EDC de 55648

Sommeil et nuit agitée. Comme si on la connaissait pas celle-là tiens ! Connasse on t'aura un jour.

On se réveille en sursaut, trop chaud ! On file sous la douche froide, rapidement, trop rapidement parce qu'on a réveillé la blonde-pas-blonde qui nous pique la place.
On se pose, enfin ... on s'installe et réfléchit. Tous des casses couilles dehors, mais si on sort pas prudent, on se fait chopper !
On lit l'AITL, peut être qu'y a des infos, puisqu'on s'est fait virer des coms officiels.
Oh bordel de merde, un bar ouvert qui dit qu'y a les sotcks. Cafeyyyyyy.

On s'y jette mode accro ON. On mate le rack, y a pas de cafey ! On retourne se cacher et on pianote:

Puis pas de jaloux, on repianote !

On continue de raler, grommeler. C'est presque comme d'habitude en faite ! On surveille l'AITL, y a toujours des cons pour critiquer ou parler derrière. Oh ils en ont remis.

Cafeeyyyyyy

On y va:mode bas-les-couilles si je me fais chopper. On pille le rack en gueulant à nouveau le mot magique.

On retourne se planquer, on sirote et on réfléchit. Rah vas-y ça me casse les couilles de réfléchir. On arrivera pas à les sortir.

L'autre conne, elle sort. Elle a faim. On la laisse partir, sa tête commence à pas nous revenir. Pis moins de monde dans la pièce, plus de smog pour se rafraîchir.
On lit encore l'AITL Oh qu'il est con ce vautour de merde, genre les Nobles ça exécutent pour survivre ... Tiens bouffes ça !
On repianote l'AITL, putain de 1500 cr dépensé aujourd'hui, fait chier quoi !

Puis on sort, on le cherche Kikikikiki Ceci est un cri bien connu pour l'apatage d'oiseau, oui oui oui Lougos t'es où ? Lougos, fils de vautour croisé avec un rat, enculé d'ta mère, plumeux d'mes couilles t'es oùùùùùù ?

On le cherche, mais on le trouve pas. On croise deux meufs. L'une défonce au railgun la jambe de l'autre ... Ahaha elle l'avait bien chercher l'autre connasse !

On renifle, un coup d'instinct comme ça. On écarquille les yeux Tain ça pue l'cafey là, il est au l'connard qui s'balade avec. On cherche l'info en reniflant, comme l'impression de retrouver son odorat orc, sauf que c'était pour les steaks à l'époque. Puis plus rien, enfin si, beaucoup trop en faite. On se met à renifler à tout va, on capte trop d'odeur.

Enfoiré d'smog, tu pues.

On retourne se cacher, encore bah ouais ! Et on se rendort pour un cycle, en se pinçant un peu le nez pour éviter de trop respirer toutes ces odeurs.

Jour 2.1:

On se réveille, on se gratte une joue barbu en baillant. On se griffe, et surpris, saute du canapé en regardant autour. Ça peut pas être nous ! Cette catin de blonde n'aurait suivi ?
On regarde autour, on plisse les yeux, renifle. On sent toujours autant d'odeur, mais pas de présence.
On réfléchit, puis on vient à poser les yeux sur sa main. Houha des griffes putains !
On court devant le miroir, et on commence à mater le beau gosse qu'on est. Sauf que nan, c'est plutôt un poilu qu'on mate.

Le ventre gronde, on a faim, vraiment faim. Manger ! d'une voix rauque, notre principale envie est devenu comme celle d'un Nuke: "Monger" qu'il dit tout le temps ce con de troll.

Alors on se sort, on renifle encore et toujours. On cherche son chemin vers de la nourriture, dos voûté à l’affût de tout ce qui nous entoure.
Sauf qu'y a rien, bar vide, rue vide. Mais bordel, plus d'cafey, plus d'bouffe.
On arrive prêt de l'Annexe, on cherche, on fouille pendant 15 cyclo-minute. Même pas moyen de trouver un champi !
Le regard se porte vers l'Annexe, peut être qu'y a manger à l'intérieur. Quedal ! Vraiment inutile cette Annexe franchement ...
Puis l'idée de génie, ou alakon: Rat ça s'mange !. On file au SAS, fermé. On pianote un Silmerion jucher sur la touffe de poil qui est sur le bras. Merci la main cybernétique, avec ses ongles on aurait jamais pu hacker.
On ouvre et on saute, courant comme un fou. Boum un rat, plutôt jeunot Hmm t'as l'air appétissant mon p'tit.
On lui saute dessus, le maîtrise avec grande peine. Scrac On lui rompt le cou, on le traîne jusqu'au canapé de la centrale puis on l'ouvre et on sert.

Festiiiin !