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[DCN Tech] Neurotransmetteurs artificiels


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Les neurotransmetteurs artificiels sont des ensembles cybernétiques qui simulent la libération de composés chimiques dans l’environnement neuronale. Cette ambiance chimique, qui peut être créée par la seule force de la volonté pour les esprits les plus aiguisés, influe ensuite sur le fonctionnement des neurones.

Un réseau de neurotransmetteurs artificiels, il doit être placé après la barrière hémato-encéphalique, afin d’optimiser son interaction avec le cerveau et sa capacité à créer une ambiance chimique.

Une diffusion d’acide γ-aminobutyrique, un dérivé de l’acide glutamique, un neurotransmetteur inhibiteur que le corps organique produit naturellement afin de faciliter au quotidien le repos, la relaxation et le sommeil, permet de mettre l’ensemble du corps au repos forcé, voir de l’endormir, malgré une situation jugée stressante ou dangereuse par le cerveau : zone hostile, bruyante, etc.
Au contraire la rétention volontaire de cet inhibiteur et la diffusion de glutamate permet de maintenir une attention et une capacité opérationnelle constantes. Le glutamate est le neurotransmetteur excitateur le plus répandu dans le système nerveux central humain, il joue un rôle clef dans l’apprentissage et la mémorisation. Sa diffusion n’est pas sans conséquence et comme toutes les bonnes choses il ne faut pas en abuser : l’hyperstimulation des neurones peut rapidement entraîner leur destruction.
Voyez le glutamate comme le lubrifiant qui va permettre à votre cerveau de rester au taquet, d’apprendre plus vite et de mémoriser les informations plus facilement. Si vous le lubrifiez trop il s’emballe et vous risquez de finir le cerveau cramé!

Ses deux neurones communiquent grâce aux neurotransmetteurs situés au centre, en violet.
L’augmentation de la dopamine accroît la volonté de survie de l’individu organique, elle joue également un rôle essentiel dans la motivation et la prise de risque. Toutefois la dopamine pousse à adopter des comportements dangereux ou à se confronter à des situations dangereuses : drogues, jeux de hasard, paris stupides, double-roulette1', non-port du gilet pare-balles, piqué en overboard, etc.
La diffusion de sérotonine, l’antagoniste de la dopamine, permet de contrôler son humeur : plus on est heureux, plus l’on réduit la prise de risque, l’on peut également inhiber la dépression et certains troubles. Cependant une présence trop élevée de sérotonines peut provoquer une inhibition comportementale : le sujet n’est à la recherche d’aucune sensation particulière, ne présente que très peu d’anxiété et de motivation, ce qui peut conduire à une faible intelligence émotionnelle.
L’acétylcholine joue un rôle important dans le système nerveux central, mais également dans le système nerveux autonome c’est-à-dire celui qui n’est pas soumis au contrôle volontaire : digestion, vascularisation, dilatation des pupilles, respiration, etc. La moduler permet de préparer son corps à poursuivre les opérations autonomes de manière optimale.
Ainsi, c’est tout notre comportement qui peut être être régulé par les neurotransmetteurs artificiels. Cependant l’ambiance chimique artificielle n’est pas sans conséquence sur la santé mentale du sujet, si il devait privilégier ces processus artificiels au quotidien, plutôt que de préférer les processus naturels.
Mara, id 65041.
  • 1 jeu de hasard consistant à mettre une balle dans les barillets d'un double révolver calibre .32, à tourner ce dernier de manière aléatoire (assez vite pour qu'on ne puisse pas suivre l'emplacement de la chambre chargée), puis à pointer le revolver sur sa tempe avant d'actionner la détente. Ces double-revolvers sont aujourd’hui très recherchés par les collectionneurs.

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