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Beauté criminelle partie II
La nuit était tombée emennant avec elle son lot de tourment pour la belle. Elle avait beau réflechir à son devenir, elle ne voyait pour elle, autour d'elle, que de la peur. N'entendait que les cris d'insultes et de ces assassinats à chaque coin de rue.
Cassi dans son desaroi sort de chez elle bien decidée. Elle rase presque les murs le col remonté sur ses joues . Pourquoi?.
Se cacher?.
Mais de qui? ou de quoi?.
Cassi dans son desaroi sort de chez elle bien decidée. Elle rase presque les murs le col remonté sur ses joues . Pourquoi?.
Se cacher?.
Mais de qui? ou de quoi?.
Elle descend la rue Hoblet et bifurque sur sa gauche. Elle maudit ce brouillard épais qui l'empêche de voir à dix pas. Cassi crispe ses doigts un peu plus angoissée sur les deux battants de son col . Un seul objectif!.. Allez le trouver qu'il lui donne l'absolution une bonne fois.
Le trajet lui semble interminable et dans sa tête ce cri silencieux l'envahit, l'acccompagne jusqu'à sa porte. Elle se fige un instant la main posée sur la poignet. Son coeur cogne si fort dans sa poitrine, qu'il lui semble vouloir sortir de sa cage thoracique. Oui!... Cassi a peur. Peur, qu'il n'accepte pas à sa demande où meme pire , qu'il lui inflige quelques tortures sadique avant de la délivrer de ce monde où elle ne trouve pas sa place.
Elle entre...
Elle entre...
Lui est assis sur un divan, il lui fait face. Son regard plonge dans le sien. Elle, sur son visage, quelques mèches de cheveux collées dû au brouillard poisseux. Elle garde le silence un instant... déglutit... et se lance avant même qu'il n'ouvre la bouche.
-De deux choses l'une, dit elle;
-Ou vous me prenez sous votre aile, et vous me formez... Ou je vous donne tout ce que je possède et vous me cuver, sachant que je n'en resortirai pas!...
-Ou vous me prenez sous votre aile, et vous me formez... Ou je vous donne tout ce que je possède et vous me cuver, sachant que je n'en resortirai pas!...
Elle a crachée sa supplique, comme elle aurait déposée des ordures dans une poubelle. A lui de faire le tri... Il réfléchit. Oh pas bien longtemps...Il se lève. Elle, adossée contre la porte fermée balaie de ses perles noisette la pièce unique. Constate que l'appartement a tout l'air d'une garçonnière . Un divan, une table, une plante, un luminaire sur pied et un lit... rien d'autre...
Cassi s'en fiche, après tout, elle n'est pas venue lui demander de vivre avec lui. Elle attend juste une réponse . Il s'approche d'elle ... et la regarde. Sa bouche s'ouvre sur ces mots:
- J'opte pour la deuxième solution. dit-il sérieusement.
Son sort est joué en un instant !.. Là !.. comme ça!.. en une fraction de seconde.
-Alors faites le!... mais faites le vite et proprement, insiste t-elle
Elle le sait capable d'être suffisamment tordu pour bien prendre son temps. Mais contre toute attente, il lui prend la main et l'entraîne vers le lit.
- Et si ont passait un moment sans prise de tête toi et moi?
Elle n'a pas le temps de répondre qu'il est déjà à califourchon sur elle, qu'il l'a allongée sur le dos en travers du lit. Elle pourrait hurler, le repousser violemment... mais Cassi reste sans voix , figée sous sa détermination. Son pouls s'accélère, sa respiration devient courte... Mille pensées l'envahissent.. Fera t-il avec elle, ce que les rumeurs laissent entendre de lui?. Son instinct lui dit que non!... Alors elle le laisse faire, quand il commence à la déshabiller..
Il se penche sur sa nudité et vient poser sa bouche au creux de son épaule. Un baiser qui la fait frémir. Puis ses lèvres se déplacent doucement sur son corps... Il caresse avec volupté ses petits seins dont les pointes se dressent de plaisir. Non!... il ne lui fera aucun mal. Bien au contraire. Bien qu'elle se rende compte qu'il doive se maîtriser pour ne pas céder à la violence, elle connaît le plaisir de le sentir en elle avec douceur. Lui, prolonge encore et encore ses vas et vient très lentement , avec la connaissance d'un expert. Cassi voudrait le serrer contre elle, sentir son corps contre le sien... Mais elle se donne, cramponne le drap de ses deux mains refermées. Son corps tremble, toutes ses cellules s'emplissent de plaisir, comme autant de bulles électrifiées prêtes à exploser.
