EDC de 54369
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[Recueil] In my garden.
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Il pensait se souvenir, souvenir d'un quelque-chose, d'une forme gigantesque, d'un souffle froid s'engouffrant dans sa barbe rougeoyante... un mauvais rêve, un espoir de fou... la seule véritable impression encore bien nette dans son esprit était celle des tuyaux dans ses narines, du goût infâme dans sa bouche, de cette sensation pâteuse qui suit un long sommeil. Paisible ? il ne saurait le dire...
Pour le moment il voyait dans ce miroir un être de taille relativement modeste comparé aux personnes qu'il avait croisé depuis ce réveil, glacé, impersonnel, triste et sans une once de réconfort. Il se rappel très bien, apeuré et titubant dans les couloirs de cet hôpital, quel fut sa première impression du monde qui l'entoure, rien de bien positif ni chaleureux.
Mais petit à petit, tel un faon s'enhardissant, il prit conscience de sa force, non proportionnel aux courts membres dont il fut affublé. Puissant et infatigable, travaillant sans relâche, non pas par envie mais par nécessité. Il gagna en courage et en expérience, ses mains toujours plus habiles jours après jours. Mais une vie encore trop monotone et sans vague... C'est ça qu'il décida de changer, toujours devant se miroir, une nuit noire, seule dans son appartement.
Naugriim, un nain parmi les êtres, espérant devenir géant parmi les nains.
Pour le moment il voyait dans ce miroir un être de taille relativement modeste comparé aux personnes qu'il avait croisé depuis ce réveil, glacé, impersonnel, triste et sans une once de réconfort. Il se rappel très bien, apeuré et titubant dans les couloirs de cet hôpital, quel fut sa première impression du monde qui l'entoure, rien de bien positif ni chaleureux.
Mais petit à petit, tel un faon s'enhardissant, il prit conscience de sa force, non proportionnel aux courts membres dont il fut affublé. Puissant et infatigable, travaillant sans relâche, non pas par envie mais par nécessité. Il gagna en courage et en expérience, ses mains toujours plus habiles jours après jours. Mais une vie encore trop monotone et sans vague... C'est ça qu'il décida de changer, toujours devant se miroir, une nuit noire, seule dans son appartement.
Naugriim, un nain parmi les êtres, espérant devenir géant parmi les nains.
Prenez garde aux laissés pour compte de cette citée, parmi eux se cache peut être celui qui causera votre perte.
Méfiez vous de l'être rampant, sale, à moitié défroqué par votre vanité. Sous la crasse la rage, sous les déchets la menace. Sans but, respirant tant bien que mal les bribes d'oxygène dans les bas fonds malfamés, n'étant qu'un mot entre deux virgules, présent mais inutile.
Si vous ne pouvez tuer la colère, assurez vous qu'elle soit brisée, et non repliée dans l'attente. Car le maître temps alimente la rancœur et la traîtrise.
Un sage disait : « L'habituel défaut de l'homme est de ne pas prévoir l'orage par beau temps. »*
Alors entre deux bouffés d'air pur en bonbonne, n'ayez jamais loin de votre esprit la racaille informe et grouillante qui jamais ne dort.
J'ai arpenté plusieurs rues dont les images d'une existence dégradée m'a amené à cette courte réflexion. Et à la conclusion qu'aucun être ne peut se targuer d'une quelconque supériorité, car une fois dans le dos, la lame juge n'importe qui de la même manière.
Méfiez vous de l'être rampant, sale, à moitié défroqué par votre vanité. Sous la crasse la rage, sous les déchets la menace. Sans but, respirant tant bien que mal les bribes d'oxygène dans les bas fonds malfamés, n'étant qu'un mot entre deux virgules, présent mais inutile.
Si vous ne pouvez tuer la colère, assurez vous qu'elle soit brisée, et non repliée dans l'attente. Car le maître temps alimente la rancœur et la traîtrise.
Un sage disait : « L'habituel défaut de l'homme est de ne pas prévoir l'orage par beau temps. »*
Alors entre deux bouffés d'air pur en bonbonne, n'ayez jamais loin de votre esprit la racaille informe et grouillante qui jamais ne dort.
J'ai arpenté plusieurs rues dont les images d'une existence dégradée m'a amené à cette courte réflexion. Et à la conclusion qu'aucun être ne peut se targuer d'une quelconque supériorité, car une fois dans le dos, la lame juge n'importe qui de la même manière.
Il sent le vent tourner, s'affoler et donner vie à la poussière tel des feu-follets de crasse.
Ceux qui l'entouraient jadis s'éparpillent au grès des mouvements incessants de la menace informe et toujours inattendue.
Les lieux sûrs, depuis quelques temps violés et souillés d'odeurs et de peintures, se résument à des cases vides de vie.
