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Ma très chère... Frangine!
Ma très chère… frangine
(Article fait en collaboration avec JD Ellea)
Je me réveille, enfin j’ai plutôt la sensation de ceci, au vue de la salle plutôt sombre rempli d’une légère brume qui se laisse voir en suspens, les murs éloignés, mais bien visibles, et personne ne se trouve autour de moi… On dirait bien que ma voix fera écho si je parlais. Pas une porte, pas une vitre, pas une fenêtre… l’endroit est vide et non ouvert. Je regarde les lieux un peu perdue, après m’être étiré de façon instinctive et rapide, cherchant un indice de ma localisation. Mais un sanglot vient rompre le silence de la pièce se réverbérant contre les murs. Elle se trouve juste derrière moi! Ceci me fait frémir de tout mon long, je tourne lentement ma tête vers elle avec uniquement un mot, un seul: “Frangine?”
Le sanglot d’Ellea émane d’une mince silhouette, reconnaissable même si un peu plus éthérée que la normale, assise dans la Brume, les jambes repliée contre elle même, et sans redresser la tête. A quelque pas de moi, je finit par la rejoindre. Le sol est froid, je me croirais au centre de cryo… même si l’endroit était plus lugubre que lui. Me penchant audessus d’elle j’attrape son menton pour lui faire relever lentement très lentement. L’autre main sur son épaule, mais les pattes prête à bondir… On ne sait jamais. Son teint et grisâtre et ses yeux en larmes… mais c’est bien elle.
Ellea: “Je... suis désolé soeurette… tout est de ma faute”
Je la regarde totalement perdue... je savais que quelque chose clochait… mais quoi? Ce ne pouvait être vrai… mais quelque chose au fond de moi m’interdisait de ne pas y croire, de ne pas espérer que ce soit vrai! Finalement l’espoir faisait vivre! Alors je répondit le plus naturellement au monde un: “Qu’es qui est de ta faute?”
Ellea: “Tout…”
C’est à ce moment que la silhouette s’efface dans un souffle de vent, Et qu’une ouverture dans le mur derrière là ou elle se trouvait ne se fasse voir, une légère lumière s’en émanant. Soupirant doucement, je me redresse pour me diriger vers cette porte illuminée, je ressens encore plus que cette sensation que quelque chose ne tourne pas rond, mais cette sensation m’a toujours attiré au devant des ennuis… La crise Gnoll, La guerre civile… et encore l’attaque chimique du S2… J’avais gardé des traces de chacune de ses situations de crise de l'Imperium et aujourd’hui encore j’en suis marqué à jamais. C’est pourquoi je ne peu m’empêcher de passer cette porte.
La porte est coincé, mais bien entrouverte: De l’autre côté je peux apercevoir le glop d'antan, celui de ma jeunesse… Et elle est là semblant bien plus jeune que dans cette pièce sombre ou je me trouve encore. MAis surtout sa silhouette et légèrement teinté sur le jaune. Poussant la porte je cille au changement d'intensité lumineuse, et trébuche, me relevant doucement, je comprend que j'étais sortie de l’arrière salle, le bar est calme, quelque silhouette son installé, familière, mais figée. Après avoir fait un tour d’horizon je regarde mes mains, visiblement je n’étais plus vaut… je regarde derrière moi un peu surprise de reconnaître mon extension caudal de mon ancien clone félin, d’y a si longtemps… Lilween devait encore être vivante à l’époque de celui-ci… enfin… je me demandais quand même si c’était mon clone le plus jeune ou celui de mon adolescence.
Je me reconcentre sur la salle est les silhouette familière, avant de faire un grand sourire: Diamonté… Akela… Andromeda… je ne pouvais en croire mes yeux… ils étaient là! Je ne me demanda même plus ce qui clochait, je me laissa emporter. Fonçant au comptoire côté des serveurs comme à l’époque et me hisse pour pouvoir faire face à tout ce monde qui me manquait tant! Une joie immense sur le visage, je voulais juste profiter de leurs présences même si même si je savais que ceci ne durera pas indéfiniment. Mais, ils sembleraient que le moment soit figé sauf pour moi et Ellea qui dans sa forme d'antan affichant un grand sourire elle aussi, avec tout de même une légère méfiance en me voyant approcher, elle est présente sur un tabouret à côté de sa mère et visiblement reflète l’insouciance et et l'innocence que nous partagions à cette époque révolue.
Anubis: “coucou toi!” Fut les seuls mots que je réussit à lui lancer, toujours aussi souriante et avec un petit signe de la main, loin d’être menaçante ou méchante, mais bien gentille et bienveillante. Oui… à l’époque j’étais aussi une de ses NI insouciante, qui voyait le monde en rose.
