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Je savais comment survivre. Enfin, c'est ce que je croyais parce qu'en réalité c'était faux.
Déjà, je n'avais pas remarqué qu'il me fallait manger. Comment direz-vous ? Mais c'est un besoin élémentaire, ça.
Et bien non, ma mémoire m'avait totalement occulté ce détail. C'est quand je commençais à m'affaiblir, à avoir des vertiges que je me suis inquiétée. J'ai écris à mon mentor Jay et c'est lui qui m'a dit qu'il fallait que je mange et boive. Est-ce bête ? Pourtant, je n'éprouvais aucune sensation de faim ni de soif. Rien. Nothing. Nada.
Déjà, je n'avais pas remarqué qu'il me fallait manger. Comment direz-vous ? Mais c'est un besoin élémentaire, ça.
Et bien non, ma mémoire m'avait totalement occulté ce détail. C'est quand je commençais à m'affaiblir, à avoir des vertiges que je me suis inquiétée. J'ai écris à mon mentor Jay et c'est lui qui m'a dit qu'il fallait que je mange et boive. Est-ce bête ? Pourtant, je n'éprouvais aucune sensation de faim ni de soif. Rien. Nothing. Nada.
Donc, il me fallait manger pour avoir de l'énergie. Je me mis en quête d'un restaurant, taverne, ce que vous voulez, un endroit pour me sustenter, c'est ce que je voulais : manger et boire. Je trouvais facilement un endroit.
Vous allez rire, j'entrais, il n'y avait personne. Panique à bord. Il fallait que je me nourrisse d'urgence. Je sortis et partis en quête d'un autre établissement. Pareil personne.
Troisième établissement, enfin une personne. Un client. Il ne pouvait pas me servir mais Il est grand. Le client comprenant ma détresse et surtout mon ignorance m'expliqua comment me servir en vitrine. Qu'Il soit loué ! Je pus me nourrir quoique je restais un peu étourdie devant le prix du verre d'eau.
C'était quand même bizarre que ma mémoire ne m'est pas restituée ces informations.
Et ce n'était pas seulement ça qu'elle avait gardé pour elle, cette mémoire.
Vous allez rire, j'entrais, il n'y avait personne. Panique à bord. Il fallait que je me nourrisse d'urgence. Je sortis et partis en quête d'un autre établissement. Pareil personne.
Troisième établissement, enfin une personne. Un client. Il ne pouvait pas me servir mais Il est grand. Le client comprenant ma détresse et surtout mon ignorance m'expliqua comment me servir en vitrine. Qu'Il soit loué ! Je pus me nourrir quoique je restais un peu étourdie devant le prix du verre d'eau.
C'était quand même bizarre que ma mémoire ne m'est pas restituée ces informations.
Et ce n'était pas seulement ça qu'elle avait gardé pour elle, cette mémoire.
Je me rendis sur mon lieu de travail et j'y restais les deux heures exigées, surprise que personne ne vienne me donner des instructions.
e rentrais après dans mon studio _studio que je louais à un prix exorbitant, soit dit en passant : L'ignorance est une plaie grave_ Quelle ne fut ma surprise, au matin de découvrir une notification affirmant que je n'avais pas fait mes heures et que je ne serais pas payée. C'était fort de cafey ! J'étais furieuse mais bon comme je n'avais aucun recours et que je ne savais pas où aller me plaindre, j'avalais cette pilule amère. _L'ignorance est une plaie grave. Ce sera mon nouveau leitmotiv_
e rentrais après dans mon studio _studio que je louais à un prix exorbitant, soit dit en passant : L'ignorance est une plaie grave_ Quelle ne fut ma surprise, au matin de découvrir une notification affirmant que je n'avais pas fait mes heures et que je ne serais pas payée. C'était fort de cafey ! J'étais furieuse mais bon comme je n'avais aucun recours et que je ne savais pas où aller me plaindre, j'avalais cette pilule amère. _L'ignorance est une plaie grave. Ce sera mon nouveau leitmotiv_
Je retournais travailler, toujours personne. Au moment de partir, un homme entra me salua et disparu. J'avais noté son nom. Une intuition.
Je rentrais chez moi et le lendemain, horreur ! Même notification.
Là, je réagis, j'écrivis une lettre aimable au monsieur que j'avais croisé sur mon lieu de travail. J'eus l'agréable surprise de recevoir une réponse dans laquelle il m'expliquait mon erreur et comment procéder. J'avais eu de la chance. L'homme était aimable. Dommage, je ne le revis jamais plus.
Le surlendemain, j'eus le plaisir de toucher ma première paie. Il était temps, il fallait payer ce fichu loyer.
Je rentrais chez moi et le lendemain, horreur ! Même notification.
Là, je réagis, j'écrivis une lettre aimable au monsieur que j'avais croisé sur mon lieu de travail. J'eus l'agréable surprise de recevoir une réponse dans laquelle il m'expliquait mon erreur et comment procéder. J'avais eu de la chance. L'homme était aimable. Dommage, je ne le revis jamais plus.
Le surlendemain, j'eus le plaisir de toucher ma première paie. Il était temps, il fallait payer ce fichu loyer.
Il ne faut pas que je sois injuste, j'étais satisfaite de mon premier chez moi. Je ne savais pas que pour ce même prix, je pouvais avoir quelque chose de nettement mieux dans un plus chic quartier. _L'ignorance est une plaie grave. Habituez-vous, c'est mon leitmotiv_
Je continuais de vivre ainsi pendant fort longtemps, entre travail et maison. Puis un jour la solitude se fit sentir et je décidais d'aller dans un de ces restaurants mais le soir.
Un autre chapitre de ma vie débutait.
Informations sur l'article
Ma vie à Dread cast
19 Novembre 2016
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