Les portes branlantes, dégondées et dévergondées par la main funeste qui juge sans âme et conscience de qui est encore digne de vivre.
Et ses mains, les siennes, toujours plus occupées à tenir une arme en nocturne et des tournevis en diurne ne savent plus qui servir, la digne voie du travailleur ou la sombre lame de la justice.
Qui au final veut-il être ? un ouvrier aspirant à la paix ou un soldat inspirant la peur ?
L'aiguille tourne, toujours plus bruyante et imposante, réclamant un choix.
Ceux qui l'entouraient jadis s'éparpillent au grès des mouvements incessants de la menace informe et toujours inattendue.
Les lieux sûrs, depuis quelques temps violés et souillés d'odeurs et de peintures, se résument à des cases vides de vie.
Les portes branlantes, dégondées et dévergondées par la main funeste qui juge sans âme et conscience de qui est encore digne de vivre.
Et ses mains, les siennes, toujours plus occupées à tenir une arme en nocturne et des tournevis en diurne ne savent plus qui servir, la digne voie du travailleur ou la sombre lame de la justice.
Qui au final veut-il être ? un ouvrier aspirant à la paix ou un soldat inspirant la peur ?
L'aiguille tourne, toujours plus bruyante et imposante, réclamant un choix.
58 jours qu'il est sortie de ce lit miteux, il a connu le travail acharné, le smog étouffant, les insomnies, les invasions rebelles, suivit de la cuve...
S'aventurant de découverte en découverte, amené à expérimenté divers sentiments, la fatigue, la colère, la peur, le stress et l'angoisse, mais aussi la compassion, l'affection, la joie...
Seulement, dans cet amas grouillant sans cesse de vies, un lui reste inconnu...
Tant de personnes le cherche, certains le trouve, d'autres le perde, le tout dans un cycle continu.
Les mains dans les poches et le dos rond, parcourant les rues, les bars puis les grandes avenues, il observe. Une main tenant une autre, un baisé tendre en offrande, un sourire doux et chaleureux, radieux et réconfortant...
Quel finalité pour ces rituels, c'est bien là son interrogation.
Cependant il a bien remarqué certaines gambettes, fessiers et autres poitrines dont ses yeux se délectent sans comprendre vraiment. Il a sourit à des visages charmants, rougit à l'entente de certaines phrases à son égard, mais sans savoir ni comprendre.
Un vide s'installe à mesure que les nuits succèdent aux jours, pourtant son ventre ne manque de rien, son compte en banque fleurit de crédits, ses amis sont toujours plus proches et sa barbe vigoureuse descend de plus en plus bas.
Avant de poussez la porte de l'immeuble, il observe encore une fois, sur cette place ces deux êtres unis par l'attraction mutuelle qui semble agir. Puis rentre, les mains dans les poches et le dos rond.
A l'heure actuelle, ses seules maîtresses, l’ingénierie et l'alcool.
S'aventurant de découverte en découverte, amené à expérimenté divers sentiments, la fatigue, la colère, la peur, le stress et l'angoisse, mais aussi la compassion, l'affection, la joie...
Seulement, dans cet amas grouillant sans cesse de vies, un lui reste inconnu...
Tant de personnes le cherche, certains le trouve, d'autres le perde, le tout dans un cycle continu.
Les mains dans les poches et le dos rond, parcourant les rues, les bars puis les grandes avenues, il observe. Une main tenant une autre, un baisé tendre en offrande, un sourire doux et chaleureux, radieux et réconfortant...
Quel finalité pour ces rituels, c'est bien là son interrogation.
Cependant il a bien remarqué certaines gambettes, fessiers et autres poitrines dont ses yeux se délectent sans comprendre vraiment. Il a sourit à des visages charmants, rougit à l'entente de certaines phrases à son égard, mais sans savoir ni comprendre.
Un vide s'installe à mesure que les nuits succèdent aux jours, pourtant son ventre ne manque de rien, son compte en banque fleurit de crédits, ses amis sont toujours plus proches et sa barbe vigoureuse descend de plus en plus bas.
Avant de poussez la porte de l'immeuble, il observe encore une fois, sur cette place ces deux êtres unis par l'attraction mutuelle qui semble agir. Puis rentre, les mains dans les poches et le dos rond.
A l'heure actuelle, ses seules maîtresses, l’ingénierie et l'alcool.
La première chose que je suis amené à voir chez les personnes qui m'approchent, c'est leur menton, car vers le haut mon regard toujours se porte. Cet au dessus d'ou certains nous observent, bien plus haut que leur réveil n'aurait pu laissé penser.
A force de côtoyer les hauteurs, les grands en oublient l'éclatante pureté des sommets, là où le smog ne peut recouvrir les pensées de son épaisse puanteur.
