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EDC de 62360

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J'ai fait un rêve

L’autre nuit j’ai fait un rêve des plus heureux ou des plus sot selon le point de vue.
Le secteur impérial et le secteur rebelle s’était réunifiés et nos préoccupations étaient toutes autres.
La journée le secteur trois était animé par les différents secteurs d’activités. Les usines tournaient à plein régime, les techniciens créaient leurs kits et les scientifiques rejoignaient des laboratoires pour travailler ensemble à mettre sur pieds des projets. Les glaneurs et les fouilleurs arpentaient les rues et pouvaient s’endormir sans craindre de se faire agresser.
Tous se retrouvaient durant leurs pauses à boire, manger, rire et discuter dans plusieurs bars de la Cité. Il y avait une rue commerciale où les allers et venues donnaient vie à tout un quartier. Dans ces ateliers, naissaient les plus belles créations que l’on ait jamais vues.
Dans les rues on pouvait rencontrer des agents du Frelon qui veillaient à ce que les lois soient toujours respectées et leur présence inspirait autant la peur pour les personnes malhonnête que la sécurité à ceux qui n’avaient rien à se reprocher.
A la Prison rebelle on avait installé les individus les plus dangereux et on leur enseignait tant bien que mal comment devenir meilleurs.
Les archives abandonnées portaient assez mal leur nom car elles étaient les archives totales de décennies de recherches et découvertes, regroupées de ce qui était auparavant deux secteurs.
Le Centre Militaire et le Militarium travaillaient main dans la main à surveiller les ST et récolter les cristaux afin d’alimenter les deux secteurs autant qu’ils en avaient besoin. Ils s’occupaient de protéger les citoyens qui se rendaient d’un côté ou de l’autre, pour leur travail ou leurs loisirs. Traverser cette zone avec tous ces rats devenaient plus sûr avec ces soldats aux côtés des citoyens.
Le secteur un était un lieu un peu plus riche et vivait surtout la nuit. Des quartiers de boutiques avec des ambiances différentes. Des bars pour que chacun y trouve son compte et retrouve ses amis et sa famille.
Le Cercle de l’Orient veillait à la sérénité des lieux. Si un ivrogne ou un mec un peu trop sûr de lui se mettait à attaquer un autre, ils intervenaient et les envoyaient en cellule le temps de réfléchir à leurs actes.
Les laboratoires tournaient aussi avec la mise en forme des projets inventés de l’autre côté. C’est des usines, des technopôles et des ateliers impériaux que sortaient les nouvelles tendances, les nouvelles inventions. Celles-ci ne se retrouvaient dans les boutiques de l’autre côtés que plus tard quand la nouvelle gamme arrivait.
En Haute-Ville, se tenait régulièrement de grands défilés de mode mais aussi des défilés d’armes, un concept intéressant afin de présenter les oeuvres des ingénieurs.
Il y avait le DCN qui ne ratait rien de tout ce qui se passait d’un côté comme de l’autre avec des reporters qui passaient d’un côté à l’autre afin d’obtenir un scoop.
L’Université avait atteint une place supérieure, on pouvait désormais tout y apprendre, du tir au combat à main nue ou encore les matières scientifiques les plus poussées. Si vous étiez bon élève vous pouviez rejoindre le QI ou le Cerberus et évoluer dans votre domaine avec l’élite.
Il y avait des cliniques privées et des hôpitaux publics afin de pouvoir accueillir tout le monde dans les meilleures circonstances. Les médecins aimaient leur travail et cela se ressentait. C’était une équipe médicale de grande qualité.
Dans le Sud tout était différent mais valait vraiment le détour. Les Club de strip-tease, les maisons de jeux d’argent, les combats de rues avec paris. C’était très festif, même si il y en avait toujours qui se foutaient sur la gueule. C’était un peu le défouloir pour le trop plein d’hormones.
Il y avait des Sex-Shop, des Maisons Closes, des dealers, des putes, des labo dans lesquels on ne fabriquait rien de légal. Souvent vous pouviez croiser un Clodo qui vous balançait toute sa haine à la tronche et pris de pitié vous le laissiez faire.
Oui j’ai fait un rêve. Celui où mes deux filles et moi nous rendions dans notre laboratoire et pouvions travailler ensemble. C'est bien utopique, un rêve bien digne de moi.
Ce n’était qu’un rêve, car à mon réveil tu étais toujours partie ma belle sans que je comprenne comment et pourquoi, devenue rebelle, j’étais si triste.
Oui je ne suis qu’une rêveuse mais le monde dans lequel on vit nous laisse cette chance de pouvoir encore s’évader vers quelque chose de meilleur.
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Dans la tête de ma petite utopiste.
Si Joey n'a pas raconté son rêve vous ne pouvez pas le savoir.

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