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Cacher
Game Over
Joueur 1, Joueur 2, Fin du match ?
Etait ce enfin fini, cette partie qui durait depuis plus de 30 ans ? Celle qui avait commencé un soir dans un bar, après un cafey renversé ?
Que tu sembles morte dans ton caisson de Cryogénie, pour une dernière fois j’ai enfilé mon Alliance, mais le Joueur 2 n’est déjà plus de la partie. Tu ne le sauras sans doute pas, toi qui est si froide dans ton caisson, mais j’ai fait le tour de nos demeures quand j’ai appris pour ton congelage. Ta fuite ? Ta Faiblesse? Qu’est ce donc ? Qui suis je pour te juger au final ? Je ne suis même pas la pour ça.
Que tu sembles morte dans ton caisson de Cryogénie, pour une dernière fois j’ai enfilé mon Alliance, mais le Joueur 2 n’est déjà plus de la partie. Tu ne le sauras sans doute pas, toi qui est si froide dans ton caisson, mais j’ai fait le tour de nos demeures quand j’ai appris pour ton congelage. Ta fuite ? Ta Faiblesse? Qu’est ce donc ? Qui suis je pour te juger au final ? Je ne suis même pas la pour ça.
J’allume une Bloody, malgré les gros yeux de la secrétaire du lieu, je fume tranquillement en sortant des papiers. La copie du rapport ou nous avons refait nos voeux, on s'était juré de ne jamais s’abandonner, de s’aimer pour la vie. Ta première erreur, ta première défaite.
Mais je n’avais juste pas compris au final que tu n'étais peut être pas heureuse et clairement pas toi même à ce moment la.
Le fait est que c’était ton deuxième passage au Frigo et celui la, bien plus long que la première fois. Avais- je juste pousser une fin prédestiné en te quittant ? Impossible à savoir. As-tu compris que j’ai fait cela pour ton bien ? Où penses-tu toujours que du fond de ton caisson que je suis un parfait connard ? Je ne t’en veux pas Joueur 2, tu étais probablement la naïveté incarnée, trop gentille pour un secteur de brute.
Un grésillement plus loin et j’observe cette copie papier, la dernière existante puisque celle en puce a déjà grillé, oui je l’observe brûlée et se consumer devant mes yeux.
J’en sort une seconde, une douce liste de chose que tu as pu faire… c’est la que j’ai compris que tu avais un grave problème, mais devais-je moins t’aimer pour autant ? Certainement pas, tu étais la joueuse d’une partie que je croyais sans fin. Tu étais Bipolaire? Tu suivais un traitement ? et après tout cela ne signifiait rien, si ce n’est la beauté de tes efforts pour en guérir ou tout du moins, en atténuer les effets.
Je prend une autre taffe, j’inspire cette merde Sudienne que tu affectionnais tant, toi la sudiste égarée qui c’est cru amoureuse d’un gars du nord. Et j’use du zippo pour brûler cette autre feuille au dessus de ton caisson, les cendres perturberaient-elles la température de ton caisson ? Au final je m’en moquais un peu, totalement inconscient de tout cela.
Puis je sors les pages du Livre de ta première trahison, ces premiers secrets que tu me cachais, alors qu’on avait juré de tout se dire… mais que pourtant tu avais écris noir sur blanc. Blanc, justement la couleur de cheveux de l’homme, mal aimé, détesté et haï dans le secteur, avec qui tu joues et que tu as considéré comme ton mentor… Briller dans l’ombre disait-il et pourtant tu en as toujours été incapable hélas… l’ombre n’a jamais été faite pour toi, mais je ne pouvais pas te le dire Joueur 2, parce que tu avais ce besoin de reconnaissance.
C’est un autre homme au cheveux blanc, l’homme aux fleurs de l’empire qui m’en avait donné le goût, qui m’a fait prendre conscience de cela, tu était tellement fière d’avoir été choisi pour être parrainée pour la noblesse, la première fois, par lui… Tu avais ce besoin d’être reconnue et tu as tenté quelque chose… d'apparaître dans la lumière, mais tu ignorais que c’était encore plus impitoyable que le monde des ombres. Et tu t’es brisée les dents Joueur 2, tu as été incapable de dépasser cela un très long moment, très amère cette lettre sur la décadence du secteur, qui a valu un tas de récompense à diverses personne, le lendemain de la fameuse Nuit Noire.
