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III : Les agonies du cœur : Lueurs
Premier épisode :I :LES AGONIES DU CŒUR :CAUCHEMAR
Deuxième épisode :II : LES AGONIES DU CŒUR : MORT SUR LA LIGNE D'ARRIVÉE ?
Deuxième épisode :II : LES AGONIES DU CŒUR : MORT SUR LA LIGNE D'ARRIVÉE ?
.
Je suis aveuglée une lueur, intolérable.
La fin ? Non. Juste un néon sur lequel mon regard s'est fixé au réveil.
Blanc, constant, blafard.
Non. J'y lis un léger clignotement.
Va t'il s'éteindre ? Comme moi ?
La fin ? Non. Juste un néon sur lequel mon regard s'est fixé au réveil.
Blanc, constant, blafard.
Non. J'y lis un léger clignotement.
Va t'il s'éteindre ? Comme moi ?
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J'ai fini à la clinique, et la je ne le quitterai plus il me semble.
Le problème est plus que confirmé.
Les infarctus silencieux ont mené à un autre.
Oh pas qu'on entende quoi que ce soit.
.
La douleur dure s'allonge on pense mourir, c'est sûr, on est mort, le voile s'abat.
Et non, on revient, encore, comme une cuve, au fond. Sauf que c'est toujours le même corps.
.
.
Épuisée, brisée.
Même la volonté finit par craqueler.
J'ai peur. Peur de cuver, et de revenir.
De reprendre ce cycle, quelque jours de répit, et puis...
Et puis se retrouver encore la.
Et encore,
Et encore.
Encore ...
N’être que l'ombre de l'ombre de ce que l'on a été.
.
Tout donner de son coeur,
A en être épuisée,
Etre prise de douleurs,
A en être brisée,
.
Mais avancer encore,
au mépris de son corps,
de ses évidentes alarmes,
oublier les larmes.
.
Une seule pensée me hante,
Résiste, avance, insiste,
Plus que rester vivante,
c'est que la rébellion persiste
.
Tout se brouille, tout est vague.
J'essaie encore d'influer,
mais ma raison divague.
Et celle ci de s'éloigner.
.
.
j'ai trouvé la force de pianoter ça.
Ça n'est pas très bon, mais les antalgiques brouillent tout.
Sauf la douleur quand elle est aiguë.
.
Il parait que quelqu'un à une idée pour me tirer de la. Il a déjà des plans pour ça. Il doit juste les adapter.
Mais ça dure, et la notion de temps m’échappe.
.
.
Elle est sur le lit d'en face, à me surveiller comme si j'allai devenir diaphane, et m’évaporer.
Elle tempête sur certain, elle veut me protéger, coûte que coûte.
.
Elle a toujours eu une place réservée. Dans mon cœur. Un coin rien qu'à elle.
Même quand je regardai ailleurs, par obligation.
Toujours la, l'une pour l'autre, peut être la seule à m'apprécier telle que je suis.
Sans ajout ni retrait.
Amitié ou Amour ?
Les deux ... ?
Les deux.
Le problème est plus que confirmé.
Les infarctus silencieux ont mené à un autre.
Oh pas qu'on entende quoi que ce soit.
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La douleur dure s'allonge on pense mourir, c'est sûr, on est mort, le voile s'abat.
Et non, on revient, encore, comme une cuve, au fond. Sauf que c'est toujours le même corps.
.
Épuisée, brisée.
Même la volonté finit par craqueler.
J'ai peur. Peur de cuver, et de revenir.
De reprendre ce cycle, quelque jours de répit, et puis...
Et puis se retrouver encore la.
Et encore,
Et encore.
Encore ...
N’être que l'ombre de l'ombre de ce que l'on a été.
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A en être épuisée,
Etre prise de douleurs,
A en être brisée,
.
Mais avancer encore,
au mépris de son corps,
de ses évidentes alarmes,
oublier les larmes.
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Une seule pensée me hante,
Résiste, avance, insiste,
Plus que rester vivante,
c'est que la rébellion persiste
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Tout se brouille, tout est vague.
J'essaie encore d'influer,
mais ma raison divague.
Et celle ci de s'éloigner.
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j'ai trouvé la force de pianoter ça.
Ça n'est pas très bon, mais les antalgiques brouillent tout.
Sauf la douleur quand elle est aiguë.
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Il parait que quelqu'un à une idée pour me tirer de la. Il a déjà des plans pour ça. Il doit juste les adapter.
Mais ça dure, et la notion de temps m’échappe.
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Elle est sur le lit d'en face, à me surveiller comme si j'allai devenir diaphane, et m’évaporer.
Elle tempête sur certain, elle veut me protéger, coûte que coûte.
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Elle a toujours eu une place réservée. Dans mon cœur. Un coin rien qu'à elle.
Même quand je regardai ailleurs, par obligation.
Toujours la, l'une pour l'autre, peut être la seule à m'apprécier telle que je suis.
Sans ajout ni retrait.
Amitié ou Amour ?
Les deux ... ?
Les deux.
Informations sur l'article
La vie n'est pas prose.
10 Février 2018
1094√
8☆
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- II : Les agonies du cœur : Mort sur la ligne d'arrivée ? (12☆)
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◊ Commentaires
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Inori (30☆) Le 12 Février 2018
n'etoile rose tiens ****