EDC de Cryx~52202

Elle opine vivement, pressée et le suis quand il se dirige vers son petit labo.
La pièce est doté d'un projecteur holographique, de quelques appareillage de chimie et d'analyse sur des paillasses et d'un ordinateur. Un tableau blanc orne le mur avec des gribouillis de calculs dessus.
Allumant l'ordinateur, il va ensuite également mettre en marche le calculateur annexe puis le projecteur holographique.
Elle s'assoie doucement sur un siège pour regarder.

- C'est gourmand... me faut une installation secondaire pour le faire tourner sinon il plante.
- je vois.

Il lance alors le programme

- Donc... comme je t'ai dis, ce jeu de simulation est basé à l'origine sur une vraie simulation théorique. Il y a 12 ans quand j'ai commencé des calculs de biologie des populations, afin de vérifier des calculs et possibilités. Avec le temps j'ai rajouté des facteurs de précisions. Et puisque j'étais allé jusque là, j'ai continué, et encore et encore à grappiller des ajouts en permanence pour le complexifier et en faire une simulation politique complexe de tout l'imperium.
Je l'ai appelé Imperialization.
- Bon nom.
Alors qu'il fait défiler une liste de parties numérotée, il en sélectionne la dernière en cours.
S'affiche alors un grand hologramme, représentant les 9 secteurs.

