EDC de Amaryllis
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Cacher
I. Get Ready...
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Un hurlement empli la salle.
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Un profond soupir de détresse brise ce silence imposé par les circonstances, déchirant la réalité pour un enième long et court instant. Tout semble mélangé, éparpillé. La chair comme les pensées, plus rien n'a d'attrait humain.
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En saccade, on entend des râles plaintifs entre chaque cris à vous briser l'âme. Ces quelques sanglots ne diminuent jamais, heurtant tout sensibilité qui pourrait faire de vous, une personne normale.
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Rompre la chair n'a jamais été aussi simple, tout comme rompre le seul esprit peut être sain de ce dessin macabre. Pour preuve accablante, il sait détourner les yeux. Tentant d'ignorer les hurlements jusqu'à même les suppliques. Il fuit la triste vision d'un corps de femme poussé dans ses retranchements.
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L'éclat rougeoyant de deux pupilles se redresse sur les écrans holographiques, alimentés à neuf par une masse imposante de serveurs coordonnés entre eux. Il ne sert plus à rien de le cacher, tout le monde connait cet endroit à présent. Elle ramène ses jambes nues sur le siège, enlaçant ses genoux de ses bras. Ses yeux parcourent rapidement les logs à l'écran, lire le binaire n'est pas inné. Cela lui aura pris un changement de génome et une implantation pour apprendre à lire tous les langages informatique existant à ce jour. Quelques heures.
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Les constantes bien visibles, elle garde un oeil attentif sur les gestes du bourreau. Un sursaut du cadavre sur la rampe lui fait comprendre que le cerveau du vautour est durement mis à l'épreuve. Mais le mal en vaut la chandelle. Ils le savent.
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Un nouveau cri romp le silence oppressant. Un croc roule au sol, ensanglanté, jeté aux pieds du gris.
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Le cliquetis répétitif des sangles de métal autour des poignets de la véritable victime le rendent incapable d'agir, il hausse à peine la voix pour lui parler, mélangeant cauchemar et réalité. Le visage de la jeune femme se tord d'une affreuse grimace, le sang écarlate se répandant autour de sa bouche, lui faisant comme un rouge à lèvre carmin, contraste saisissant, impossible à louper en voyant l'intense différence avec sa peau presque translucide.
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''Tu es une prodige''
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Accoudée face à l'ODE, bien que stressée voilà la phrase qui lui revient en cet instant. Une douce mélopée, murmurée un soir, puis deux, pour finalement l'entendre toute sa vie. Une prophétie qui se serait réalisée. Tant accomplit déjà et tout ne fait que commencer. Elle attend d'en apprendre plus, avide toujours. La Reine Matricielle s'y lance, corps et âme, l'esprit plus puissant qu'à l'orée de ses découvertes, de ses accomplissements. C'est pourquoi, ils surmonteront tout.
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Ces épreuves sont salutaires.
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''Nous avons plusieurs coups d'avance. Nous avons déjà gagné''
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Cette pensée la fait sourire, les plans fomentés par les deux vautours sont presque parfaits. Ils ne leur manquent rien. Ne reste plus qu'à attendre et se porter prêt au sacrifice. Pour la connaissance, pour l'Humanité. Pour Leur SR.
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Le beau vautour avise la douce jeune femme, toujours enchaînée, quelques secondes de répis où ses yeux se lèvent vers lui, fous, pleins de rancœur et de colère.
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Elle s'exclame face à lui, le rendant coupable de crimes qu'il n'a pas commis, lui refusant son amour pour la première fois, l'insultant pour qu'il se rende compte de sa douleur. De quoi à peine effleurer une conscience torturée, lui faire ressentir ce qu'elle ressent alors que les hurlements plaintifs reprennent, la voilà noyée, la bouche enchainée dans un linge blanc à l'origine, teinté de teintes carmines en même temps que l'eau se répand dans les fibres du tissu.
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Elle suffoque, se noie face au gris.
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Elle soupire face à la douleur endurée, elle hésite, patiente, attend comme cette fois là où elle avait le choix de laisser le shunt emporter les plongeurs sous sa responsabilité. Jusqu'au dernier moment, jusqu'à la dernière étincelles, même sans un abandon, elle interviendra mais patience... attente jusqu'au dernier souffle.
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La serre prête à frôler le désengagement, l'écran holo' diffusant la lumière rouge de leur matrice, les constantes brillantes sur l'autre écran, une alerte sonnant dans ses tympans. Encore un peu.
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Elle savait qu'il abandonnerait, cette première fois n'avait rien d'anodine. Formés tous deux, oui. Mais pas à voir leur raison de vie souffrir. Mourir. L'ultime épreuve pour la préparation.
