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Chronique de la Lame : L'Illumination des Bandanas Rouges - Partie 2
Spoiler Alert : L'article contient des spoils sur le BackGround du jeu, ne pas lire si vous préférez le découvrir autrement.
Espace matriciel visible uniquement en SR sous protection matricielle. Votre personnage n'a pas connaissance de l'écrit si personne ne lui en a parlé.
Espace matriciel visible uniquement en SR sous protection matricielle. Votre personnage n'a pas connaissance de l'écrit si personne ne lui en a parlé.
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Jour 3.
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Le réveil se fait dans la douleur et la fatigue, on a entendu un débile pleurer toute la journée en criant Papou. Tout est relativement tranquille, pas de bestioles ni d'intrus, je crois que de ce côté le ménage a été fait. Avec des morceaux de tissus plastifiés et des étagères on bricole un brancard pour la grosse Glasha l'handicapée. Avant de partir on prend quand même le temps de fouiller dans les cartons, Sue découvre là des conserves périmées de viande d'écureuil mais dans d'autres cartons la nature de la viande est bien différente, du rativorus. Même si elles avaient le même aspect, rien ne laissait penser que ces conserves faisaient partie du lot, ça a été caché au milieu des autres. La pièce devient vite un capharnaüm avec des boites éventrées, Klëpp et moi repartons dans le couloir pour ouvrir la voie, rien n'a changé depuis la veille à part.. au plafond, avec la présence d'un léger smog voguant ici et là. Il n'y a pas de doute, les trois clampins de la veille se sont enfumé le crâne toute la journée.
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On lourde Glasha sur le brancard, attachée comme un poids lourd et partons rejoindre le couloir de l'illumination, à l'intersection, on peut apercevoir le couloir avec quelques tentures en moins, le couloir ouest quant à lui a conservé l'homme découpé en deux morceaux, paix à son âme. Zélie voulait aller reparler aux survivants de la veille alors on retourne vers la pièce où ils étaient agglutinés avec leur rap de merde. Dans la pièce règne un nuage de smog des plus terribles, quatre individus sont réunis autour du feu, vêtus de lambeaux et armés d'un joint aux lippes, on avait l'impression qu'un incendie s'était déclaré. Il y avait les trois mêmes silhouettes de la veille plus un nouveau venu, un gobelin trapu qui avait rejoint la petite fête. Les mecs planent tellement que j'enfile un respirateur et m'en vais chercher un des gars par le col pour l'extirper de l'endroit et le ramener vers notre groupe, au hasard c'est le seul humain encore en vie à qui je fais faire un petit vol au milieu de tout le monde.
.{HumainBR} « JE VOLE ! OH PUTAIN ! »
Qu'il nous suive ou non, sa vie était entre ses mains ! Secrètement j'espérais en faire un rebelle mais il était beaucoup trop arraché pour en faire quoi que ce soit. Alors plutôt que de l'obliger à faire quoi que ce soit je lui filais un bout de carton sur lequel j'avais pu dessiner quelques informations de base concernant la cité, la surface, la rébellion, l'empire, un vrai trésor pour des gars comme eux qui ne connaissaient rien. À lui de tracer sa route désormais. De notre côté, nous retournions du côté du tunnel creusé à la cuillère dans la terre, retournant dans la galerie des égouts après un long moment à ramper et à tirer Glasha. Dès notre sortie, à l'Est, deux lueurs jaunes épiaient Zélie depuis la pénombre, et rapidement d'autres lueurs jaunes commençaient à nous regarder, on les regardait en retour, interloqués. Nos lunettes de vision nous révèlent là une vingtaine de petites silhouettes agglutinées dans un coin.
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Cyclopécureuils
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Le moral du groupe revenait en trombe mais tout le monde avait légèrement perdu l'esprit en remontant à cause des péripéties et des galères que j'ai essayé de vous raconter sans rentrer dans tous les détails. Pour une raison que je ne saurais expliquer, cette énergie retrouvée nous mena vers une mort prévisible. Les blessures devaient être lavées. Glasha proposa qu'on la dépose dans les souterrains pour livrer son dernier combat à coup de tête, mais nous avions mieux, bien mieux.