Une autre taffe, un autre grésillement et tout cela part en fumée et en cendre au dessus du caisson de Cryo…. mêlée aux cendres du livres où se trouvait les poèmes que nous nous étions écrit au tout début, tu t’en souvenais de ça Joueur 2 Que j’avais tout consigné et garder à ce sujet?
Sans nul doute que non, puis je sors ce papier, qui a signé le début de la fin de la partie quand on y pense… ce soir ou tu as été a semi violée par un mec dans notre Bar, oui NOTRE, parce que quoi qu’on en dise, ce bar c’était censé être le nôtre, a toi comme à moi, c’était mon rêve d’en faire un havre de paix, d’en faire un haut lieu de gastronomie, c’était aussi ton rêve d’être patronne de bar. Nous avions ce rêve ensemble… mais je digresse, gardons ça pour plus tard, alors que je relis cette copie du rapport que tu pensais détruit à jamais, j’en avais gardé une copie, au cas ou, pour toujours me souvenir de ce que nous avions traverser.
Cette nuit ou avec cet Homme a plumes de malheur tu finissais ton “deuil” de ton mentor à cheveux blanc, avant de refuser et qu’il ne te viole pour moitié. Selon tes dire et la caméra tout du moins.
Mais c’est difficile à croire que cela est possible, aurait-ce été le premier syndrome de stockholm, trouvans une fascination chez lui malgré ce qu’il t’avais fait? Mais je t’aimais trop pour t'empêcher de le côtoyer malgré ma jalousie.
Sans nul doute que non, puis je sors ce papier, qui a signé le début de la fin de la partie quand on y pense… ce soir ou tu as été a semi violée par un mec dans notre Bar, oui NOTRE, parce que quoi qu’on en dise, ce bar c’était censé être le nôtre, a toi comme à moi, c’était mon rêve d’en faire un havre de paix, d’en faire un haut lieu de gastronomie, c’était aussi ton rêve d’être patronne de bar. Nous avions ce rêve ensemble… mais je digresse, gardons ça pour plus tard, alors que je relis cette copie du rapport que tu pensais détruit à jamais, j’en avais gardé une copie, au cas ou, pour toujours me souvenir de ce que nous avions traverser.
Cette nuit ou avec cet Homme a plumes de malheur tu finissais ton “deuil” de ton mentor à cheveux blanc, avant de refuser et qu’il ne te viole pour moitié. Selon tes dire et la caméra tout du moins.
Mais c’est difficile à croire que cela est possible, aurait-ce été le premier syndrome de stockholm, trouvans une fascination chez lui malgré ce qu’il t’avais fait? Mais je t’aimais trop pour t'empêcher de le côtoyer malgré ma jalousie.
Un grésillement encore? Mais oui alors que je continue de fumer cette merde de Cigarette du Sud, tout en regardant le papier brûlé.
Ha joueur 2 quelque part de moi t’aimeras toujours, toi et cette insouciance que j’avais, mon aveuglement quant à ce que tu as pu penser de nous et de notre famille. Rejeter Iris, notre fille comme une malpropre, sans prendre la peine de le lui dire toi-même, dire partout que tu avais subis de la maltraitance psychologique conjugale. Oser dire cela alors que je ne voulais que ton bonheur, je n’ai jamais voulu que tu changes pour moi, je voulais que continuer à avoir ton sourire et entendre ton rire...mais j’ai finis par comprendre, comprendre que tu ne jouait qu’un rôle sans même t’en rendre compte. Sans nul doute une partie de toi m’a aimé. Parce qu’on ne peut pas détester quelqu’un et lui faire aussi mal que tu as finis par me faire, sans l’avoir aimer.
Mais voila Joueur 2 dans cette partie qui aurait dû être éternelle, tu as flanchée une fois encore, partant en cryo avec des mots très durs à avaler, un appel au secours ? Sans nul doute, mais je n’y ai pas réagi comme je l’ai toujours fait, en m'aplatissant et t’aidant à te relever, j’ai décidé de te secouer les puces et te faire reprendre ta vie en main… Alors que pourtant tu essayais encore de briller, distinctions, travail de DA, tu cherchais la reconnaissance en te plaignant dans l’ombre de tous ceux qui semblaient se foutre de toi et de ce travail que tu effectuais.
