EDC de Cosmos

Ces unités sont spécialisées dans la logistique et maintenance d'installation.
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• Logistique :

• Transport manuel de caisse, blocs, équipement lourd ou non, à pieds

• Maintenance :

• Manipulation et usage d'outil afin d'entretenir machine et infrastructures
• Maintenance et réparation d'équipements/infrastructures

Cette série de Droïde a été conçue en utilisant/adaptant/fusionnant des pièces de droïde classique/usine avec une Exo-armure de chantier complète.
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En cannibalisant intégralement ces deux technologies, cela permet de concevoir des Droïdes, à taille humaine, aussi bien apte à mener des travaux de maintenance (technique, structurels etc...) que du transport à pieds de matériau/équipement d'un point A à un point B.
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L'utilisation de vérin pneumatique permet à ces unités de se déplacer/mouvoir/bouger, presque comme un humain lambda.
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Néanmoins, c'est l'ajout de vérin hydraulique en parallèle/renfort, en plus de ceux présent déjà sur l'Exo Armure de chantier, qui donne toute sa force de levage et de manipulation à ces robots.

Capable de courir, sauter, escalader, cette unité n'est pas apte au combat car elle n'est pas programmée et encore moins conçue pour cela.
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Le D.M.L. ne dispose pas de la capacité à porter des coups, des frappes explosives à main nue, comme le ferait un combattant, et dispose encore moins de la programmation adéquate pour porter des attaques au corps à corps où à distance.
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En revanche cet équipement est programmé pour esquiver/fuir toute attaque directe ou indirecte, esquiver les chûtes d'objets.
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Le Droïde cherchera constamment à protéger son intégrité/existence tant que cela ne compromettra pas l'accomplissement de ses protocoles de maintenance et logistique.
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Si le transport d'un équipement ou la réparation d'un élément est notifié prioritaire, alors cette machine se laissera détruire si cela lui permet de mener à bien sa mission avant désactivation.

Ces unités sont spécialisées dans les interventions de maintenance en milieu étroit et/ou très difficile d'accès.

Ces robots ont été créés comme complément des D.M.L. afin d'accéder aux endroits où ces Droïdes à taille Humaine ne peuvent accéder, que ce soit à l'intérieur des conduits d'aérations, sous les faux sols afin d'intervenir sur le câblage etc...
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Pour évoluer sur tout les types de terrain et de relief il a été fait le choix de reprendre le concept du Vertigo 2.0, mais en les dotant de 6 pattes désormais.
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Les Arachnopodes sont prévus pour intervenir en toute situation et domaine de maintenance, c'est pourquoi il existe une multitude de déclinaison possible mais néamoins il est pour l'instant considéré deux grande familles d'Arachnopodes.
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• Les Arachnopodes réseau se connectent ça et là afin de faire de la maintenance informatique s'assurer de la bonne santé du parc informatique/électronique dont elles ont gestion (routeurs, port, tour de serveur etc...).

Elles permettent des interventions matricielles/decking localisée, changer l'attribution de port, modifier le câblage réseau, activer/réarmer des switch électronique etc...
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• Les Arachnopodes ouvrières entretiennent et réparent l'infrastructure, les biens ainsi que les équipements endommagés, usés etc....

Ces deux familles partagent des caractéristiques similaires (6 pattes, corps aplatit, pinces de manipulation à l'avant etc...) mais se voit allouer des outils principaux spécialisés dans leurs domaines respectifs.
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Il aussi est conçu que ces deux versions puissent travailler en synergie sur un même équipement/zone

Capable de courir, sauter, escalader, ces unités ne sont pas apte au combat car elle ne sont pas programmée et encore moins conçue pour cela.
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Les Arachnobot ne disposent pas de la capacité à porter des coups, et encore moins la capacité de tuer avec leur tête laser à soudure.
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En revanche ces équipement sont programmés pour esquiver/fuir toute attaque directe ou indirecte, se faire discret, esquiver les chûtes d'objets etc...
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Ces Droïde chercheront constamment à protéger leur intégrité/existence tant que cela ne compromettra pas l'accomplissement de leurs protocoles de maintenance.
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Si la maintenance ou la réparation d'un élément est notifié prioritaire, alors ces machines se laisseront détruire si cela leur permet de mener à bien leur mission avant désactivation.