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Le reste mérite d'être préservé dans la mémoire des présents ce soir là, nous attaquâmes le sas impérial au milieu de la nuit et pénétrions dans le secteur ennemi le temps d'une murge bien méritée dans un bar au sud-ouest de Marran. C'est sans nul doute la plus grosse mine que nous avons pu nous mettre, Glasha sans ses bras, Phylène à moitié blessée, les autres déchirés et ayant des réminiscences de ce qu'ils venaient de vivre. Pourquoi ne pas finir en beauté ? Les impériaux pénétrèrent dans le bar et les combats commencèrent à faire rage, cette ruche de la Lame que nous formions emportant les premières têtes dans la mort.
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Épilogue.
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Alors que dire dans cet épilogue. Moins que dans la première chronique mais il y a quand même des informations notables autour de cette exploration, je vais tenter de séparer ça selon deux thématiques principales, l'une autour des Bandanas Rouges l'autre autour d'informations géographiques et structurelles.
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Au niveau géographique et structurel.
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La Nouvelle Lame considère l'expédition comme une réussite du point de vue des informations récoltées mais la cartographie des souterrains ou le contournement des restrictions de mouvement ne sont pas possibles au moment de cette opération. Nous envisageons d'autres tentatives à d'autres endroits, cela a permis d'unir le groupe autour de ses objectifs. En parallèle de cette expédition, nous avons sérieusement réfléchi à implanter un avant-poste souterrain dans le but de faciliter les déplacements en sous-sol. Les égouts représentent la première frontière que le secteur se devait de reconquérir avant même d'imaginer s'étendre, plutôt que de sauter les étapes c'est ici que commençait notre projet, celui de rétablir sous contrôle rebelle les morceaux de territoire qui étaient abandonnés.
Jour 3.
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Phylène: Ce dont je m'étonne c'est ce mal de tête... Vous vous souvenez de rien de votre... illumination ?
Zélie: J'avais aussi cette douleur constante dans le crâne et à un moment ça s'est arrêté.
Zélie: Après ça tout est devenu flou.
Zélie: C'est vraiment le Mur qui nous tourmentait à ce point ?
Klepp: J'me souviens que tu m'as frappé !
Phylène: J'me souviens... D'avoir vu les murs, et un intense mal de crâne m'a pris... Comme si, j'me sentais... un peu perdue, moins convaincue par ce qu'on faisait.
Phylène: Et vous avez commencé à agir inconsidérément, vous vouliez vous approcher... Hrrm.
Zélie: Ok. Mais comme toi, j'étais plus trop convaincue. J'avais peur. Ce qu'est pas du tout mon genre.
Joyce: Ouais. Pareil.. L'mal de crâne était assez énervé, et j'me sentais.. J'sais pas, vide, incertaine.
Zélie: J'avais aussi cette douleur constante dans le crâne et à un moment ça s'est arrêté.
Zélie: Après ça tout est devenu flou.
Zélie: C'est vraiment le Mur qui nous tourmentait à ce point ?
Klepp: J'me souviens que tu m'as frappé !
Phylène: J'me souviens... D'avoir vu les murs, et un intense mal de crâne m'a pris... Comme si, j'me sentais... un peu perdue, moins convaincue par ce qu'on faisait.
Phylène: Et vous avez commencé à agir inconsidérément, vous vouliez vous approcher... Hrrm.
Zélie: Ok. Mais comme toi, j'étais plus trop convaincue. J'avais peur. Ce qu'est pas du tout mon genre.
Joyce: Ouais. Pareil.. L'mal de crâne était assez énervé, et j'me sentais.. J'sais pas, vide, incertaine.