Ha joueur 2 quelque part de moi t’aimeras toujours, toi et cette insouciance que j’avais, mon aveuglement quant à ce que tu as pu penser de nous et de notre famille. Rejeter Iris, notre fille comme une malpropre, sans prendre la peine de le lui dire toi-même, dire partout que tu avais subis de la maltraitance psychologique conjugale. Oser dire cela alors que je ne voulais que ton bonheur, je n’ai jamais voulu que tu changes pour moi, je voulais que continuer à avoir ton sourire et entendre ton rire...mais j’ai finis par comprendre, comprendre que tu ne jouait qu’un rôle sans même t’en rendre compte. Sans nul doute une partie de toi m’a aimé. Parce qu’on ne peut pas détester quelqu’un et lui faire aussi mal que tu as finis par me faire, sans l’avoir aimer.
Mais voila Joueur 2 dans cette partie qui aurait dû être éternelle, tu as flanchée une fois encore, partant en cryo avec des mots très durs à avaler, un appel au secours ? Sans nul doute, mais je n’y ai pas réagi comme je l’ai toujours fait, en m'aplatissant et t’aidant à te relever, j’ai décidé de te secouer les puces et te faire reprendre ta vie en main… Alors que pourtant tu essayais encore de briller, distinctions, travail de DA, tu cherchais la reconnaissance en te plaignant dans l’ombre de tous ceux qui semblaient se foutre de toi et de ce travail que tu effectuais.
Je continue de fumer ces clopes Joueur 2, celles qui sont totalement dégueulasses, mais si synonime de toi dans mon esprit, et je repense à l’accord que nous avons passé, toi et moi, sans que personne ne le sache, autre que ton avocat, celui que tu as finis par refuser. Et que dire de la scène que j’ai pu voir le jour ou on a scellé cette séparation, a toi le bar, les tenues que je t’ai offerte et les millions que je t’avais prêté pour remplir ton comptes, sans parler de l’atelier et du bunker.
A moi le cercle familial, ou d’ailleurs trône toujours le couteau que tu as enfoncé dans le mur et que nous avons laissé.
Que dire de ce jour ou je t’ai vu avec ton “violeur” dans le lit, notre lit, tu avais osé l'emmener là, jouant une délicieuse scène rigolote en pensant que j’étais dupe, peu importe au final, c’est là que j’ai su, était-ce ta façon de faire ou de te venger? Peu importe Joueur 2, parce que le Joueur 1 avait accepté d’endurer pour te laisser te remettre, ça a durer d’ailleurs un temps, quand on sait que tu retrouvais goût à la vie, ou tout du moins profitait de tous les petits plaisir, des hommes, des femmes, peu importe tu te laissais enfin aller à ta vrai nature peut-être ?
A moi le cercle familial, ou d’ailleurs trône toujours le couteau que tu as enfoncé dans le mur et que nous avons laissé.
Que dire de ce jour ou je t’ai vu avec ton “violeur” dans le lit, notre lit, tu avais osé l'emmener là, jouant une délicieuse scène rigolote en pensant que j’étais dupe, peu importe au final, c’est là que j’ai su, était-ce ta façon de faire ou de te venger? Peu importe Joueur 2, parce que le Joueur 1 avait accepté d’endurer pour te laisser te remettre, ça a durer d’ailleurs un temps, quand on sait que tu retrouvais goût à la vie, ou tout du moins profitait de tous les petits plaisir, des hommes, des femmes, peu importe tu te laissais enfin aller à ta vrai nature peut-être ?
J’ai eu entre les mains ce rapport où on te voyais te plaindre de moi et faire du gringue à des nanas, était-ce un appel à l’aide que personne n’a compris? Probable, parce que les autres au final s'intéressent-ils à ton vrai toi ? Te connaissaient-ils vraiment? Qui à part moi te connaissait au final joueur 2, mais as-tu réfléchis à tout ce que je pouvais penser de toi, ou ta haine aveuglait-il ton jugement ?