Certains se désintéressent volontairement, d'autres y perdent la tête. De plus en plus à cour d'oxygène et pris de vertige une fois les yeux baissés vers ce trou sans fond, l'âme qui autrefois comptait bien plus que ces précieuses et délicieuses friandises, mais que j'ose penser peu vertueuses.
Aucune méprise à la vue de leurs visage aux aspects de marbre, ils souffrent autant que vous et moi. De cette maladie qu'on appel le pouvoir et qui de son écrin doré nous appel tous de sa voix suave. Nous apostrophant sans aucune délicatesse, nous conseillant de commettre les pires atrocités, tenant dans ses bras cette camisole psychique qui par le futur longtemps vous étreindra.
Bienheureux sont les pauvres qui aux appels de cette sirène restent sourds. Bien malheureux sont ceux qui dans cet océan de faux semblants se jettent, tout juste couronnés d'une gloire promise. Mais qui bien trop lourde par le fond les attirera.
A force de côtoyer les hauteurs, les grands en oublient l'éclatante pureté des sommets, là où le smog ne peut recouvrir les pensées de son épaisse puanteur.
Certains se désintéressent volontairement, d'autres y perdent la tête. De plus en plus à cour d'oxygène et pris de vertige une fois les yeux baissés vers ce trou sans fond, l'âme qui autrefois comptait bien plus que ces précieuses et délicieuses friandises, mais que j'ose penser peu vertueuses.
Aucune méprise à la vue de leurs visage aux aspects de marbre, ils souffrent autant que vous et moi. De cette maladie qu'on appel le pouvoir et qui de son écrin doré nous appel tous de sa voix suave. Nous apostrophant sans aucune délicatesse, nous conseillant de commettre les pires atrocités, tenant dans ses bras cette camisole psychique qui par le futur longtemps vous étreindra.
Bienheureux sont les pauvres qui aux appels de cette sirène restent sourds. Bien malheureux sont ceux qui dans cet océan de faux semblants se jettent, tout juste couronnés d'une gloire promise. Mais qui bien trop lourde par le fond les attirera.
La vie n'a plus aucune valeur, car la mort a depuis longtemps quitté les lieux. Lointaine et inoffensive, n'ayant pu échapper à sa propre déliquescence, lente et inéluctable.
La pensée populaire essaie par la cuve de remplacer cette peur ancestrale, celle qui tend à nous garder dans le droit chemin vertueux d'une vie saine et sans accroc. Mais la duperie ne peut éternellement perdurer, faiblissant petit à petit dans notre cerveau jusqu'à ne ne devenir qu'une habitude, tout juste désagréable.
Ici les faux semblants recouvrent les relents puants du sud, cachant l'odeur par un parfum fort et disgracieux. Intelligents ou fourbes, ceux qui connaissent leurs intérêts se détachent bien vite des petites craintes, dont le funéraire bien loin derrière n'agit plus depuis longtemps.
La limite n'existe que dans l'esprit de peu de gens, dont certains sembleraient penser qu'ils sont idiots, pour d'autres que ce sont des clones défectueux. A quoi bon se limiter dans une citée offrant à celui qui sait tendre la main divers fantasmes sans limites, punissables, inavouables mais pardonnables.
La pensée populaire essaie par la cuve de remplacer cette peur ancestrale, celle qui tend à nous garder dans le droit chemin vertueux d'une vie saine et sans accroc. Mais la duperie ne peut éternellement perdurer, faiblissant petit à petit dans notre cerveau jusqu'à ne ne devenir qu'une habitude, tout juste désagréable.
Ici les faux semblants recouvrent les relents puants du sud, cachant l'odeur par un parfum fort et disgracieux. Intelligents ou fourbes, ceux qui connaissent leurs intérêts se détachent bien vite des petites craintes, dont le funéraire bien loin derrière n'agit plus depuis longtemps.
La limite n'existe que dans l'esprit de peu de gens, dont certains sembleraient penser qu'ils sont idiots, pour d'autres que ce sont des clones défectueux. A quoi bon se limiter dans une citée offrant à celui qui sait tendre la main divers fantasmes sans limites, punissables, inavouables mais pardonnables.
D'esprit ou de cœur, la fidélité sous respirateur artificiel tente fébrilement dans chaque action, dans chaque être qui lui donne une part d'importance, de perdurer. On en viendrait même à penser que la pièce qu'y se joue ici bas à depuis bel lurette échappée aux mains et à l'esprit de son scénariste.
Pourquoi chercher la sécurité dans un lieu qui ne vous offre que trop peu la sûreté ? pourquoi chercher la vertu démissionnaire ? le cœur et l'esprit à nus bien trop souvent donnés en pâture aux appétits féroces et voraces de l'ambition démesurée.
La mort bien loin regarde le chaos que sa disparition à causé, se délectant sans doute d'avantage de voir nos esprits s'entrechoqués dans ce vacarme constant. Je suis sûrement un clone défectueux qui cherche la stabilité dans les sables mouvants, mourant.
