EDC de 63294

Aujourd’hui je vous écris cette lettre, navrée de ne pas l’avoir fait avant, mais quelques événements m’en ont empêchés.

J’aimerais vous dire dans un premier temps que vous m’êtes chers, que je vous possède bien contre mon gré, mais grâce à vous je peux voir la vie d’une façon bien différente et juste pour ceci, je vous remercie.

Grâce à vous, j’ai trouvé de l’amour là où je m’y attendais le moins, celui d’un père et d’une mère qui même depuis le début ont pu m’aimer tel que j’étais mais encore une fois, c’est avec votre bonté que j’ai pu parvenir à ce que je voulais je ne saurais comment vous remercier.

Il y a aussi cette chose qui me faisait tellement peur et dont, j’ai pu aussi finir avec une certaine joie, fierté mais aussi motivation, le fameux Martial… je suis enfin à mon maximum, je n’ai plus qu’à finir mon apprentissage sur le terrain de mes acquis et Thomas pourrait m’y aider j’en suis certaine, il semble être fier de moi à ce sujet que je sois tout comme lui une tireuse, il ne le sait pas, mais je cherche à tout prix à le dépasser ~Oh ? on me dit dans l’oreillette que je n’aurais pas de mal. - Papa si tu trouves la lettre, je t’aime, c’est une blague pas taper pas taper pas taper !-~

Je ne saurai comment vous dire à quel point je vous vénère chères ambitions, j’en ai tellement encore à vous demander… Sans doute comme pouvoir poursuivre la carrière que je souhaite au Cercle de l’Orient puis entrer dans une école encore plus grande mais fermée qu’est la politique, c’est mon rêve le plus cher, je sais bien, mais sans vous je doute que j’y arrive, allez-vous m’y aider ? Pensez-vous que Imperator puisse m’y guider ? Je ne demande pas de la facilité, donnez-moi quand même quelques terrains complexent, je déteste la facilité.

Puis… que dire, pour conclure cette lettre… je ne vais pas vous remercier sans arrêt vous allez être trop flattée, mais faites en sortes que mon caractère soit aussi solide qu’un roc à l’image de celle que j’idolâtre, bien qu’elle ait eu des moments de vide dans sa vie, je sais que maintenant, plus rien ne l’arrêtera, vu la pente montante sur laquelle elle se lance… bref, faites en sortes que je sois son miroir et je vous userais avec soin, promis.

Bien à vous,