Je t’aimais à ma manière au loin, tenant parole en prenant soin de toi, ma façon de prendre soin de toi ? Très stupide, mais efficace, changer et choisir le génome que tu détestais, changer de visage aussi… mais cela n’a duré qu’un temps, et tu n’auras jamais su que j’avais repris mon visage au final. C’était sans doute mieux ainsi, cela t’a permis de te detacher de moi, tu m’as fait d’autres reproches, mais ce n’était pas grave, j’avais accepté d’être ton bouc-émissaire, de supporter tes plaintes, moqueries et rumeurs.
Un grésillement et je brûle ce rapport, et je brule la copie de ton Comm explicatif sur ton viol.
Etait-ce un viol ou l’avais-tu chercher ? Tout le monde se posait la question, probablement encore pour certains, mais moi je sais que cela en était un. Ai-je fais exprès de dire l’inverse pour que tu ne saches pas que je m’inquiétais et que tu continue de dire que j'étais un connard ? Totalement, j’assume, mais c’était un viol, tu as certes naïvement draguée et allumée un connard, mais tu le faisais avec tout le monde, même si tu savais les soupçons pesant sur lui car je t’en avais déjà parlé à une autre époque, pouvais-tu imaginer qu’il réagirait ainsi ? Oui, est-ce que cela rend l’acte moins terrible Joueur 2 ? pas du tout, j’aurais peut-être dû agir différemment, mais ton premier violeur prenait déjà soin de toi, alors pourquoi l’aurais-je fait à mon tour ?
Non j’ai continué de jouer mon rôle dans cette partie, celui du connard d’ex Sans couille, j’ai vu de beaux graffit si que je te dois dans le sud, c’est très marrant quand j’y repense…
Mais voila joueur 2 la partie c’est achevée, tu es parti... pour de bon ? Aucune idée et au final aucune importance, parce que je m’en moque maintenant, tu as fait un dernier coups bas avant de peindre et de confier notre Rêve au pire raciste sectoriel, transformant cet havre de paix en Symbole d’enfer sectoriel. Sans doute a-t-il réussi à te charmer, après tout tu avais toujours eu un faible pour les détraqués et criminels. Mais à quoi bon s’en plaindre?
Quel intérêt ? tu n’es plus là et tu as sans doute trahis tout ce qui faisait de toi une humaine.
J’ai appris que tu avais été rejeté pour la noblesse encore… à croire que la lumière impitoyable ne t’avais pas fait comprendre à quel point les ombres étaient bien plus douces… mais après tout tu n’étais pas une altruiste comme tu t’échignais à le dire, mais une égoïste naïve. Cela ne t’en rendais pas moins humaine.
C’est la fin de la partie Joueur 2, une partie de moi t'aimeras toujours, mais j’ai décidé d’en finir et d’avancer. Une autre femme m’attends, elle a réussi à me relever de tout ça. Avec elle je ne jouerai pas, je suis sérieux. Parce que je l’aime, qu’elle m’aime sans avoir à changer sa nature. Finalement est-ce ce jeu qui nous auras détruit? Sans aucun doute.
La partie est finis, tu as perdus, mais peut être qu'en fuyant tu gagnes ? peu importe. C'est le jeu, l'un perd et s'arrête, l'autre gagne et continue.
Repose toi bien Joueur 2 Tu l’as mérité, mais le monde continuera de tourner sans toi.
HRP :
Ce texte n’est que le point de vue de mon pion, pas celui de la réalité ni même le mien. C’est juste un hommage à une partie de sa vie que je retenais de coucher sur un ordi depuis bien trop longtemps.
Je remercie la JD qui en a été l’inspiration, peu importe ce qui a pu se passer, je la remercie malgré tout. Pour tous ces instants de plaisir et de rire. Je lui souhaite une longue vie heureuse.
A ceux qui auraient l’occasion de jouer avec, n’hesitez pas.
Merci de m’avoir lu.
Informations sur l'article
Tranche de vie
31 Août 2019
881√
12☆
5◊
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◊ Commentaires
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Dhorhzaartzsyhrok (20☆) Le 31 Août 2019
La dure vie de DreadCast. Ne t'en fais pas, je suis toujours là, moi. Alors prépare tes crédits parce que ça va t'en coûter.
Sur une note plus sérieuse, n'étoile. -
Aislinn~60672 (172☆) Le 31 Août 2019
Très beau et touchant à lire. Bravo -
Vincent (7☆) Le 31 Août 2019
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