Pourquoi chercher la sécurité dans un lieu qui ne vous offre que trop peu la sûreté ? pourquoi chercher la vertu démissionnaire ? le cœur et l'esprit à nus bien trop souvent donnés en pâture aux appétits féroces et voraces de l'ambition démesurée.
La mort bien loin regarde le chaos que sa disparition à causé, se délectant sans doute d'avantage de voir nos esprits s'entrechoqués dans ce vacarme constant. Je suis sûrement un clone défectueux qui cherche la stabilité dans les sables mouvants, mourant.
Je rentre chez moi, il y a peu de monde dans cette rue, celle là même ou je me suis fais plaquer sur le sol par une orc. Ce n'est pas ce que vous croyez, ce n'est pas à ma virginité qu'elle en voulait.
Derrière elle, agité et braillard, suivait le cortège funèbre de la faucheuse, peu avare en coups de mains et autres férocités, le style d'aide dont je me passerais volontiers.
Mais ce fut sans compter sur la fougue de mon Jetpack, à moitié crevé et déboulonné, tenant le coup par quelques magies et coups de clefs.
Il est vrai que l'air c'est rafraîchit, les débardeurs ont laissé place aux anapurnol, petit à petit plus nombreux. J'ai même cru à une invasion d'écureuils, à moitié civilisés et dotés d'un langage châtié.
Moi, je regarde les étalages divers et variés des vendeurs peu fortunés, leurs échoppes remplies de bric à brac tellement inutiles qu'on se sent obligé de les posséder. Des robots à moitié dézingués, des habits au rabais et de la nourriture presque avarié.
Je souris à quelques têtes connus, non pas que je sois célèbre, mais j'ai mes habitudes. Une chope par ci, un verre par là et un casse croûte pour pas dormir la bedaine vidée.
Au final, c'est entouré de ces battisses délabrées que je me sens le mieux, ça sent mauvais, c'est pas très reluisant mais tellement authentique. Il sent bon le farin chaud, mon Empire. Il me fait tourner la tête, ou serait-ce plutôt la bière, mon secteur à moi.
Ce n'est ni le sud ni le nord, mais la quiétude rassurante du centre qui lui seul sait me réconforter. Sur les murs, des portraits d'un ex Legatus disparut, cicatrice sur la joue et visage fermé. Je lui souris légèrement et continue ma route. Quelques filles de petite vertu m'apostrophent, accoudées non loin d'une porte d'entrée, je ne lève pas la tête.
Certains soirs, je te hais pour tous tes mensonges et d'autres nuits je raisonne, trouvant mes réactions exagérées. Si tu pouvais parler, j'ai dans mes bottes des montagnes de questions , ou subsiste encore ton échos. Douce mélopée, de mon éveil à ma fatale extinction , je te suivrais.
A tous ceux qui pensent au fond que je ne suis qu'un Gnoll de l'Empire, vous avez à moitié raison, et j'irais pisser sur vos cuves, sans honneur mais avec panache.
Derrière elle, agité et braillard, suivait le cortège funèbre de la faucheuse, peu avare en coups de mains et autres férocités, le style d'aide dont je me passerais volontiers.
Mais ce fut sans compter sur la fougue de mon Jetpack, à moitié crevé et déboulonné, tenant le coup par quelques magies et coups de clefs.
Il est vrai que l'air c'est rafraîchit, les débardeurs ont laissé place aux anapurnol, petit à petit plus nombreux. J'ai même cru à une invasion d'écureuils, à moitié civilisés et dotés d'un langage châtié.
Moi, je regarde les étalages divers et variés des vendeurs peu fortunés, leurs échoppes remplies de bric à brac tellement inutiles qu'on se sent obligé de les posséder. Des robots à moitié dézingués, des habits au rabais et de la nourriture presque avarié.
Je souris à quelques têtes connus, non pas que je sois célèbre, mais j'ai mes habitudes. Une chope par ci, un verre par là et un casse croûte pour pas dormir la bedaine vidée.
Au final, c'est entouré de ces battisses délabrées que je me sens le mieux, ça sent mauvais, c'est pas très reluisant mais tellement authentique. Il sent bon le farin chaud, mon Empire. Il me fait tourner la tête, ou serait-ce plutôt la bière, mon secteur à moi.
Ce n'est ni le sud ni le nord, mais la quiétude rassurante du centre qui lui seul sait me réconforter. Sur les murs, des portraits d'un ex Legatus disparut, cicatrice sur la joue et visage fermé. Je lui souris légèrement et continue ma route. Quelques filles de petite vertu m'apostrophent, accoudées non loin d'une porte d'entrée, je ne lève pas la tête.