Puis c'est le feu d'artifice. Elle hurle sa jouissance entraînant la sienne qu'il exprime dans un râle rauque. Pas un mot.. rien que le silence... il blottit sa tête sous son menton .. elle enfouit ses doigts d'une main dans la crinière blonde, alors que l'autre danse sur la peau de son dos dans une caresse apaisante. Un instant... une éternité...si long et si court en même temps.
Puis c'est le feu d'artifice. Elle hurle sa jouissance entraînant la sienne qu'il exprime dans un râle rauque. Pas un mot.. rien que le silence... il blottit sa tête sous son menton .. elle enfouit ses doigts d'une main dans la crinière blonde, alors que l'autre danse sur la peau de son dos dans une caresse apaisante. Un instant... une éternité...si long et si court en même temps.
Comme il se roule sur sur le dos et se détache d'elle, elle s'assied au bord du lit..Cassi attrape ses habits et se vêt..Puis elle se lève, lui consulte son com et elle, s'en va...
Elle était venue chercher la mort et c'est la vie qu'elle a trouvée. Cassi serait bien rester auprès de lui, mais la peur soudaine qu'il la chasse, l'avait emportée.
L'aurait-il fait?. Elle n'en saura sans doute jamais rien.
Elle était venue chercher la mort et c'est la vie qu'elle a trouvée. Cassi serait bien rester auprès de lui, mais la peur soudaine qu'il la chasse, l'avait emportée.
L'aurait-il fait?. Elle n'en saura sans doute jamais rien.
Sur le chemin du retour le jour pointe à peine. Le brouillard s'est dissipé et laisse présager une journée moins crasseuse qu'à l'habitude. La jeune femme sourit toute seule longeant l'avenue qui remonte jusqu'à chez elle . Une main tendue elle laisse glisser ses doigts sur le béton gris, qu'elle trouve étonnamment beau contrairement à quelque clycles plus tôt.
Dans sa tête une chanson ![lien=VOTRE_LIEN]
Dans sa tête une chanson ![lien=VOTRE_LIEN]
Si proche, peu importe la distance
Ça ne pouvait être plus près du cœur
Croyons pour toujours en ce que nous sommes
Et rien d'autre n'importe
Je ne me suis jamais souciée de ce qu'ils font
Jamais souciée de ce qu'ils savent
Moi je sais
Jamais souciée de ce qu'ils savent
Moi je sais
Je ne me suis jamais ouverte de cette façon
La vie est notre, nous la vivons à notre manière
Tous ces mots que je ne fais pas que dire
Et rien d'autre n'importe
La vie est notre, nous la vivons à notre manière
Tous ces mots que je ne fais pas que dire
Et rien d'autre n'importe
La confiance que je cherche et trouve en toi
Est tous les jours quelque chose de nouveau pour moi
m'ouvrant l'esprit à une différente vision
Et rien d'autre n'importe
Est tous les jours quelque chose de nouveau pour moi
m'ouvrant l'esprit à une différente vision
Et rien d'autre n'importe
Je ne me suis jamais souciée de ce qu'ils disent
Jamais souciée des jeux auxquels ils jouent
Je ne me suis jamais souciée de ce qu'ils font
Jamais souciée de ce qu'ils savent
Moi je sais
Jamais souciée des jeux auxquels ils jouent
Je ne me suis jamais souciée de ce qu'ils font
Jamais souciée de ce qu'ils savent
Moi je sais
Si proche, peu importe la distance
Ça ne pouvait être plus près du cœur
Croyons pour toujours en ce que nous sommes
Non, rien d'autre m'importe...
Ça ne pouvait être plus près du cœur
Croyons pour toujours en ce que nous sommes
Non, rien d'autre m'importe...
Informations sur l'article
Titre CONTREVERSE
14 Juin 2018
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