̉̎a̴͎̚v̷̘͠å̶̡̋i̶̢͎̞͓̓̋͗t̶̮̪̾̎͒̃͜ ̵̛̻̙̳̒̓̀n̴̝̎͐̊̍ǫ̸̂̎͊͂u̷̡̩͙̞̓́̾͑s̸̪̫̎,̶̠̱̲̉̀ ̴̖̯̖́̀̐̽i̸̢̳̯̍̃̊́l̵̘͑̑̚ ̷͖̹̑̂̊ỷ̷̼̣͓̙̽ ̵̼͐̀̾ạ̶́͋v̶̲̭̱̙́̎̂a̶͍̣̓ḯ̷̯̠̺̭̈́͋̀t̴̼̀ ̸̹̣͋́͛͝l̴̢̜̈́̄'̵̬̺̮͕͗ą̷̲̩͕̉̅m̶͇̾͋̍̚ǫ̵̱͗u̸͈͍͉̖͘r̵̪̗̐̏.̴̹͌͝ ̴̤͆̐̏̕͜Ë̴̗̱̠̍̄t̵̟̉͋ ̵̛̪͈͌͘̕q̷̨̕u̶̧̎̏͐̅o̵̹͐̔̈͛į̸̖̯͉̈́̊͐̉q̶̨̱͙̂̅̄̈ǘ̸͓̾̆'̴̲͍̺̳͊i̷̢̗̯͊̀͋̆ļ̴͚̰͑̈́̕ ̵̘̳̑͋͘a̴̳̮͉̐̓̊d̸̯̙̔̾̀v̵̖̟͉̽̅͜ḯ̴̥̘̖͖ẹ̵̡̥̏͋̑͑ǹ̵̖̬̖͘͝ṅ̶̮̼̟͆e̵̫͗,̸̺̱̜͉̍͐ ̴̡̛̜̋̏q̷͎̪̈́̒̚u̶̝̜͕̩̅e̸͓̯͕̔ ̷̣͔̝̳͆̒̊ľ̵̘͘'̵̜̎̿̈͗o̴̡̭̥̓̚͜ṋ̶͂ͅ ̸̼̱͋s̷̩̆̐͆'̴̲͙͔͐́ę̵́́̓t̷͓̼̙͐e̷̩̭̣͈̐̐̌͂i̸̯͋̓̉́g̴̫̩͝n̸̼͆̂ē̷̢̜͉͒̓̀ ̴̟͔͖͓̀̃̐͝à̵̢̮͉̩̀̽̈́͝ ̶̤̒͊̀̕ẗ̵͎́̋ô̴̖̬̅́̕ȕ̴͙̽̓t̷̤̺͚͍̆͛ ̵̣̰̯́̊̿ͅj̴̘̩̄ȧ̴͓͎͛͘m̴̢̗̲̌͐̊͝ȁ̷͖̩̩i̸̮̹͌̓̑̈ͅș̶̿ ̸̘̯͍̊̕ö̵̹́̓u̷̙̣͍̇ ̵̪̼̒̈̏̋q̵̭̗̯̥̽́͐u̶̘̹̟̔͑̇e̷̢̲̫̍ ̶̪̗̘͗ḻ̴̞̃͐͗͝'̷̼̤̫̩̒̂́̓o̸̢̩̪̱̾ṋ̵̆ ̶̡̖͑͑̾v̸̮̖͎͖̏i̸̘̔̓v̵̱͎̈̍ê̸̺̻̈̔ ̶̹̩̥̯͐p̵̛͕̦̆ō̷͔͍͌͝û̵͎̚r̷͚͠ ̶̧̢̤̠̉͗̂͋l̶̢͋́͋͐͜'̵̧̦̼̻̊̿é̴͍͍̝̈́̃t̷̪̺̩͙́͠e̷̤̼͚̼̽r̷̤̙̽͑n̶͉͂̈̏͊i̸͈̤̤̊̚t̵̼͊̔̍̎é̴̛̙͎̺̉͌́ͅ,̸̭͆͜ ̵͚͈̺̀c̷̼̳̳̽ͅe̴͇͋͝l̴͙̪̳͆͊a̸̻̭͊͒,̵̝̭̮̂͠ ̴̡̯͉̩̅j̶̬̗͍́ư̴̼̭̺̼̈́͂s̷̯͐̒̐̚ẗ̴̹́ę̷͕͛̓͠ ̷̧͇͒̚c̷̟̫̲̍̄e̴͉̪̫̒l̶͈̼͉͆ạ̶̱̟͎͆,̴̤̦͒̓͆̚ ̵̭̱͆͐̋p̶̜̟͑͜e̸̗̹̪̹͗͗r̵̺͎̩̞̿̐̋d̴͈̙̕u̷̟̦̣̓̉r̷̰̹̿̉̀ͅe̶̘͉̾ŕ̵̦͎̪̯̉͐a̸̭̺͖̥̓̓ ̶̖̽͑͘͜ǰ̴͎̟̩̜̀͘͠ǘ̵̘̪̎͘s̸̠͖͖̑͋q̴̳͔̯̱̏̂ǔ̴̘̫̤̈'̵͇͈͉̅à̷̹̫͛ ̴̨̨͚̦͆̐̆l̵̖̬͐͂̑̈́a̸͉̘͂ ̸̨̹̻̣̿n̴͉͓̖̞̉̍u̷͕̼̪͊̋͒̉ȋ̶̱͓̭̑͠t̶̨̖̫̊̇̚ ̷̫̯̱̘̋̃́͝d̸̥͑̔̎̈́e̸̜̟̋̈́̍̚s̸͚̈́́́̋ ̶̡͉̙̝́͌t̴͔̿͝e̴̜͚̼̾̍m̴͖͉̼̉̓p̸̣̤̯̆̿s̷͇̙̰̑̅̂̈.̴̘̳͉̜̿̊̆ ̶̖̻̲̩͆
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Récit de fin
09 Août 2019
1008√  22 6

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◊ Commentaires

  • Hécate (205☆) Le 09 Août 2019
    "Mince."
  • Eaven (1181☆) Le 09 Août 2019
    « J’emporte avec moi tous tes secrets.
    Une outrilienne et une humaine furent assises sur un toit.
    L’une d’elle s’en est allée, mais l’autre va continuer.
    Son amour et amitié, rest’ront toujours gravés.
    C’est qu’elle l’aimait vraiment, son amie Outrilienne. ♪ »


    Il y a des choses, comme ça, dont on se souvient. Que l'on pleure toujours un peu. Dans n'importe quelle vie.
    Chapeau bas, l'artiste.
  • Aislinn~60672 (172☆) Le 09 Août 2019
    Toujours aussi fascinant à lire ♥ sur toi
  • Leviathan~47056 (504☆) Le 09 Août 2019
    "C'est la vie..."
  • Aexe (120☆) Le 09 Août 2019
    Bene Gesserit un jour...