Certains soirs, je te hais pour tous tes mensonges et d'autres nuits je raisonne, trouvant mes réactions exagérées. Si tu pouvais parler, j'ai dans mes bottes des montagnes de questions , ou subsiste encore ton échos. Douce mélopée, de mon éveil à ma fatale extinction , je te suivrais.
A tous ceux qui pensent au fond que je ne suis qu'un Gnoll de l'Empire, vous avez à moitié raison, et j'irais pisser sur vos cuves, sans honneur mais avec panache.
La seule vraie rébellion est la recherche du bonheur.
Henrik Ibsen
Henrik Ibsen
Il y a quelques temps que je ne dors plus que d’un œil, calant mon sommeil sur le rythme des va-et-vient de la ville. Les échos lointains des usines hantent mes nuits jusqu’à l’aurore rougeoyante.
La sonnerie de mon réveil dont l’inutilité n’est plus à démontrer va de pair avec mon petit déjeuner, ce rituel dont je semble avoir oublié le sens depuis ce qui me semble être des siècles.
Titubant dans cette pièce, je me saisi d’un volume encyclopédique emprunté à l’université. Le déposant lourdement sur la table, j’observe tout autour de moi les regards accusateurs d’une assemblée imaginaire et outrée devant tant de maladresse.
J'ai beau appartenir à une race d'invétérés alcooliques, l'estomac est loin d'être le seul vide à remplir dans ma recherche de l'évolution.
Je toise à présent le livre de haut, analysant le moindre cm² et profitant pour une fois et non sans joie de l'avantage de la taille.
L’attente est longue mais le moment arrive, j'ouvre le volume et m'aventure sans attendre dans ce cratère de connaissance. Le geste frénétique et à la recherche d'une réponse, aucun répit n'est laissé à l'ennemi, voila que je le malmène pour un bien supérieur.
Et enfin je la vois ! S’offrant à moi, sûre d'elle et digne, la définition que je cherchais tant. Celle-ci me livrant la preuve irréfutable, m’amenant au constat effarant que jusqu'à présent je faisais fausse route.
La sonnerie de mon réveil dont l’inutilité n’est plus à démontrer va de pair avec mon petit déjeuner, ce rituel dont je semble avoir oublié le sens depuis ce qui me semble être des siècles.
Titubant dans cette pièce, je me saisi d’un volume encyclopédique emprunté à l’université. Le déposant lourdement sur la table, j’observe tout autour de moi les regards accusateurs d’une assemblée imaginaire et outrée devant tant de maladresse.
J'ai beau appartenir à une race d'invétérés alcooliques, l'estomac est loin d'être le seul vide à remplir dans ma recherche de l'évolution.
Je toise à présent le livre de haut, analysant le moindre cm² et profitant pour une fois et non sans joie de l'avantage de la taille.
L’attente est longue mais le moment arrive, j'ouvre le volume et m'aventure sans attendre dans ce cratère de connaissance. Le geste frénétique et à la recherche d'une réponse, aucun répit n'est laissé à l'ennemi, voila que je le malmène pour un bien supérieur.
Et enfin je la vois ! S’offrant à moi, sûre d'elle et digne, la définition que je cherchais tant. Celle-ci me livrant la preuve irréfutable, m’amenant au constat effarant que jusqu'à présent je faisais fausse route.
Je n'ai jamais affronté la rébellion.
Mes sourcils se froncent, ma tête bourdonne de souvenirs passés et de messages corsés... vestiges de funestes confrontations...
La chaise la plus proche me tend ses bras réconfortant et auxquels je m’appuie à moitié sonné et déconcerté.
Pour autant ma quête n'est pas encore achevée, tournant de plus belle les pages et arpentant de nouveaux univers afin de trouver la vérité. Quand soudain je stop mon élan, une phrase attire mon regard :
La chaise la plus proche me tend ses bras réconfortant et auxquels je m’appuie à moitié sonné et déconcerté.
Pour autant ma quête n'est pas encore achevée, tournant de plus belle les pages et arpentant de nouveaux univers afin de trouver la vérité. Quand soudain je stop mon élan, une phrase attire mon regard :
Les Barbares ne créèrent point de sociétés progressives...
Barbares... serait-ce donc ça, la clé du mystère ? l'inévitable réalité ?
Je n'avais jusqu'à présent jamais pris les exactions des vandales pour de la simple violence, sans but précis et dénuée de toute logique...
Au fond, certains ne souhaitent rien d'autre que voir les secteurs brûler... apôtres forcenés de la destruction. Rien ne naît du chaos, tout sera engloutit sous les bombes et la vanité…
Quel choix nous reste-t-il face au néant?
Que dans un murmure à peine dissimulé soit annoncé la naissance du bien.
Je n'ai jamais affronté la rébellion, mais toujours je combattrais la barbarie.
