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Chapitre I : Un froid de loup pour un temps de chien
Le temps passe, les gens changent et les choses évoluent. L'érosion du temps n'a pas de concurrent. Tout est sombre dans ces rues mal-famées. Les quelques néons qui éclairent les rues grésillent, une étrange odeur de poudre froide règne en maîtresse.
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C'est une silhouette fine qui se dessine au loin, elle connait ces lieux, elle connait les âmes qui y survivent, là où chacun tente malgré tout de vivre, elle sait que l'éternité a une date de péremption.
C'est sans doute une de ces raisons qui la pousse à prendre des risques, faible et sans trop de défense, elle se débrouille pour manger à sa faim, chaque jour jusqu'à sa fin.
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Des prédateurs rôdent, cachés ou non, l'avenir leur réserve une bien belle surprise, ceux vivant par l'acier périront par le fer. Après avoir connu la misère, on sait quoi faire, le temps est le seul enjeu. Pas d'inquiétude, pas d'hésitation, vivons, dansons et mourrons, délicieuse danse macabre que peut infliger l'existence d'âmes égarées.
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Alors, Fille de la rue recommence à se battre pour gagner son dû, pour conquérir ses envies et rêves, les embrasser et embraser afin de toucher son apogée.
Pas de décadence, juste de l'adrénaline, un peu de drogue, du sang et de l'alcool. Sombrer dans ses noirs désirs, en périr et quérir son amour tant recherché. Tant voulu, tant décédé. Course infernale et effrénée, obstacles détruits sans une once d'attention.
Un cri, un murmure, une caresse et un souffle qui emporte et balaye ses songes pour ne cibler que l'essentiel.
Figure de proue immobile et robuste pour seul bouclier aux tirs et vagues destructrices qui ne font qu'harceler et chavirer son cœur pour le peu qu'il puisse battre. Dernier rempart, ultime tranchée et pensées sous scellé, c'est avec vigueur que Fille de la rue ne cesse d'avancer. Au diable bourrasques et tempêtes, l’œil ne sera que seul refuge aux entités miroirs, à chaque instant, se tenant prête.
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Coup de tonnerre, mon éclat s'incline et les loups sortent de leur tanière. Les chasseurs tremblent et leurs mains s'agitent.
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." Un jour comme un autre ... "
.
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Cours.
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C'est une silhouette fine qui se dessine au loin, elle connait ces lieux, elle connait les âmes qui y survivent, là où chacun tente malgré tout de vivre, elle sait que l'éternité a une date de péremption.
C'est sans doute une de ces raisons qui la pousse à prendre des risques, faible et sans trop de défense, elle se débrouille pour manger à sa faim, chaque jour jusqu'à sa fin.
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Des prédateurs rôdent, cachés ou non, l'avenir leur réserve une bien belle surprise, ceux vivant par l'acier périront par le fer. Après avoir connu la misère, on sait quoi faire, le temps est le seul enjeu. Pas d'inquiétude, pas d'hésitation, vivons, dansons et mourrons, délicieuse danse macabre que peut infliger l'existence d'âmes égarées.
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Alors, Fille de la rue recommence à se battre pour gagner son dû, pour conquérir ses envies et rêves, les embrasser et embraser afin de toucher son apogée.
Pas de décadence, juste de l'adrénaline, un peu de drogue, du sang et de l'alcool. Sombrer dans ses noirs désirs, en périr et quérir son amour tant recherché. Tant voulu, tant décédé. Course infernale et effrénée, obstacles détruits sans une once d'attention.
Un cri, un murmure, une caresse et un souffle qui emporte et balaye ses songes pour ne cibler que l'essentiel.
Figure de proue immobile et robuste pour seul bouclier aux tirs et vagues destructrices qui ne font qu'harceler et chavirer son cœur pour le peu qu'il puisse battre. Dernier rempart, ultime tranchée et pensées sous scellé, c'est avec vigueur que Fille de la rue ne cesse d'avancer. Au diable bourrasques et tempêtes, l’œil ne sera que seul refuge aux entités miroirs, à chaque instant, se tenant prête.
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Coup de tonnerre, mon éclat s'incline et les loups sortent de leur tanière. Les chasseurs tremblent et leurs mains s'agitent.
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Cours.
Informations sur l'article
Nitescence
10 Septembre 2017
734√
15☆
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Hécate (205☆) Le 10 Septembre 2017
Clodo Ftw. ☆