- ça c'est la carte de tout Dreadcast. Nous on se concentre bien sur sur le rôle du S1.
Il zoom alors dessus.
-Le reste n'est pas jouable, mais interagit quand même, j'y viendrai. hmm c'est pas facile de t'expliquer... première fois que j'explique à un autre. C'est un jeu au tour par tour. Il faut 2 tours pour faire une année.
- Pour l'instant, je suis.
Sur la carte du secteur dans les tons bleutés, on voit une multitude de points représentant les OI et Annexes, et d'autres points encore. Des tableaux de données, des chiffres indicateurs...
- C'est beau !
- Le programme est fait de tel manière que l'Imperium est sur une pente descendante. Si on laisse tourner, il s'écroule.
- L'interet est de le remonter.
- Ton but est donc d'inverser la tendance, en trouvant les idées et méthodologie pour ce faire, avec tout un tas de réglages possible. Il n'y a pas de bonne méthode mieux qu'une autre.
Tout est prévu pour interagir ensemble, avoir de l'effet bénéfique et néfaste quoi que tu fasses. C'est un mélange délicat, à toi de juger, de doser, de prévoir ta politique sur le long terme, savoir comment tu veux orienter l'Imperium et savoir ce que tu veux tenter durant ta partie.
- Je comprends bien. ça va être hard.
- C'est EXTREMEMENT difficile. On va commencer par le début.
- oui ! que je comprenne bien.
- Quand tu démarres une partie tu arrives en fait en fin d'une crise politique. Qui te permet de prendre un nouveau départ en replaçant un nouveau gouvernement. Le jeu démarre en 270. Parce que c'est le point de départ où j'ai commencé à programmer.
- Je dois nommer un nouvel ambassadeur ?
- Oui et pas que.
Il ouvre l'interface du CN où se trouve une liste de portrait et de jauges.
- Tu commences par définir ta politique générale, avec des doctrines politiques.
- Je sens que ça va me passionner.
- Conservationniste / Progressiste Populisme intégrisme libéralisme Technocratie Autoritarisme Corpocratie Etatisme.
- J'ai droit à plusieurs choix pour les combiner ?
- Tu places tes points dedans pour jauger selon comment tu veux orienter ton Empire, ça va avoir beaucoup d'influence sur tout le reste. Et oui tu peux t'ultra spécialiser en peu de domaine, ou faire plus équilibré en plus de politiques.
- Progressiste, technocratique, liberaliste.
- C'est à peu prêt le réglage en cours.
- Bien alors.
-Le pouvoir sur la masse est limité, comme dans la réalité. L'objectif n'est pas de simuler la prise de contrôle de tous les habitants un à un pour en faire ce qu'on veut, mais de dupliquer le système de gestion politique actuel, ou nous ne pouvons que provoquer des tendances et vérifier si la population suit.
- Nous sommes d'accord.J'ai une liste pour choisir l'ambassadeur ?
- Bien. Oui. Je t'explique les personnalités.
Il pointe alors un autre endroit sur l'interface.
- Ici, tu as une liste de personnalités. Avec un nom aléatoire et des capacités. Ceux de base qui s'ajoutent tout seul dans ta population, sont classés de 1 à 4 étoiles. Ils ont automatiquement un travail.
En sélectionnant un au pif, il lui montre l'interface détaillé de l'individus.
- Krog, un orc a 1 étoile, travaille dans le privé.
Il lui montre alors la liste des jauges qui suit.
- Chaque personnalité à différent capacité. Connaissances martiales... Oui parce que je l'ai conçu sur mon principe des 4 grands domaines, martial, économique, technique, social.
Donc une personnalité forte dans le martial sera déjà une bonne base pour être nommé général tu vois. ou Commissaire. Connaissances techniques, donc d'avantage pour des profils STV/ QI... Connaissances économiques, pour la DAI par exemple. Connaissances politiques, une case importante pour la noblesse notamment. Imagines un CN rempli de personnalités nulles en politique, ils risques de provoquer des événements automatique néfastes, genre, adoption d'une loi illogique, qui va faire râler la population.
- En effet.
- La popularité, va augmenter l'attractivité et l'efficacité du lieu où est la personne. Le charisme, pour tout ce qui est commandement, direction, et également attractivité du lieu. Et la force mentale, ce qui fait que ta personnalité ne va pas décrocher. Les pressions dans les hautes sphères sont énormes, il y a un calcul qui va attaquer les personnalités à chaque tour, si elles craquent elles sont retirées du jeu et faut remplacer. Donc pour un DI le calcul d'attaque est raisonnable, mais pour noble il est déjà plus fort, faut des perso avec des forces mentales plus élevée. Et l'Amba alors là t'as intérêt à placer un gars avec une grosse force mentale où il finira pas son mandat.
- Nettement oui.
Il venait d’ailleurs de l'apprendre quelque cycle plus tôt en exclu, l'Ambassadeur dans la réalité allait quitter son poste...
- Ces trois derniers facteurs en fait correspondent à l'aspect social que j'ai divisé donc. Popularité, charisme, force mentale. Il reste aussi l'indice de Loyalisme de la personne. S'il est élevé, c'est une personne proche des idées gouvernementale. Si c'est éloigné, il a plutôt une affiliation autre. Mais! ça peut être d'un intérêt politique de faire rentrer de telles personnes au gouvernement pour satisfaire certains groupes et grappiller des points de satisfaction. Ce qui manquera pas de provoquer des jalousies des autres groupes donc du négatif... Tout s'équilibre, mais chaque mouvement est à calculer de manière à deviner qu'est ce qui au final fera un bilan net un peu positif. Ces personnalités donc de base sont dans la population. Tu pioches dedans pour nommer tes directeurs, DI, Nobles. Et HD et Amba parmi ceux que tu as déjà nommé noble. Comme dit ils ont entre 1 et 4 étoiles, plus ils ont d'étoiles, plus ça veut dire qu'ils ont de points de réparti dans leurs différentes compétences, donc qu'ils sont efficaces. L'apparition de ces personnalités est pondéré par la manière dont tu gère l'Université, et quelques doctrines idéologiques de la Domus. Si tu t'occupes bien de ces deux annexes, ça veut dire plus de connaissance, plus d'apprentissage, donc plus d'apparition de personnalité capables, plus souvent, meilleure, et qui progressent plus vite. Car elles ne sont pas fixe, elles vont progresser avec le temps. Plus rapidement à un poste nommé, que si elles restent dans le pool de réserve. Et monter ainsi potentiellement jusqu'à 5 voir 6 étoiles.
- J'ai droit à combien d'erreurs?
- Haha, très peu. Mais on en fait forcément.
- On se lance ?
- Tu veux démarrer une partie? J'ai pas fini de tout expliquer.
- Tu m'expliqueras au fur et à mesure
- Comme tu veux...