Je n'avais jusqu'à présent jamais pris les exactions des vandales pour de la simple violence, sans but précis et dénuée de toute logique...
Au fond, certains ne souhaitent rien d'autre que voir les secteurs brûler... apôtres forcenés de la destruction. Rien ne naît du chaos, tout sera engloutit sous les bombes et la vanité…
Quel choix nous reste-t-il face au néant?
Que dans un murmure à peine dissimulé soit annoncé la naissance du bien.
Je n'ai jamais affronté la rébellion, mais toujours je combattrais la barbarie.
Au final, c'était plutôt banal, chaque Empire aussi autoritaire et totalitaire soit-il, se coltine inlassablement des têtes fortes, s'apparentant à une rébellion de courtoisie.
Voilà deux ans qu'il mâturait dans son coin, d'abord trop gentil, puis fort véhément quand la crise fut venue, d'un extrême à l'autre. Mais à quoi s'attendre d'autre de la part d'un nain déçu, n'ayant jamais demandé en retour que quelques équipements et d'agir pour le bien commun ?
Il avait tout abandonné, amour, intégrité physique, luxure et fastes pour vivre sobrement, en simple serviteur.
Tout ces sacrifices pour ce pastiche d'Empire, qui jadis fut légué par un personnage donc tout le monde vantait les mérites mais que personne n'avait jamais vu. Une belle image pour unir les masses, attenuer les turbulences et lisser les esprits.
Depuis quand le plus grand ennemi des deux secteurs réunis, l'As de la guerre, ce violeur sans coeur était devenu son conseillé le plus fidèle ?
Le seul qui ait tout compris...
Comment se fait-il qu'un ex-rebelle, regardé de haut par la Noblesse bien-pensante, était devenu un ami dévoué ?
Bien meilleur que 10 impériaux revendiqués...
Tout foutait le camp ? N'avait rien-t-il vu venir ?
Ne c'était-il tout simplement fourvoyé...
Depuis quelques temps, il voyait en pensée ce secteur brûler, ces habitants expiant leurs fautes par des cris ignobles et des cloques naissantes sur leurs peaux d'hypocrites. Hier soir, il aurait voulu voir ses hommes redécorer d'un rouge sanglant ce bar et remplir le Centre de Clonage à en faire pêter les cuves de maturation.
Voilà deux ans qu'il mâturait dans son coin, d'abord trop gentil, puis fort véhément quand la crise fut venue, d'un extrême à l'autre. Mais à quoi s'attendre d'autre de la part d'un nain déçu, n'ayant jamais demandé en retour que quelques équipements et d'agir pour le bien commun ?
Il avait tout abandonné, amour, intégrité physique, luxure et fastes pour vivre sobrement, en simple serviteur.
Tout ces sacrifices pour ce pastiche d'Empire, qui jadis fut légué par un personnage donc tout le monde vantait les mérites mais que personne n'avait jamais vu. Une belle image pour unir les masses, attenuer les turbulences et lisser les esprits.
Depuis quand le plus grand ennemi des deux secteurs réunis, l'As de la guerre, ce violeur sans coeur était devenu son conseillé le plus fidèle ?
Le seul qui ait tout compris...
Comment se fait-il qu'un ex-rebelle, regardé de haut par la Noblesse bien-pensante, était devenu un ami dévoué ?
Bien meilleur que 10 impériaux revendiqués...
Tout foutait le camp ? N'avait rien-t-il vu venir ?
Ne c'était-il tout simplement fourvoyé...
Depuis quelques temps, il voyait en pensée ce secteur brûler, ces habitants expiant leurs fautes par des cris ignobles et des cloques naissantes sur leurs peaux d'hypocrites. Hier soir, il aurait voulu voir ses hommes redécorer d'un rouge sanglant ce bar et remplir le Centre de Clonage à en faire pêter les cuves de maturation.
- Au mieux, qu'importe vos efforts, tant que vous aurez de la moral, de la bienveillance, tout sentiment d'altruisme, d'amour, de peine ou pitié. Alors jamais, vous ne pourrez devenir un as de la guerre.
'Ash Primus Arachide'
'Ash Primus Arachide'
- Il faudrait donc que j'oublie tous ceux que je chéris, que je brûle jusqu'au plus petit sentiment de bonté ?
J'ai tué, surement moins d'un dixième que ce que vous avez cuvé... sans pitié aucune, pourtant la pitié, c'est ce qui me retient d'éliminer des impériaux...
Certains moments, je pense devenir fou.
'Naugriim Kravitz'
J'ai tué, surement moins d'un dixième que ce que vous avez cuvé... sans pitié aucune, pourtant la pitié, c'est ce qui me retient d'éliminer des impériaux...
Certains moments, je pense devenir fou.
