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Illusion d'enfer
" C'était comme si les rêves partageaient cette réalité, celle qui fait de moi cette être éloigné, détaché de cette atmosphère. Il y a un temps pour tout comme on dit, mais qu'est ce que cela devient si on n'a plus de temps, que toute nos actions ce chevauchent? Est ce qu'il vaudrait mieux alors voir chaque choses dans un temps ? Je ne sais même pas si j'arrive à me comprendre, mais au moins ça me parle. "
(☺ Keÿriko Pensif spic)
" Moi, personnellement, je comprends rien et puis déjà pourquoi parler de rêve?Ce n'est qu'éphémère. On est d'accord pour ce dire que tu n'as aucun droit sur moi. Et tu peux garder tes phrases de philosophe pour toi. "
(☻ Voix pensif)
" Voyez-vous ça … alors tu croies que tu vaux peut être plus que moi? Sans moi tu ne serais pas sorti de ce laboratoire! Sans moi tu n'aurais pas trouvé la force de te relever! Sans moi tu serais qu'une simple coquille vide, dépourvue de toute interaction.Tu ne te rends pas compte de la chance que tu as de vivre, vivre dans ce monde plein de vie, d'émotion, contemple cette œuvre orchestrée par les plus divins. "
C'est alors que ma tête dirigeait mon regard sur une ville à l'allure chaotique, un peu comme si l'ont regardé un film d'horreur sans les bruits morbides de gorges lacérées ou de gisements sanglants d'artères fraîchement coupées.
Non, là c'était différent. L'aire que je respirais n'avait rien d'humain, mais il me réconfortait quelque part dans mon être. Ce sentiment était paradoxal à cette impression désastreuse actuelle en rapport avec mon environnement. Comment peut-on se sentir rassuré dans un endroit pareil?
Je ne pouvais alors qu'entrevoir dans le sillage, qu'un chantier qui avait l'air de déboucher sur une route principale. Il n'y aucun signe de vie autour de moi, un silence de mort des plus perçants. Presque au point de me donner des frissons.
Mais je n'avais pas d'autre choix que de prendre ce chemin pour rejoindre cette ville. Autour de moi, des décombres gisent du sol, des meubles et matériaux de différents aspects; J'essaye alors de me mouvoir parmi tous ce chaos un itinéraire, qui pourrait m'amener sur la grande route.
En me déplaçant, je pouvais voir que toute cette scène n'était pas réellement ce que je voyais. La réalité ou une illusion?
Non loin, à une dizaine de mètres, je pouvais apercevoir une plaque brillante à l'exposition des quelques rares rayons du soleil étouffés par cette atmosphère. Elle était de taille moyenne mais ensevelie derrière des tas d'ordures et de vêtements, j'ai alors pris quelques instants pour imaginer à quoi pouvait elle ressembler?
Non loin, à une dizaine de mètres, je pouvais apercevoir une plaque brillante à l'exposition des quelques rares rayons du soleil étouffés par cette atmosphère. Elle était de taille moyenne mais ensevelie derrière des tas d'ordures et de vêtements, j'ai alors pris quelques instants pour imaginer à quoi pouvait elle ressembler?
Soudain cette forte sensation me prit au niveau du cœur comme si mon instinct me disait d'aller jeter un coup d'œil sans inquiétude.
Je pris la direction de cette objet étrange, ce n'était pas très loin, il n'y avait que une dizaine de pas à faire, il fallait juste que je fasse attention à ne pas me blesser ou faire de mauvais pas. Arrivé juste au-dessus de l'objet inconnu, je scrutais de quelques rotations de tête les alentours, afin de me rassurer, instinctivement, que je ne suis pas épié.
Je pris la direction de cette objet étrange, ce n'était pas très loin, il n'y avait que une dizaine de pas à faire, il fallait juste que je fasse attention à ne pas me blesser ou faire de mauvais pas. Arrivé juste au-dessus de l'objet inconnu, je scrutais de quelques rotations de tête les alentours, afin de me rassurer, instinctivement, que je ne suis pas épié.
J'ai pris mes deux main en essayant de faire coulisser l'objet en question, mais au bout de quelque secondes, l'objet se coinça. Je le débarrassais des différents obstacles qui en gêné la vue et m'apercevais que c'était un miroir.Je me regardais fixement et me prit dans un tourbillon de questions, mais une revenait souvent .
- Qui suis-je ….?
Je pouvais alors me voir sur quelque parcelle du miroir, il était cassé et a certains endroits dépourvus. Je ne me vois pas très bien mais je peux me voir, c'est alors que je commençais à m'analyser, je devais bien faire 1m80 au plus, plutôt fine silhouette avec la peau d'un marron sombre, avec des reliefs comme une peau de serpent et à certains endroit de l'exuvie, sûrement des restes d'incubation.
Alors que je scrutais les moindres recoins de mon corps je pouvais apercevoir que sur la face du miroir était imprimé un mot en transparence ou alors dégradé par le temps.
-kirokko … non
kyetiko
Arrrg je ne vois rien il est tout sale et quasiment illisible …
kyetiko
Arrrg je ne vois rien il est tout sale et quasiment illisible …
(Quelque minutes plus tard)
-Keÿr iko Keÿri ko Keÿriko , voilà ce qui était marqué
Un prénom étrange pour une situation étrange, et je ne pouvais pas dire que cela pouvait venir d'une marque de fabrique ou de quelqu'un, ce qui est sur c'est que je ne me rappelais pas d'avoir des souvenirs d'une ancien vie. Je me suis alors approprié le pseudonyme pour en faire une partie de mon identité.
Après cela je repris mon chemin et entama cette route qui remplit ma tête de questionnement qui me donne l'impression, que c'est essentiel à cette vie.
Informations sur l'article
Un nom deux personnes
04 Février 2016
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