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[DCN Tech] Biocompatibilité

Biocompatibilité

par Mara, id65041
le 6/349.1


En science des matériaux, la biocompatibilité est la capacité d’un matériau à ne pas dégrader le milieu organique dans lequel il est en contact direct, l’on peut alors également parler de biomatériau.

Le titane, biomatériau le plus populaire et économique de la Cité.
Coût de production : 5.100c/u

L’emploi de ce type de matériau permet d’éviter non seulement la dégradation du milieu organique, mais également sa pleine coopération. Le principal problème auxquels sont confrontés les cybernéticiens lorsqu’ils développent des prothèses sont des problèmes de biocompatibilité, car le premier risque sanitaire est un rejet de l’implant ou de la prothèse.

En effet le système immunitaire de la très grande majorité des organiques est capable d’identifier les matières étrangères (organiques, métalliques, etc.) en contact avec le corps et de déclencher une réponse immunitaire afin d’éliminer ces corps étrangers.

C’est dans ce contexte que les biomatériaux entrent en jeu : ils ne déclenchent pas de réponse immunitaire, ils sont invisibles du système immunitaire et peuvent donc coexister avec le corps organique.

Une monture à changement rapide en titane. Basique, elle permet l’installation de multiples prothèses.

Les biomatériaux les plus connus sont le titane, ou titanium et le latinium. Ces deux valeurs sûres ne provoqueront pas de réaction immunitaire et constituent la base de tout châssis d’implant cybernétique qui sera en contact avec la chair, les organes, bref, le vivant.

Si la partie externe doit être impérativement biocompatible pour éviter tout forme de rejet, la partie interne du composant, elle, peut être constituée d’un ensemble plus agressif en matière de biocompatibilité, étant donné qu’ils sont isolés du corps.

Cela permet entre autre de favoriser des matériaux plus spécialisés au sein d’une prothèse ou d’un implant : connectiques et soudures en or pour la conductivité électrique des composants entre eux, châssis en ironium pour des récepteur de barres d’alimentations oranium, structure interne en farinium pour alléger l’ensemble, bobines d’alimentation en tibérium, liaisons mécaniques en mythril, etc.

Ainsi les possibilités et les optimisations sont multiples, mais l’ensemble cybernétique devra être isolé du reste du corps par un biomatériau.

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