Quittant la partie en cours, il en relança une nouvelle à zéro, commençant donc par le choix du gouvernement. Elle était toute excitée de commencer.
Ils commencèrent à placer la politique globale puis les premiers choix de personnalités.

- La police ça va être le CdO, avec l'autoritarisme qui agit dessus. Pareil pour la criminalité qui varie selon l'efficacité du CdO ou la politique générale.
- J'aime ton jeu.
- Après ce qui est le plus important à surveiller c'est l'indice de satisfaction de la population, là haut. Je n'ai jamais réussi à dépasser 60%. Plus l'indice grimpe, plus le peuple est enclin à suivre les doctrines proposées par le gouvernement. Et par conséquent plus les activités des différentes OI/Annexes et autre projet sont efficaces.
- Oui, normal. Tu as pensé à tout
- Une perte de cet indice augmente l'instabilité général. La création de groupe de dissident qui peuvent provoquer des actes terroristes. Et quand ça devient vraiment trop bas, peut se déclencher un événement de crise politique majeure, qui force à changer de gouvernement. Donc faut refaire tout ce qu'on fait en début de partie. Juste en dessous c'est l'indice d'union sectorielle. Bien que proches et liées, ils représentent des choses différentes. C'est l'union populaire qui te boostera l'efficacité de l'ensemble. Si c'est désuni, tu vas multiplier les factions, chacune avec leurs visions, dissidentes ou non. Leur agressivité face au gouvernement sera défini par l'indice de satisfaction. J'ai intégré l'Ordre Noir par exemple en tant que groupe, il est prit en considération. Mais aussi les groupes privé actuel, et divers groupes X.
- Là, je suis à combien ?
- On démarre à 40% de satisfaction et d'union. Plus tu aura une population désuni et insatisfaite, plus tu risques la dissidence, les accidents politiques isolés ou majeures, et les actes terroristes. Gardes des indices le plus haut possible et tu auras une croissance de ton Imperium, c'est ce qu'il faut atteindre, et tenir le plus longtemps possible. Le but de la simulation s'arrête là typiquement. Trouver l'ensemble des réglages à établir pour remettre l'Imperium sur une phase de croissance au lieu de décroissance.
- Oui.
- Tiens on va faire un saut au QI.

Switchant d'interface et de tableaux, il fait apparaître un grand arbre technologique.