Ellea: “m’Bonjour”
Anubis “comment tu va?”
Anubis “comment tu va?”
Elle hochera de la tête assez vivement pour me répondre avant de pencher la tête sur le côté en me regardant et se resserrer contre sa mère Akela.
Ellea: “Tu va pas me renifler hein?”
Anubis: “Je renifle personne moi!”
Ellea: “ha?”
Anubis: “Je trouve ça inutile!”
Ellea: “Moi c’est Ellea et toi?”
Anubis: “Anubis!”
Anubis: “Je renifle personne moi!”
Ellea: “ha?”
Anubis: “Je trouve ça inutile!”
Ellea: “Moi c’est Ellea et toi?”
Anubis: “Anubis!”
C’est après ce bref échange que les silouhette viendront à disparaître et une nouvelle lueur à apparaître vers la porte d’entrée du bar, vers laquelle je ne tarda pas à me diriger un sourire nostalgique ne quittant pas mes lèvres. Derrière cette porte se présente un nouveaux lieux familier, alors que j’aborde mon ancien clone reptilien, qui ne portait encore, aucune cicatrice. Il s’agit d’un appartement ou l’odeur du métal chaud imprégne les tapeseries, qui me fit tout de suite localiser les lieux comme étant l’appartement de Meline Fray, le femme d’Ellea Fray.
Personne n’a l’air présent d’ailleur, mais les petits gloussements qui se font entendre dans la pièce du fond m’attire, et après un battement de caudal reptilienne je me dirige vers eux, lentement, mais sûrement. Et avant d’entrer dans la pièce je demanda gentiment si je dérangeais. Ellea se retourna vers moi, me détaillant du regard, l’aire un peu plus grande et surprise. La silhouette de sa femme figée derrière.
Personne n’a l’air présent d’ailleur, mais les petits gloussements qui se font entendre dans la pièce du fond m’attire, et après un battement de caudal reptilienne je me dirige vers eux, lentement, mais sûrement. Et avant d’entrer dans la pièce je demanda gentiment si je dérangeais. Ellea se retourna vers moi, me détaillant du regard, l’aire un peu plus grande et surprise. La silhouette de sa femme figée derrière.
Ellea: “m’Cousine? c’est bien toi?”
Anubis: “Tu veut que ce soit qui d’autre?” Et après un soupire de soulagement elle m’ouvrir ses bras ou je me dirigea pour me blottir, lui caressant son plumage perdant mes mains à l’intérieur et mon museau reptilienne dans son cou.
Anubis: “Tu veut que ce soit qui d’autre?” Et après un soupire de soulagement elle m’ouvrir ses bras ou je me dirigea pour me blottir, lui caressant son plumage perdant mes mains à l’intérieur et mon museau reptilienne dans son cou.
Ellea: “ça te fait pas bizarre pour toi? Comment ça se fait que tu est comme ça?”
Anubis: “Je sors de cuve… je crois bien… et je me suis réveillée comme ceci.”
Anubis: “Je sors de cuve… je crois bien… et je me suis réveillée comme ceci.”
Les mains de ma cousine curieuse comme elle était à l’époque finirent par attraper ma caudal reptilienne pour jouer avec. Et elle poussa un petit “m’ha” interrogatif.
Ellea: “Dis tu la bouge comment? C’est naturel ou c’est comme si tu voulait bouger un bras?”
Anubis: “Je ne sais pas encore… c’est tout nouveau.”
Anubis: “Je ne sais pas encore… c’est tout nouveau.”
Puis à peine eu-je le temps de répondre que la scène change de nouveau… Je me retrouve en pleine crise gnoll… Je regarde autour de moi les lieux cherchant à me localiser, les lieux était aussi figé, garde et victimes de la crise… une vision de l’enfer… Je retombe mes yeux sur ma cousine qui me supplie de la libérer et regarde mon kanuf à disposition, “je… je…” Le doute s'installe en moi… elle commence à s’énerver de mon hésitation et de ma réflexion: Mais voilà malgré les ordres qui m’ont fait cauchemarder durant cette crise, je finit par craquer, j’aurais dû le faire à l’époque au lieux de la garder enfermée dans ses liens. Je ne refais pas la même erreur et je découpe ses liens à coups sec de kanuf en déclarons un “sortons” franc.