Le réveil se fait dans la douleur et la fatigue, on a entendu un débile pleurer toute la journée en criant Papou. Tout est relativement tranquille, pas de bestioles ni d'intrus, je crois que de ce côté le ménage a été fait. Avec des morceaux de tissus plastifiés et des étagères on bricole un brancard pour la grosse Glasha l'handicapée. Avant de partir on prend quand même le temps de fouiller dans les cartons, Sue découvre là des conserves périmées de viande d'écureuil mais dans d'autres cartons la nature de la viande est bien différente, du rativorus. Même si elles avaient le même aspect, rien ne laissait penser que ces conserves faisaient partie du lot, ça a été caché au milieu des autres. La pièce devient vite un capharnaüm avec des boites éventrées, Klëpp et moi repartons dans le couloir pour ouvrir la voie, rien n'a changé depuis la veille à part.. au plafond, avec la présence d'un léger smog voguant ici et là. Il n'y a pas de doute, les trois clampins de la veille se sont enfumé le crâne toute la journée.
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On lourde Glasha sur le brancard, attachée comme un poids lourd et partons rejoindre le couloir de l'illumination, à l'intersection, on peut apercevoir le couloir avec quelques tentures en moins, le couloir ouest quant à lui a conservé l'homme découpé en deux morceaux, paix à son âme. Zélie voulait aller reparler aux survivants de la veille alors on retourne vers la pièce où ils étaient agglutinés avec leur rap de merde. Dans la pièce règne un nuage de smog des plus terribles, quatre individus sont réunis autour du feu, vêtus de lambeaux et armés d'un joint aux lippes, on avait l'impression qu'un incendie s'était déclaré. Il y avait les trois mêmes silhouettes de la veille plus un nouveau venu, un gobelin trapu qui avait rejoint la petite fête. Les mecs planent tellement que j'enfile un respirateur et m'en vais chercher un des gars par le col pour l'extirper de l'endroit et le ramener vers notre groupe, au hasard c'est le seul humain encore en vie à qui je fais faire un petit vol au milieu de tout le monde.
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Zélie: On va t'apprendre à voler s'tu veux. Mais avant ça, emmène nous à votre réserve de champi'.
HumainBR: Woh... Doucement les gars... Vous voulez des clopes ?
Zélie: On veut les champi', on les roulera plus tard. On doit remonter.
Flÿnn: Des champis, et l'endroit où tu les achètes ou récoltes.
HumainBR: Bah j'sais pas ! Mais je peux partager un joint si vous voulez...
HumainBR: C'est un grand troll qui nous ramène les champis
Zélie: Il est où ce Troll ?
Flÿnn: Finch ?
HumainBR: Euh oui Flouch j'crois
Glasha: Sinon, on prendre les leur ?
HumainBR: J'sais pas où il est... Il a sa planque à champis
Glasha: Il vous fournir contre rien ?
HumainBR: Ben... Papou vient le bénir
Zélie: Files en quelques un.
HumainBR tend un joint vers la bande avec un sourire benêt
HumainBR: Si vous avez envie de déstresser... Suffisez d'le dire..
Sue: Comment Papou le bénit ?
HumainBR: Ben Papou fait parler le mur...
HumainBR: Faut remonter le couloir de l'illumination pour le trouver
HumainBR: Il s'aventure je ne sais où là bas
Flÿnn: C'est là d'où on vient.. on a tué le truc derrière la grosse porte.
HumainBR: Je sais pas mec.... On reste près du mur nous
Flÿnn: Putain ils sont pires qu'Ignis ces types.
Zélie: Vraiment vous avez rien d'le crâne. Jamais ça vous vient à l'idée de vous balader ?
HumainBR: Pour quoi faire ? On a le Grand Mur
Zélie: ....On va rentrer, y rien à en tirer.
Sue: Puis on a le joint pour l'analyse, ça devrait suffire je pense.
Flÿnn: Bousillés du crâne. Après on pourrait limite le ramener à la surface et voir ce qu'il en dit.
Zélie: Pfff..heureux sont les ignorants.