Cette unité est conçu pour servir d'appoint mobile en vidéo/audio surveillance et/ou enregistrement. Elle dispose d'équipement vidéo, audio, optique et luminaire permettant à un opérateur, ou une I.A domotique, d'interagir à distance avec l'environnement.
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Mais elle est bien plus que cela, elle peut non seulement être piloté en direct mais aussi se voir programmer des patrouilles et/ou des protocoles d'action en cas d'alerte (incendie, intrusion etc...)
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Summum d'ingéniosité, elle est doté d'un équipement audio permettant de capter/enregistrer les sons mais aussi de permettre à un opérateur de s'exprimer distinctement à plusieurs dizaine de mètre en poussant le volume à fond. Il est même possible d'en faire une arme sonique non léthale.
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Enfin, il est possible au drone de projeter un laser optique destiné à éblouir, indiquer une direction, projeter un texte, des schémas et/ou images monochromes simplifiés.
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• En cas de panne de panne du système de vidéo surveillance, et pour éviter temporairement d'avoir un angle mort, ce robot peut se déplacer sur zone, en volant, et remplacer quelques cycles une caméra défectueuse.
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• Durant une conférence, une rétroingénierie, la caméra est capable de se déplacer autour d'un intervenant afin de capturer en détail la moindre action, enregistrer la moindre parole, servir de pointeur/projecteur laser d'image monochrome.
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• La caméra mobile est une extension d'un individu, d'une I.V., d'un opérateur car elle peut interagir avec son environnement :

• Engager une communication visuelle et sonore
• Servir d'outil de reconnaissance/enregistrement mobile et sonore
• Eclairer une zone, un couloir etc...
• Guider, informer des personnes à distance via la projection d'un laser optique permettant d'afficher des textes/dessins/schémas monochrome que ce soit pour assister/guider une opération de maintenance, aider à l'évacuation durant un incendie etc...

• Dans un registre défensif, face à des intrus, la caméra mobile est capable de :

• Les aveugler par l'utilisation de son laser optique à longue, moyenne et courte portée.
• Les étourdir par le déclenchement de "BANG" sonique à courte portée.

La caméra mobile sert à la fois l'opérateur et à la fois l'agent de terrain, ce qui fait que l'équipement qu'elle intègre n'aura pas forcément d'utilité immédiate pour un operateur.
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Etant donné l'étendu de ses fonctionnalité, il a été intégré une batterie plus important que sur le Drone de reco à rotor.
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Comme cet équipement est destiné à un usage d'intérieur, et hors engagement direct au combat, il n'y a pas besoin de rendre furtif le bruit des rotors ou imposer une forme globale, plane et plate, afin de diminuer la résistance au vent et le volume de la cible potentielle qu'elle pourrait faire.
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Cela permet ainsi la conception d'un drone caméra multifonction avec une longue autonomie.
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On se servira des technos du Hurleur et de la Longue vue d'expédition Multifonction comme base de travail pour ses fonctions audio/sonique ainsi qu'optique.

La caméra n'a pas de comportement en soit, à la différence d'autres robots de maintenance. Elle ne va pas esquiver d'elle même ou autre, car de tout les robots de maintenance c'est cette unité qui s'avère être le plus un outil au service d'un opérateur, d'un vigile, voir même de l'I.A gardienne des lieux ou encore d'un robot protocolaire qui chercherait à s'assurer de l'identité de nouveau venu.
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De ce fait, son comportement dépendra directement de "qui" se trouve aux commandes, car il s'agit bien là d'un robot téléguidé avant tout, même si des protocoles peuvent lui être programmé/soumis.
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Néanmoins, elle pourra être doté de protocole/comportement automatique basique comme :

• Ajuster sa trajectoire et altitude en fonction des pièces traversées et/ou directives données.
• Ajuster sa trajectoire et altitude en fonction d'obstacle/incidents détectés suffisamment tôt avant impact et ça pour simplement éviter un crash.
• Retourner à sa base de rechargement dès un seuil critique d'autonomie atteint, dans le cas où cela lui est permit, par défaut ou non.
• Effectuer des rondes en fonction de chemin et horaires de patrouille programmés à l'avance.