- Tu peux choisir des technologies à développer. Plus tu as un gouvernement technocratique et avec un intéret pour la recherche plus tu peux en faire à la fois et plus elles sont rapides. Elles ont un nombre de tours de réalisation.
- Oui, je veux que la recherche fonctionne bien.
- Il y a 84 recherches implantées.
- Pas mal.
- Au début j'ai mis des vrais nom de projet... après j'avais plus d'idée alors j'ai mis des trucs genre médecine 1 2 3, énergie plasma 1 2 3.
- On devrait se concentrer sur les plantes.
- Il y a. Chaque recherche, n'est pas vaine. ça apporte des bonus à ton Imperium. Si tu développe des tech d'armement tu vas booster ton militarium. Des petits pourcentages à chaque fois mais rien n'est inutile. Ou alors ça t'ouvre des nouvelles possibilités, pour les explorations.
- C'est de la vraie gestion.
- Car tu peux... aménager, construire! Pour ça, les STV bien sur.
- Oui !
- Encore de la gestion au sens large pour apporter des bonus aux OI ou grappiller des points de satisfaction ou culturel, ou encore la gestion des ressources premières pour la ville. Et pour l'extérieur, c'est l'ASICS parce que regardes...
Il dezoom alors et fait apparaître d'autres niveaux sous le S1 puis le S2 et aussi d'autres niveaux sous le S2. Elle regarde, fascinée.
- On a les secteurs de représenté, et les souterrains. Plans complètement fictifs bien sur, c'est partagé en sous secteur. Et ça s'explore.
- Tu n'as rien oublié.
- Tu peux monter des expéditions de recherche. Et c'est extrêmement important. Peut être que j'ai influencé la programmation par rapport à ma propre politique je sais pas... Mais si il y a une voie de sortie à trouver, je ne vois que par l'extérieur. Donc on peut , soit trouver des problèmes, oui oui, soit des technologies ou connaissances perdues, et ça, ce sont des gros bonus. Mais tu peux aussi provoquer des morts ou des catastrophes. Ce n'est pas tout rose.
- Helas.
- Mais c'est pas tout. Histoire de corser bien bien encore. J'ai rajouté des factions adverses.
- Ben voyons.
- Tu n'es pas seul sur l'échiquier de Dreadcast. Tu as des factions ennemis ou neutres autour, en S3 bien sur mais placé aussi dans certains autres Secteurs.
Faudra également composer avec eux. Car eux aussi se priveront pas de provoquer des événements rares en S1 qui peuvent provoquer une crise.
Je part du postulat qu'ils sont plus fort. Mènes l'Imperium vers un conflit direct trop violent, tu perds. Il n'y a aucune diplomatie possible avec, sauf le S3. Seul dépendra de tes actions. Rester isolé non plus n'est pas bon non plus. Tu dois sortir. Comme dit il peut y avoir des gros bonus à aller fouiner dans les zones inexplorées, ça signifie aller titiller les autres factions aussi, mais c'est nécessaire si tu veux faire avancer l'Imperium. Le militarium sera logiquement ta force armée, pour combattre le SR, et accompagner les expéditions à l'extérieur. La puissance de ton armée se règle par bien des facteurs, depuis les doctrines politiques et idéologique, ton général, les technologies... et toujours ton indice de satisfaction...

Il revient un peu plus précisément sur la surface du S1, réfléchissant.

- Hmm tu auras aussi des événements aléatoire, ou presque, selon les données qui sortent du jeu et peuvent provoquer des situations. Les crises politiques donc, les intrusions de xénogène, les attaques rebelles, les blackout énergétique, ajout fait récemment après la crise... les attentats terroristes, les crises économiques, les guerres de consortium, les trahisons majeures d'une de tes personnalités...
- Oui, je vois.
- Donc à chaque fois faut agir en conséquence. Tu as un panel d'actions pour chaque OI et Annexe ou le gouvernement.
- On arrête jamais en gros.
- Ha non! Bienvenue dans le monde cruel de la politique. à lutter contre ça!
Il pointe l'indice de satisfaction.
- Merci cher maître.
- L'ingratitude de la population.
- Ben ça, on en fait jamais assez.
- D'ailleurs avec la Domus, tu vas jouer sur les doctrines idéologiques, pour répandre l'impérialisme. L'influence de la noblesse sur ce facteur n'est pas négligeable non plus. Vu qu'ils sont censé être tes exemples.
- Oui.
- Tu peux toucher à l'économie mais de façon limité, ça dépend si tu es libéral ou pas. Mais le domaine privé tu n'y as pas accès. Il tourne tout seul de son coté. Mais ya les mêmes leviers que la DAI d'implanté. Et quelques autres possibilités selon les choix que tu fais.

Il se rend alors sur les STV pour montrer les constructions. Et il lui montre un monument.
- C'est très complet.
- Tu peux bâtir ça, par exemple.
- Oui.
- ça ajoute des points culturel. Car la culture est implantée aussi.
- Il faut oui.
- C'est représenté par les constructions de monument, la musique, l'art en général donc tout événement artistique, l'identité des quartiers, les doctrines idéologiques,... Tu as donc un indice culturel, ici.
Il pointe dans un coin sous les indices de satisfaction et d'union, un chiffre mauve en pourcentage.
- Il est de combien là ?
- 70%.
- Pas mal !
- L'Imperium est civilisé de base. Ton indice culturel est important aussi si tu veux un Imperium fort et civilisé, il faut monter ton niveau de culture. Plus il baisse plus tu tombes dans la barbarie, et donc signe que tu sombres car les malus vont s'accumuler.