Phylène: Il tiendrait pas deux s'condes.
Phylène: Il est mieux ici.
Flÿnn@HumainDebile: J'te propose une balade vers des trucs cool, tu peux v'nir si tu veux. Sinon on s'tire.
HumainBR - L'humain les regarde chacun leur tour avec un air des plus stupides
HumainBR: Des trucs cools ? Sérieux ?
Flÿnn: Des trucs de malade que t'as jamais vu, et un autre bout du grand mur.
Klepp: Des p'tites doses aussi !
Zélie: @Flÿnn Tu cherches un gosse en faite.
HumainBR: Ouah ! Putain ça a l'air cool !
HumainBR: Woh... Doucement les gars... Vous voulez des clopes ?
Zélie: On veut les champi', on les roulera plus tard. On doit remonter.
Flÿnn: Des champis, et l'endroit où tu les achètes ou récoltes.
HumainBR: Bah j'sais pas ! Mais je peux partager un joint si vous voulez...
HumainBR: C'est un grand troll qui nous ramène les champis
Zélie: Il est où ce Troll ?
Flÿnn: Finch ?
HumainBR: Euh oui Flouch j'crois
Glasha: Sinon, on prendre les leur ?
HumainBR: J'sais pas où il est... Il a sa planque à champis
Glasha: Il vous fournir contre rien ?
HumainBR: Ben... Papou vient le bénir
Zélie: Files en quelques un.
HumainBR tend un joint vers la bande avec un sourire benêt
HumainBR: Si vous avez envie de déstresser... Suffisez d'le dire..
Sue: Comment Papou le bénit ?
HumainBR: Ben Papou fait parler le mur...
HumainBR: Faut remonter le couloir de l'illumination pour le trouver
HumainBR: Il s'aventure je ne sais où là bas
Flÿnn: C'est là d'où on vient.. on a tué le truc derrière la grosse porte.
HumainBR: Je sais pas mec.... On reste près du mur nous
Flÿnn: Putain ils sont pires qu'Ignis ces types.
Zélie: Vraiment vous avez rien d'le crâne. Jamais ça vous vient à l'idée de vous balader ?
HumainBR: Pour quoi faire ? On a le Grand Mur
Zélie: ....On va rentrer, y rien à en tirer.
Sue: Puis on a le joint pour l'analyse, ça devrait suffire je pense.
Flÿnn: Bousillés du crâne. Après on pourrait limite le ramener à la surface et voir ce qu'il en dit.
Zélie: Pfff..heureux sont les ignorants.
Phylène: Il tiendrait pas deux s'condes.
Phylène: Il est mieux ici.
Flÿnn@HumainDebile: J'te propose une balade vers des trucs cool, tu peux v'nir si tu veux. Sinon on s'tire.
HumainBR - L'humain les regarde chacun leur tour avec un air des plus stupides
HumainBR: Des trucs cools ? Sérieux ?
Flÿnn: Des trucs de malade que t'as jamais vu, et un autre bout du grand mur.
Klepp: Des p'tites doses aussi !
Zélie: @Flÿnn Tu cherches un gosse en faite.
HumainBR: Ouah ! Putain ça a l'air cool !
Qu'il nous suive ou non, sa vie était entre ses mains ! Secrètement j'espérais en faire un rebelle mais il était beaucoup trop arraché pour en faire quoi que ce soit. Alors plutôt que de l'obliger à faire quoi que ce soit je lui filais un bout de carton sur lequel j'avais pu dessiner quelques informations de base concernant la cité, la surface, la rébellion, l'empire, un vrai trésor pour des gars comme eux qui ne connaissaient rien. À lui de tracer sa route désormais. De notre côté, nous retournions du côté du tunnel creusé à la cuillère dans la terre, retournant dans la galerie des égouts après un long moment à ramper et à tirer Glasha. Dès notre sortie, à l'Est, deux lueurs jaunes épiaient Zélie depuis la pénombre, et rapidement d'autres lueurs jaunes commençaient à nous regarder, on les regardait en retour, interloqués. Nos lunettes de vision nous révèlent là une vingtaine de petites silhouettes agglutinées dans un coin.
