EDC de 56035
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3. | Merry-Go-Round |
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Un à un, les jours s'écoulent paisiblement au jardin des délices,
Sablier maudit dont les enfant portent en eux le fruit défendu du vice,
Pauvres pécheurs victimes de la boite de Pandore,
Folie magnanime, où son donc passés tes trésors ?
Sablier maudit dont les enfant portent en eux le fruit défendu du vice,
Pauvres pécheurs victimes de la boite de Pandore,
Folie magnanime, où son donc passés tes trésors ?
Et de cette grande roue où ne s'échappent que des rires,
Cadeau de ces bienheureux donateurs, adeptes du pire,
Tapis dans l'ombre pour observer la chute et son fracas,
Dans cette indifférence sourde où ne grouille que des cancrelats.
Cadeau de ces bienheureux donateurs, adeptes du pire,
Tapis dans l'ombre pour observer la chute et son fracas,
Dans cette indifférence sourde où ne grouille que des cancrelats.
Et la roue tourne et tourne encore,
Dans ce tourbillon nauséeux te donnant tous les torts,
De ta foi prêtée comme un affront au ciel,
A ces dieux de pacotilles qui n'auront fait que se brûler les ailes.
Dans ce tourbillon nauséeux te donnant tous les torts,
De ta foi prêtée comme un affront au ciel,
A ces dieux de pacotilles qui n'auront fait que se brûler les ailes.
Et toi petite fille, dans ta robe de soie,
Les yeux fermés, tu vacilles, sans que personne ne te vois,
Du haut de ta nacelle tu n'hésite plus à rejoindre le vide,
Quittant ce monde aux milles "riens", aux saveurs insipides.
Les yeux fermés, tu vacilles, sans que personne ne te vois,
Du haut de ta nacelle tu n'hésite plus à rejoindre le vide,
Quittant ce monde aux milles "riens", aux saveurs insipides.
Petit être, tu renonces à tes illusions,
A ces promesses aussi légères que les ailes d'un papillon.
Et ton sourire et vite rejoint par les anges,
Tandis que le bruit des tes os rythme ce bonheur étrange.
A ces promesses aussi légères que les ailes d'un papillon.
Et ton sourire et vite rejoint par les anges,
Tandis que le bruit des tes os rythme ce bonheur étrange.
Ainsi, tu t'offres pleinement au désespoir,
Alors que ton corps blanc se teinte progressivement de noir,
Dans un monde où les mirages ont disparus,
Dans ces restes d'éternité où tu ne vivras plus qu'à cœur perdu.
Alors que ton corps blanc se teinte progressivement de noir,
Dans un monde où les mirages ont disparus,
Dans ces restes d'éternité où tu ne vivras plus qu'à cœur perdu.
Informations sur l'article
{ Dossiers Spéciaux }
13 Décembre 2017
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19☆
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◊ Commentaires
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Stellijah (292☆) Le 13 Décembre 2017
Mais que t'es belle omg. -
Cryx~52202 (552☆) Le 13 Décembre 2017
très beau^^ -
Kean~66526 (31☆) Le 13 Décembre 2017
Alors on se casse cinq minutes et c'est comme ça que ça tourne ? Non mais je vous jure.
♥, évidemment, mais surtout : encore, bordel ! ça manquait.
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Eaven (1181☆) Le 14 Décembre 2017
C'est Noël avant l'heure, c'est merveilleux ! ♥ -
Omen (179☆) Le 14 Décembre 2017
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