EDC de 71032
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𝓜𝓪𝓽𝓻𝓲𝓪𝓻𝓬𝓱𝓮 𝓞𝓡𝓒
Les cheveux lisses de Dia ont laissé place à deux tresses couronnant son crâne comme pour souligner son rang.
A sa ceinture sont fixés, dans le plus grand des calmes, deux objets métalliques symboliques pour le secteur impérialiste, à savoir une paire de menottes et une plaque de policier.
L'Orc hybride est des plus féminines en ce moment. Arborant des tons rouges sombres cher à sa Rébellion, les tenues varient entre l'armure solide et le cuir confortable et moulant.
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Des gants mécanisés confortables couvrent ces mains délicates pour lui permettre de se défendre en vitesse et réaliser toute sorte d'activité lu(br/d)ique.
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Très en beauté, ces crocs étincèleraient presque, tant son sourire est régulier et évident. Plus tempérée et pédagogue, l’Ébène se présente de plus en plus comme une personne bénéficiant d'une certaine sagesse. (C'est les autres qui le disent, HEY.)
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Point de bégaiements dorénavant, sinon dans des situations très rares, elle n'hésite plus à s'exprimer comme elle le souhaite.
Dia est une belle orc, un beau mètre quatre-vingt, son génotype s'exprime maintenant bien plus clairement.
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Une sublime paire de crocs viennent légèrement retrousser ces lèvres charnues inférieures d'où peut sortir une langue acérée et vindicative, une couleur de peau singulière, une musculature tendre, un visage marqué d'un très léger prognathisme.
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D'une taille d'un mètre quatre-vingt-cinq, son visage reste naturellement sévère lorsqu'elle n'arbore pas un sourire dont la blancheur immaculée fait rayonner son être, s'accordant de fait avec son caractère espiègle.
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Ses cheveux sont laissés libre, allant courir derrière sa nuque. Son dos sculpté présente une cambrure naturellement marquée par un fessier plantureux en comparaison de sa poitrine canon. Mais c'est son ventre qui appelle le plus facilement les regards, sailli de rigoles tracées à la serpe et dessinant des abdominaux divins que ses ronronnements caractéristiques soulignent à chaque respiration.
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Dia attire aisément les regards, notamment lorsque ses activités font poindre le long de son grain de peau ébène des perles de sueur réfléchies par les lueurs vacillantes des vieux néons. Elle a la fâcheuse et régulière manie d'amener ses doigts contre son bas ventre, semblant y repositionner une curiosité virile de manière complétement décomplexée.