Il se balada un peu sur la carte.
- Voilà je pense avoir fait le tour, un tour grossier. Après tu t'amusera avec les options et les claques que tu vas prendre.
- Tu as fait un manuel explicatif ?
- Non. Vu que je jouais tout seul. Maintenant je te dis j'ai jamais gagné.
36 parties, 36 échecs, inévitablement le S1 sombre au bout de 100-150 ans.
Je vais continuer d'essayer de trouver... Le schéma de mes parties est toujours semblable et forme une gaussienne. J'arrive à le redresser, ça croit bien, je le fais évoluer, puis j'arrive à un point d'équilibre et de rupture que je ne peux pas dépasser. Alors se produit un événement qui me met dedans... C'est le début de la décadence et le reste du jeu n'est qu'une succession d'échecs où on ne fait que subir la lente déliquescence de tout ce qu'on a construit, jusqu'à ce que la baisse se ralentisse au moment où l'Imperium n'est presque plus rien du tout. C'est désolant tu sais. Je pense tu vas vite te lasser de celui là.
- Je crois que les civilisations sont appelées à mourir et renaître.
- Il est vraiment très dur et trop centré simulation réaliste et complexe.
- Pourquoi me lasserais-je ? Tant que je comprends.
- Ha quand je te montrerai Imperialization II : Outlands, peut être tu préféreras.
- C'est plus ludique ?
- Oui. Là je l'ai vraiment fait pour le fun pour m'amuser et faire un truc qui me plait. Ya très peu de considération réaliste dedans. Mais ça reste de la gestion. ça se passe environ 250ans dans le futur. Et c'est plus proche d'une de mes nouvelles qui est encore dans les cartons, Outlanders.
- Et l'Imperium est florissant ?
- Oui, je part du principe que la partie I est réussie. Donc on s'organise pour la colonisation à grande échelle vers l'extérieur.
- Oh ! ça c'est passionnant.
- Jte montrerai une autre fois.
Il lui fait un clin d’œil avant d'éteindre l'ordinateur.

Plus tard il revint un peu sur sa partie avancée.
La date indiquait 342, il jouait sur un secteur et demi, une économie équilibrée et des recherches élevées.
Il sourit quand un nouveau gros symbole en parallélogramme apparu. Il le déplaça vers le S4 vers une floppée d'autres points bleus, de petits carré et de deux losanges. Sélectionnant les ordres de la grosse super unité, il vit également l'indice de satisfaction faire un bond.
Parfait... Aller aller... On continue.
Mais noooon rien ne peut aller bien. Quelques tours plus tard des problèmes s’enchaînèrent. Jusqu'à une alarme et un encadré rouge.
" Votre Dreadnought a été détruit." Et le logo parallélogramme de disparaître.
- Putain!! Mais merde! Tu te fou de ma gueule? Il... a même pas fonctionné 5 ans! 40 ans de recherche et construction!
Il avisa la contre-attaque d'une faction adverse. L'indice de satisfaction s'effondrer après la perte d'un gros projet, l'instabilité politique gangrener l'ensemble doucement. L'économie vacilla, contre coup de la perte d'un projet si coûteux.
Au cycle suivant, c'était prévisible, après encore des nouveaux points bleus qui disparaissait et une nouvelle baisse des indices, une crise politique majeure s'enclencha.
Il soupira et prit une pause pour regarder l'ensemble de l'holo en déployant tous les tableurs à la fois pour faire un point global.
Une grosse partie de la pièce était rempli par la carte et toutes les indications.
Il secoua la tête. Trop négligé l'escorte du Dreadnought, il avait voulu faire vite cette fois, trop vite.
Oui il avait battu un recors. Il avait planté l'Imperium avant 350. Du jamais fait jusque là. Tout du moins il avait atteint le fameux point de non retour. Il connaissait la suite, ce n'était qu'une longue course à l'équilibre alors que tout continuerai de s'effondrer, à subir problème sur problème. Ce tour pivot marquait le début de la phase de déclin. ça ne l’intéressait plus de jouer ça, il savait que ça menait à rien.
Il enregistra la partie et la rangea avec les autres nombreux échecs de simulation.