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La vie de la Blanche s'efface presque, seule sa respiration en saccade, ses pleurs intenses se reflétant en écho dans la pièce salie de sa conscience et de son sang, elle se balance sur sa chaise et le vautour aux yeux vairons ose un nouveau regard avant de se sentir secoué par une vague de culpabilité, de peur et d'amertume, il tire sur ses liens jusqu'à en faire saillir les veines des poignets, arrachant la peau.
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Le bourreau est prêt à reprendre, un nouveau regard plein de peur de sa belle qui le supplie de mettre fin à ça et un tonitruant ''ASSEZ !'' se lie sur les logs.
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Pour rejoindre la réalité, il ne faut pas grand chose. C'est à ça qu'elle sert, à le surveiller et le sortir de là à sa demande. Pour lui offrir une étreinte rassurante ensuite et le baiser de la délivrance en lui confiant à l'oreille que son double lui a menti. Qu'elle l'aime.
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Sa serre effleure le point de déconnexion, ramenant le gris dans la réalité, à peine secoué des secousses de sa sortie.
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Presque une heure.
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Il relève la tête, cherchant sa moitié des yeux, tend ses bras en l'apercevant. Jamais d'hésitation, elle vient s'y immiscer sans tarder. Elle lui retire le câble qui l’enchaîne à la rampe et lui embrasse la gorge d'un doux baiser, clairsemant son cou d'un rapide mais délicieux frisson. Une phrase susurrée à son oreille.
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''Je t'ai aimé... je t'aime et je t'aimerais. In Aeternam. Tout ça, même lors de notre prochaine bataille.''
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Ils sourient tous deux. Aucunes douleurs ne les enchaînera plus. Impossible à briser. Ils se lèvent pour rentrer chez eux, l'ODE s’éteignant peu à peu, la salle du DevOps se fondant dans le silence et la noirceur de la nuit.
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Un hurlement empli la salle.
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Que fait-on...?
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Un profond soupir de détresse brise ce silence imposé par les circonstances, déchirant la réalité pour un enième long et court instant. Tout semble mélangé, éparpillé. La chair comme les pensées, plus rien n'a d'attrait humain.
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Que devient-on...?
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En saccade, on entend des râles plaintifs entre chaque cris à vous briser l'âme. Ces quelques sanglots ne diminuent jamais, heurtant tout sensibilité qui pourrait faire de vous, une personne normale.
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Pour qui... contre qui... nous battons nous...?
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Rompre la chair n'a jamais été aussi simple, tout comme rompre le seul esprit peut être sain de ce dessin macabre. Pour preuve accablante, il sait détourner les yeux. Tentant d'ignorer les hurlements jusqu'à même les suppliques. Il fuit la triste vision d'un corps de femme poussé dans ses retranchements.
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Tout est votre faute...
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Lieu : DevOps
Date : /
Heure : 22h01
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L'éclat rougeoyant de deux pupilles se redresse sur les écrans holographiques, alimentés à neuf par une masse imposante de serveurs coordonnés entre eux. Il ne sert plus à rien de le cacher, tout le monde connait cet endroit à présent. Elle ramène ses jambes nues sur le siège, enlaçant ses genoux de ses bras. Ses yeux parcourent rapidement les logs à l'écran, lire le binaire n'est pas inné. Cela lui aura pris un changement de génome et une implantation pour apprendre à lire tous les langages informatique existant à ce jour. Quelques heures.
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Les constantes bien visibles, elle garde un oeil attentif sur les gestes du bourreau. Un sursaut du cadavre sur la rampe lui fait comprendre que le cerveau du vautour est durement mis à l'épreuve. Mais le mal en vaut la chandelle. Ils le savent.
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Un nouveau cri romp le silence oppressant. Un croc roule au sol, ensanglanté, jeté aux pieds du gris.
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Le cliquetis répétitif des sangles de métal autour des poignets de la véritable victime le rendent incapable d'agir, il hausse à peine la voix pour lui parler, mélangeant cauchemar et réalité. Le visage de la jeune femme se tord d'une affreuse grimace, le sang écarlate se répandant autour de sa bouche, lui faisant comme un rouge à lèvre carmin, contraste saisissant, impossible à louper en voyant l'intense différence avec sa peau presque translucide.
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Même en RV...
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Lieu : DevOps
Date : /
Heure : 22h21
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''Tu es une prodige''
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Accoudée face à l'ODE, bien que stressée voilà la phrase qui lui revient en cet instant. Une douce mélopée, murmurée un soir, puis deux, pour finalement l'entendre toute sa vie. Une prophétie qui se serait réalisée. Tant accomplit déjà et tout ne fait que commencer. Elle attend d'en apprendre plus, avide toujours. La Reine Matricielle s'y lance, corps et âme, l'esprit plus puissant qu'à l'orée de ses découvertes, de ses accomplissements. C'est pourquoi, ils surmonteront tout.