'Naugriim Kravitz'
Je ne veux pas être la guerre... je veux être la violence rédemptrice, le bras armé de la paix, la main droite de la justice.
Tel un bourreau sans âme, je veux guider les moins méritants sur cette pente glissante qui mène à leur propre enfer.
Les erreurs ne seront jamais retenues.
Par votre soif de domination vous avez créez les metas...
Ad Majorem Métas Gloriam...
Par votre égocentrisme vous avez laissé mourir notre garde-fou...
Ad Majorem Czevak Gloriam.
Par votre laxisme vous avez laissé naitre l'enfant de la destruction...
Ad Majorem Ash Gloriam.
Aucun compromis, même face à l'Apocalypse, écrasons nous tous ensembles sur la muraille de l'individualisme.
Une elfe m'a un jour confié une idée... « quand les solutions proposées ne me conviennent pas, je préfère foncer dans le mur... »
Alors fonçons, pour qu'enfin tout soit détruit... et à jamais enfoui... créons un monde parfait, vide, paisible, pour l'éternité...
Enfants de la tombe...
Tel un bourreau sans âme, je veux guider les moins méritants sur cette pente glissante qui mène à leur propre enfer.
Les erreurs ne seront jamais retenues.
Par votre soif de domination vous avez créez les metas...
Ad Majorem Métas Gloriam...
Par votre égocentrisme vous avez laissé mourir notre garde-fou...
Ad Majorem Czevak Gloriam.
Par votre laxisme vous avez laissé naitre l'enfant de la destruction...
Ad Majorem Ash Gloriam.
Aucun compromis, même face à l'Apocalypse, écrasons nous tous ensembles sur la muraille de l'individualisme.
Une elfe m'a un jour confié une idée... « quand les solutions proposées ne me conviennent pas, je préfère foncer dans le mur... »
Alors fonçons, pour qu'enfin tout soit détruit... et à jamais enfoui... créons un monde parfait, vide, paisible, pour l'éternité...
Enfants de la tombe...
Il remontait cette échelle pour la deuxième fois en 24CH, avec cependant moins d'aisance que la veille. Se hissant tant bien que mal jusqu'à sortir la tête du SAS pour clôturer le cortège.
Presque 3 cycles à gambader sans jovialité dans les Sous-Terrains à la recherche d'un démon qu'il désirait exorciser, et pour une fois non pas seulement au nom de l'Empire. Mais bien pour combler son envie de vengeance et l'absence naissante de son intégrité physique.
Une fois en haut, il déclara quelques phrases d'encouragements devant l'assemblée de chasseurs, cherchant au fond de lui la force de croire en ses mots. Une douleur toujours plus présente au niveau de son bras droit l'empêchait de vraiment s'exprimer comme il l'aurait désiré.
Il avait hurlé, donné des directives et réfléchis toute la soirée, chassant une ombre aussi insaisissable que le Smog. Tout cela avait un prix, une fatigue physique et mentale qui ne cessaient de croitre en lui.
La salle se vida et saisissant sa chance il s'esquiva vers la sortie, le cerveau remplit d'idées et pensées tout aussi désagréables que la sensation toujours vive qui s'emparait désormais de son épaule.
Etait-ce le début de la déliquescence ? il semblait avoir entrouvert une porte qu'il ne refermerais plus jamais, celle de la prise de conscience du monde dans lequel il vivait.
Il commençait petit à petit à entrevoir au loin certaines paroles entendus au début de son mandat, car l'esprit fatigué ne perçoit souvent que le mauvais côté des choses.
Presque 3 cycles à gambader sans jovialité dans les Sous-Terrains à la recherche d'un démon qu'il désirait exorciser, et pour une fois non pas seulement au nom de l'Empire. Mais bien pour combler son envie de vengeance et l'absence naissante de son intégrité physique.
Une fois en haut, il déclara quelques phrases d'encouragements devant l'assemblée de chasseurs, cherchant au fond de lui la force de croire en ses mots. Une douleur toujours plus présente au niveau de son bras droit l'empêchait de vraiment s'exprimer comme il l'aurait désiré.
Il avait hurlé, donné des directives et réfléchis toute la soirée, chassant une ombre aussi insaisissable que le Smog. Tout cela avait un prix, une fatigue physique et mentale qui ne cessaient de croitre en lui.
La salle se vida et saisissant sa chance il s'esquiva vers la sortie, le cerveau remplit d'idées et pensées tout aussi désagréables que la sensation toujours vive qui s'emparait désormais de son épaule.
Etait-ce le début de la déliquescence ? il semblait avoir entrouvert une porte qu'il ne refermerais plus jamais, celle de la prise de conscience du monde dans lequel il vivait.
Il commençait petit à petit à entrevoir au loin certaines paroles entendus au début de son mandat, car l'esprit fatigué ne perçoit souvent que le mauvais côté des choses.