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Cyclopécureuils
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Le moral du groupe revenait en trombe mais tout le monde avait légèrement perdu l'esprit en remontant à cause des péripéties et des galères que j'ai essayé de vous raconter sans rentrer dans tous les détails. Pour une raison que je ne saurais expliquer, cette énergie retrouvée nous mena vers une mort prévisible. Les blessures devaient être lavées. Glasha proposa qu'on la dépose dans les souterrains pour livrer son dernier combat à coup de tête, mais nous avions mieux, bien mieux.
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Flÿnn: Autant tous attaquer le sas impé à coup d'tête !
Glasha: Bagarre !
Klepp: J'suis tellement chaud.
Flÿnn: C'est décidé, ce soir on détruit l'empire !
Phylène: On va tout faire cramer !
Phylène: POUR LE GRAND MUR !
Flÿnn: A L'ATTAQUE !!
Zélie: Gloire à la Rebellion!
Klepp: Allons crâmer du zimp
Joyce: C'parti !
Flÿnn: Celui qui survit est un lâche ! Ce soir c'est à la mort !!
Joyce: Haha !
Klepp: ELLE EST OU PHYLENE
Glasha: Phyyyyyyyyyy !
Joyce: .. Phylèèèèèèène !
Zélie: Au nord sans doute!
Klepp: C'vrai, c'pas une naine, merde alors.
Glasha: Bon ... Flÿnn me rattrape en bas ou je me laisse tomber ?
Flÿnn: S'tu saute de cette hauteur tu me tues.
Klepp: T'as encore le jetpack non ?!
Phylène: J'peux tenir qu'un azmat !
Glasha: Je saute et j'active ?
Glasha: Je vais perdre une jambe !
Flÿnn: T'as dit que tu frappais avec la tête, commence pas !
Phylène: C'pas grave, t'as besoin que de ta tête.
Zélie: En vrai tu n'as plus rien à perdre.
Phylène: Au pire, on se servira de toi comme projectile !
Glasha: Ok ! C'être parti !
Glasha: Bagarre !
Klepp: J'suis tellement chaud.
Flÿnn: C'est décidé, ce soir on détruit l'empire !
Phylène: On va tout faire cramer !
Phylène: POUR LE GRAND MUR !
Flÿnn: A L'ATTAQUE !!
Zélie: Gloire à la Rebellion!
Klepp: Allons crâmer du zimp
Joyce: C'parti !
Flÿnn: Celui qui survit est un lâche ! Ce soir c'est à la mort !!
Joyce: Haha !
Klepp: ELLE EST OU PHYLENE
Glasha: Phyyyyyyyyyy !
Joyce: .. Phylèèèèèèène !
Zélie: Au nord sans doute!
Klepp: C'vrai, c'pas une naine, merde alors.
Glasha: Bon ... Flÿnn me rattrape en bas ou je me laisse tomber ?
Flÿnn: S'tu saute de cette hauteur tu me tues.
Klepp: T'as encore le jetpack non ?!
Phylène: J'peux tenir qu'un azmat !
Glasha: Je saute et j'active ?
Glasha: Je vais perdre une jambe !
Flÿnn: T'as dit que tu frappais avec la tête, commence pas !
Phylène: C'pas grave, t'as besoin que de ta tête.
Zélie: En vrai tu n'as plus rien à perdre.
Phylène: Au pire, on se servira de toi comme projectile !
Glasha: Ok ! C'être parti !
Le reste mérite d'être préservé dans la mémoire des présents ce soir là, nous attaquâmes le sas impérial au milieu de la nuit et pénétrions dans le secteur ennemi le temps d'une murge bien méritée dans un bar au sud-ouest de Marran. C'est sans nul doute la plus grosse mine que nous avons pu nous mettre, Glasha sans ses bras, Phylène à moitié blessée, les autres déchirés et ayant des réminiscences de ce qu'ils venaient de vivre. Pourquoi ne pas finir en beauté ? Les impériaux pénétrèrent dans le bar et les combats commencèrent à faire rage, cette ruche de la Lame que nous formions emportant les premières têtes dans la mort.