Ellea en profita donc pour se précipiter vers le SAS, et le limita sans douter un seul instant que cette fois-ci j’avais prise la bonne décision. Et ce fut un nouveau changement de déco pour une scène qui s'était aussi passé durant la même période. La scène devient donc le salon de mon logement actuel, et je me surprit de nouveau à braquer une arme sur elle, ma cousine qui allongé sur le canapé en se tenant le crâne. Tout ce passa rapidement, mais plus intense aussi pour mon subconscient qui voulait à tout prix éviter cette scène et endurer le fait que je lui mit une balle dans le crâne de Ellea qui m'implore de la faire la tâche de sang se fera visible alors que je reprend le contrôle de mon corps devant son en pleine apoptose lente mais continue. s'agenouillant à ses côtés devant le canapé, je caresse les cheveux de ma futur soeur lui lâchant un “dors bien” des plus mélancoliques.
C’est à ce moment que la porte de la villa se mit à briller, me sortant de ma torpeur de tristesse, je me redressa lentement et quitta les lieux tête baissée, honteuse... C’est une fois la porte passé que je redressa la tête pour observer derrière un mirroire à demi-teinte, qui donnait sur une des chambres de la villa, mon corps vautour qui consoler une Ellea au yeux bandé d’un bandanna rouge, visiblement nous étions revenue à la période où sont état avait empiré pour tomber au plus bas. la rytme de la scène étant revenu à la normal. Regardant cette scène sagement, je finis par me voir quitter la chambre d’un pas pressé, alors qu’elle se remit à se griffer les temps de ses serres se mutilants ainsi, en criant, des cris étouffé à par le miroire qui me servait à observer. Ellea finira par se précipiter elle vers la salle de bain en retirant son bandeau afin de braquer un autre miroire de son arme, tremblante, terrorisé.
Tandis que je réapparaissait dans la pièce, je pus sentir une personne se glisser dans mon dos, avec un petit soupire que je reconnaîtrais entre mille… C’était elle… ma très chère soeur, et cette fois-ci ce n’était pas une vulgaire silhouette.
Ellea: “Tu sais… je la voyais réellement moi…”
Anubis: “Je sais… Frangine… J’ai jamais douter de toi… mais je te savais aussi capable de la battre…”
Ellea: “Tu sais… je la voyais réellement moi…”
Anubis: “Je sais… Frangine… J’ai jamais douter de toi… mais je te savais aussi capable de la battre…”
La scène se poursuit, je vois me vois me placer dans le dos de la petite vaut blanche pour l’aider à viser avant qu’elle vide son chargeur dans le miroire.
Ellea “Je vis toujours avec, tu le sais… j’ai pas réussis à voir le moindre spy qui accepterait de m’aider…”
Je quitte la scène des yeux alors que je me revois en train de calmer une Ellea en panique devant le miroir brisé, déçu de moi même et de mes échecs.
Anubis: “Même moi je n’ai pas réussit à t’aider comme je l’ai fait avec Shinoa… je suis une abrutit...”
Ellea: “Tu ne l’est pas… c’est pas de ta faute. J’arrive à être heureuse même avec… Tu me manque.”
Anubis: “Tu me manque aussi frangine.” Et dans un petit sourire nostalgique je me retourne pour la prendre dans mes bras posant mon front contre le sien et fermant les yeux, mais quand je les rouvrit plusieurs longues minute plus tard, ce fut pour me retrouver seul de nouveau dans mon lit, dans cette grande villa désert depuis son départ pour Orion… C’est sous l’émotion de ce rêve que me rappelait tant de souvenir que je me roula en boule et me laissa pour la première fois de ma vie tomber en larme, noyant ainsi mon chagrin et mes sentiments. Je ne pouvais plus rester seule… il me fallait une solution et vite...
Ellea: “Tu ne l’est pas… c’est pas de ta faute. J’arrive à être heureuse même avec… Tu me manque.”
Anubis: “Tu me manque aussi frangine.” Et dans un petit sourire nostalgique je me retourne pour la prendre dans mes bras posant mon front contre le sien et fermant les yeux, mais quand je les rouvrit plusieurs longues minute plus tard, ce fut pour me retrouver seul de nouveau dans mon lit, dans cette grande villa désert depuis son départ pour Orion… C’est sous l’émotion de ce rêve que me rappelait tant de souvenir que je me roula en boule et me laissa pour la première fois de ma vie tomber en larme, noyant ainsi mon chagrin et mes sentiments. Je ne pouvais plus rester seule… il me fallait une solution et vite...
Informations sur l'article
Méditation
02 Août 2018
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Ellea (126☆)
Auriga
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Ellea (126☆) Le 02 Août 2018
Un rêve retraçant les moments les plus forts que les deux cousines ont traversé au point que leur lien se durcisse tel ceux de deux sœurs complices. Même si ça a été un RP annexe qu'on a fait tout les deux, ça m'a tout de même fait remonté une petite larme de relire. ^^