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Ces épreuves sont salutaires.
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''Nous avons plusieurs coups d'avance. Nous avons déjà gagné''
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Cette pensée la fait sourire, les plans fomentés par les deux vautours sont presque parfaits. Ils ne leur manquent rien. Ne reste plus qu'à attendre et se porter prêt au sacrifice. Pour la connaissance, pour l'Humanité. Pour Leur SR.
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Le beau vautour avise la douce jeune femme, toujours enchaînée, quelques secondes de répis où ses yeux se lèvent vers lui, fous, pleins de rancœur et de colère.
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Elle s'exclame face à lui, le rendant coupable de crimes qu'il n'a pas commis, lui refusant son amour pour la première fois, l'insultant pour qu'il se rende compte de sa douleur. De quoi à peine effleurer une conscience torturée, lui faire ressentir ce qu'elle ressent alors que les hurlements plaintifs reprennent, la voilà noyée, la bouche enchainée dans un linge blanc à l'origine, teinté de teintes carmines en même temps que l'eau se répand dans les fibres du tissu.
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Elle suffoque, se noie face au gris.
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...Il affronte...
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Lieu : DevOps
Date : /
Heure : 22h38
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Elle soupire face à la douleur endurée, elle hésite, patiente, attend comme cette fois là où elle avait le choix de laisser le shunt emporter les plongeurs sous sa responsabilité. Jusqu'au dernier moment, jusqu'à la dernière étincelles, même sans un abandon, elle interviendra mais patience... attente jusqu'au dernier souffle.
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La serre prête à frôler le désengagement, l'écran holo' diffusant la lumière rouge de leur matrice, les constantes brillantes sur l'autre écran, une alerte sonnant dans ses tympans. Encore un peu.
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Elle savait qu'il abandonnerait, cette première fois n'avait rien d'anodine. Formés tous deux, oui. Mais pas à voir leur raison de vie souffrir. Mourir. L'ultime épreuve pour la préparation.
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La vie de la Blanche s'efface presque, seule sa respiration en saccade, ses pleurs intenses se reflétant en écho dans la pièce salie de sa conscience et de son sang, elle se balance sur sa chaise et le vautour aux yeux vairons ose un nouveau regard avant de se sentir secoué par une vague de culpabilité, de peur et d'amertume, il tire sur ses liens jusqu'à en faire saillir les veines des poignets, arrachant la peau.
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Le bourreau est prêt à reprendre, un nouveau regard plein de peur de sa belle qui le supplie de mettre fin à ça et un tonitruant ''ASSEZ !'' se lie sur les logs.
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...Tellement de souffrance...
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Lieu : DevOps
Date : /
Heure : 22h59
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Pour rejoindre la réalité, il ne faut pas grand chose. C'est à ça qu'elle sert, à le surveiller et le sortir de là à sa demande. Pour lui offrir une étreinte rassurante ensuite et le baiser de la délivrance en lui confiant à l'oreille que son double lui a menti. Qu'elle l'aime.
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Sa serre effleure le point de déconnexion, ramenant le gris dans la réalité, à peine secoué des secousses de sa sortie.
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Presque une heure.
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Il relève la tête, cherchant sa moitié des yeux, tend ses bras en l'apercevant. Jamais d'hésitation, elle vient s'y immiscer sans tarder. Elle lui retire le câble qui l’enchaîne à la rampe et lui embrasse la gorge d'un doux baiser, clairsemant son cou d'un rapide mais délicieux frisson. Une phrase susurrée à son oreille.
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''Je t'ai aimé... je t'aime et je t'aimerais. In Aeternam. Tout ça, même lors de notre prochaine bataille.''
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Ils sourient tous deux. Aucunes douleurs ne les enchaînera plus. Impossible à briser. Ils se lèvent pour rentrer chez eux, l'ODE s’éteignant peu à peu, la salle du DevOps se fondant dans le silence et la noirceur de la nuit.
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... Mais nous attendons...
◊ Commentaires
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Gasp~62046 (692☆) Le 20 Août 2019
* Comme toujours. -
Tiwen (13☆) Le 21 Août 2019
A Moi -
Yang (51☆) Le 21 Août 2019
♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ -
Noll~54411 (19☆) Le 23 Août 2019
Aime beaucoup! -
Enylwën~65945 (562☆) Le 24 Août 2019
J'ai aimé! -
Amaryllis (446☆) Le 25 Août 2019
J'écrirais plus d'articles sur la vie sordide du couple xD
Vous aimes les loulous ♥