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Phylène: A L'ASSAUUUUUT !
Joyce se recule.
Glasha penche la tête en grognant
Klepp sort son tranchoir, complètement bourré
Flÿnn: BASTOOONNN
Klepp: A l'assaut !!!!!!!!!!!!!
Phylène sort Mordred en hurlant, une dernière cuvée de Skywi dans la gueule.
Joyce: UNE MORTE, UNE !
Maatheo arrive, et rejoint le combat
Sue tire un coup et file.
Klepp: POUR PAPOUUUUUUUUUUUU
Flÿnn: POUR LE MUR !!
Joyce: Phylène, ruche !
Klepp: POUR LE MUR
Zélie bouscule les tabourets, sautant par dessus le comptoir.
Bastos engage.
Glasha: POUR LE MUUUUUR !
Phylène: POUR LES MUUUUUURS !
Sue: Uh
Joyce: Zélie ?!
Joyce se met à gueuler, en fronçant les sourcils.
Klepp: Glasha DES COUPS DE TETE
Joyce: BORDEL ZELIE ! FUMEZ LES !
Klepp: COmment ça Zélie ?!
Joyce: Ils l'ont butés à côté !
Phylène sort un morceau de steack qu'elle dévore tout en tapant.
Syiane: Mangez Sue !
Joyce attrape son fusil, et charge une cartouche..
Klepp regarde Syiane bizarrement
Klepp: TOUCHEZ pas Sue ou j'appelle PAPOU
Syiane ricane
Phylène: PAPOUUUUU
Sue: VIVE PAPOUU
Flÿnn: Les Bandanas Rouges ARRIVENT !
Klepp grimpe sur son overboard
Joyce s'enrage, avant de laisser filer les balles d'énergie sur les restants.
Klepp: Wouaaaaaaaaah ça tangue
Joyce: VOUS ALLEZ BOUFFER !
Joyce se recule.
Glasha penche la tête en grognant
Klepp sort son tranchoir, complètement bourré
Flÿnn: BASTOOONNN
Klepp: A l'assaut !!!!!!!!!!!!!
Phylène sort Mordred en hurlant, une dernière cuvée de Skywi dans la gueule.
Joyce: UNE MORTE, UNE !
Maatheo arrive, et rejoint le combat
Sue tire un coup et file.
Klepp: POUR PAPOUUUUUUUUUUUU
Flÿnn: POUR LE MUR !!
Joyce: Phylène, ruche !
Klepp: POUR LE MUR
Zélie bouscule les tabourets, sautant par dessus le comptoir.
Bastos engage.
Glasha: POUR LE MUUUUUR !
Phylène: POUR LES MUUUUUURS !
Sue: Uh
Joyce: Zélie ?!
Joyce se met à gueuler, en fronçant les sourcils.
Klepp: Glasha DES COUPS DE TETE
Joyce: BORDEL ZELIE ! FUMEZ LES !
Klepp: COmment ça Zélie ?!
Joyce: Ils l'ont butés à côté !
Phylène sort un morceau de steack qu'elle dévore tout en tapant.
Syiane: Mangez Sue !
Joyce attrape son fusil, et charge une cartouche..
Klepp regarde Syiane bizarrement
Klepp: TOUCHEZ pas Sue ou j'appelle PAPOU
Syiane ricane
Phylène: PAPOUUUUU
Sue: VIVE PAPOUU
Flÿnn: Les Bandanas Rouges ARRIVENT !
Klepp grimpe sur son overboard
Joyce s'enrage, avant de laisser filer les balles d'énergie sur les restants.
Klepp: Wouaaaaaaaaah ça tangue
Joyce: VOUS ALLEZ BOUFFER !
