EDC de 71118
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- Accés dévérouillé
- Information concernant la NI Adhara
Race : Vautour
Age : 18 ans
Taille : 1m65
Poids : 57 kilo
Particularité : Elle dispose d'une chevelure de plumes noires
- Pensées d'Adhara : Jour I
Tout ce que je me souviens c'est la chaleur de ma cuve, j'étais bien là-bas, c'était humide et apaisant. Parfois j'avais l'impression d'entendre quelques notes de musique, puis, un jour, plus rien. Mes yeux s'ouvrent sur de la lumière et personne n'est la pour m'accueillir, tout ce que je connais c'est mon numéro d'identification et mon nom, Adhara.
Tout ce que je me souviens c'est la chaleur de ma cuve, j'étais bien là-bas, c'était humide et apaisant. Parfois j'avais l'impression d'entendre quelques notes de musique, puis, un jour, plus rien. Mes yeux s'ouvrent sur de la lumière et personne n'est la pour m'accueillir, tout ce que je connais c'est mon numéro d'identification et mon nom, Adhara.
Je sors difficilement dans la rue, tout et grand, tout et beau, tout brille... Ça brille beaucoup trop pour quelqu'un qui vient d'ouvrir les yeux. Je trouve un endroit, un coin sombre et je m'isole. Je mets ma tête contre mes genoux et ferme les yeux j'essaie de me souvenir de ma cuve, cela me rassure.
Je regarde mon bras et je vois quelques plumes, dans ma cuve je rêvais souvent d’être avec de grands oiseaux, des noirs et des bruns, ils prenaient soins de moi. Alors je me redresse, je sors de ma cachette plus sombre encore que les grandes rues, la pluie tombe sur moi, cela me rassure un peu, de savoir que je peux au moins ressentir cela.
Je lève la tête, je regarde le ciel, pas un oiseau, pas de musique, rien, le silence.... Comme il était plaisant de rêver, mais à présent il faut songer à mâcher, respirer, travailler et manger... Mon ventre me rappelle que je dois me nourrir, sans savoir comment mon instinct me guide vers le CIPE où je trouve rapidement un travail, pas assez pour faire fortune, mais pas trop compliqué pour avoir de l'argent vite et bien.
Je lève la tête, je regarde le ciel, pas un oiseau, pas de musique, rien, le silence.... Comme il était plaisant de rêver, mais à présent il faut songer à mâcher, respirer, travailler et manger... Mon ventre me rappelle que je dois me nourrir, sans savoir comment mon instinct me guide vers le CIPE où je trouve rapidement un travail, pas assez pour faire fortune, mais pas trop compliqué pour avoir de l'argent vite et bien.
Je quitte mon rêve pour la vraie vie, je n'ai rien demandé mais c'est ainsi...
Après le réveil, l'éveil :