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Épilogue.
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Alors que dire dans cet épilogue. Moins que dans la première chronique mais il y a quand même des informations notables autour de cette exploration, je vais tenter de séparer ça selon deux thématiques principales, l'une autour des Bandanas Rouges l'autre autour d'informations géographiques et structurelles.
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- Les Bandanas Rouges font vraisemblablement leur apparition autour de la surface d'Orion à la fin de cette expédition.
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- Il s'agit vraisemblablement de clones rejetés par le système, probablement par défaillance ou pour remplir des tâches ingrates. Ce sont des ratés du système au sens propre du terme, leur conception ne les dote d'aucune accréditation, pas même la première à cette époque. La surface leur était largement inconnue et seuls quelques leaders possédaient un peu plus d'expérience que les autres, de peu. Ils ne disposaient pas du clonage.
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- Les Bandanas Rouges sont tournés autour de causes communes, la drogue, les trafics, le mercenariat, mais ne sont pas fondamentalement contre la Rébellion. Au contraire les échanges vont devenir plus fréquents avec cette faction présente dans nos souterrains, avec laquelle une entente sera scellée dans l'intérêt des deux systèmes en place, celui de la surface et celui décentralisé des souterrains, bien que ce dernier ne dispose d'aucune organisation fixe et n'est qu'un ensemble de petits groupes éparpillé dans plusieurs zones occupant les égouts.
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- Avec le temps et les échanges de savoir, leur niveau intellectuel va légèrement augmenter. Cette première approche mettait en avant leur condition de base mais les Bandanas Rouges seront voués à jouer un rôle dans une autre chronique. De manière globale et uniforme, ils sont franchement atteints, mais le sont aujourd'hui beaucoup moins qu'à l'époque. Ils s'habillent, ont une meilleure santé économique ce qui leur a permis d'atteindre un stade d'évolution légèrement plus élevé, j'insiste sur la légèreté de l'évolution..
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- La théorie veut que le grand explorateur auquel ils se réfèrent très souvent et qui aurait rejoint ce qu'ils nomment le Grand Inconnu, soit le Grand Extérieur pour nous ou encore le Dehors, soit Hector Calver lui-même, mais rien n'a pu confirmer la collusion entre le premier-né impérialiste et les Bandanas Rouges.
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- Depuis la mort du Prophète Papou le culte du mur a disparu de leurs bouches, plus personne n'en a entendu parler depuis, peut-être qu'il existe toujours avec un autre leader mais nous n'en savons rien.
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Au niveau géographique et structurel.
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- La présence des Bandanas Rouges est attestée au premier niveau des égouts. Il n'y a pas de mention d'humains non accrédités en dessous vivant de cette manière même si tout indique que c'est possible.
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- Les Murs Intersectoriels s'étendent en profondeur et ne laissent pas la possibilité de passer en dessous pour rejoindre un autre secteur.
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- Le Mur intersectoriel Sud d'Orion possède des inhibiteurs psychiques, une technologie expérimentale. C'est cette technologie qui a rendu fou notre groupe, les Bandanas Rouges autour et qui a causé une perte pendant l'exploration.
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La Nouvelle Lame considère l'expédition comme une réussite du point de vue des informations récoltées mais la cartographie des souterrains ou le contournement des restrictions de mouvement ne sont pas possibles au moment de cette opération. Nous envisageons d'autres tentatives à d'autres endroits, cela a permis d'unir le groupe autour de ses objectifs. En parallèle de cette expédition, nous avons sérieusement réfléchi à implanter un avant-poste souterrain dans le but de faciliter les déplacements en sous-sol. Les égouts représentent la première frontière que le secteur se devait de reconquérir avant même d'imaginer s'étendre, plutôt que de sauter les étapes c'est ici que commençait notre projet, celui de rétablir sous contrôle rebelle les morceaux de territoire qui étaient abandonnés.
Informations sur l'article
🅵 Lame Sanglante
30 Août 2022
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