Tu pourras faire ce que tu veux et peux, tu finiras désillusionner et déçus.
Il parcouru aussi vite qu'il put les rues familières d'un secteur en émoi, se faufilant à chaque coin parmis les mumures dirigés vers la bête. Les civis aux regards graves ne faisant guère attention à sa carcasse voutée.
Enfin il les gravit un à un, toujours plus transpirant, les escaliers vers la liberté.
Il resta là un moment, dans son canapé à regarder son absence d'avant bras, comme une statue, silencieuse et impassible. Les pensées allaient et venaient, rebondissant d'un coin à l'autre de sa tête, ping pong mentale d'une souffrance physique.
Une table basse sur laquelle était posée une boite de comprimées et un verre, c'était là son seul réconfort pour cette nuit.
Enfin il les gravit un à un, toujours plus transpirant, les escaliers vers la liberté.
Il resta là un moment, dans son canapé à regarder son absence d'avant bras, comme une statue, silencieuse et impassible. Les pensées allaient et venaient, rebondissant d'un coin à l'autre de sa tête, ping pong mentale d'une souffrance physique.
Une table basse sur laquelle était posée une boite de comprimées et un verre, c'était là son seul réconfort pour cette nuit.
Je me couche et me lève avec la nuit.
Même si on ne peut pas dire qu'habituellement les journées soient vraiment lumineuses, le smog englobe tout ce qu'il touche, de la lumière aux sens.
J'aime regarder par la fenêtre de mon appartement, enfin... de son appartement, ou plutôt son ancien logement. Personne n'aurait l'idée de venir m'y chercher, si tenté qu'on veuille me trouver.
Assis devant cette fenêtre, mon regard se pose très souvent sur ces enseignes lumineuses, clignotantes et hypnotisantes. Le triple vitrage m'isole du bruit perpétuel de la ville, je devine pourtant le son des talons, celui plus léger du grincement du cuir, ou l'autre plus strident des sonneries de communicateurs et sans oublier le cri du vendeur à la sauvette. Plus généralement et tout simplement la bande-son imaginaire de mes brefs cycles d'inactivités.
Ce que je préfère, c'est malgré tout le silence. Je n'aime pas parler, ou plutôt, j'aime encore moins parler que par le passé. Il y a déjà assez de personnes qui brassent du smog comme ça... de belles longues phrases pour cacher, combler et remplir le vide de leur propre existence.
Je leur arracherais la langue, dans un accès de violence incontrôlée... non vraiment, la politique, c'est le sport des fourbes et des fous qui ne s'assument pas.
Ça faisait, je dois l'avouer, quelque temps que mes interventions se limitaient à des pleurnichades de NI. Déçu et bousculé, comme tout le monde ou presque en somme.
Qu'avais-je de plus que mon voisin ? pourquoi ma voix plutôt que la sienne ?
Je crois que c'était les bonnes questions à se poser, tout simplement se remémorer que nous sommes un grain de sable sur la carte du temps. Et quoi que furent nos actions, bonnes ou mauvaises, il n'en restera tout simplement que des mots. Sur des pages pour les plus chanceux et dans le smog pour les oublier, si tenté que la chance ait à voir quelque chose dans tout ça.
Même si on ne peut pas dire qu'habituellement les journées soient vraiment lumineuses, le smog englobe tout ce qu'il touche, de la lumière aux sens.
J'aime regarder par la fenêtre de mon appartement, enfin... de son appartement, ou plutôt son ancien logement. Personne n'aurait l'idée de venir m'y chercher, si tenté qu'on veuille me trouver.
Assis devant cette fenêtre, mon regard se pose très souvent sur ces enseignes lumineuses, clignotantes et hypnotisantes. Le triple vitrage m'isole du bruit perpétuel de la ville, je devine pourtant le son des talons, celui plus léger du grincement du cuir, ou l'autre plus strident des sonneries de communicateurs et sans oublier le cri du vendeur à la sauvette. Plus généralement et tout simplement la bande-son imaginaire de mes brefs cycles d'inactivités.
Ce que je préfère, c'est malgré tout le silence. Je n'aime pas parler, ou plutôt, j'aime encore moins parler que par le passé. Il y a déjà assez de personnes qui brassent du smog comme ça... de belles longues phrases pour cacher, combler et remplir le vide de leur propre existence.
Je leur arracherais la langue, dans un accès de violence incontrôlée... non vraiment, la politique, c'est le sport des fourbes et des fous qui ne s'assument pas.
Ça faisait, je dois l'avouer, quelque temps que mes interventions se limitaient à des pleurnichades de NI. Déçu et bousculé, comme tout le monde ou presque en somme.
Qu'avais-je de plus que mon voisin ? pourquoi ma voix plutôt que la sienne ?
Je crois que c'était les bonnes questions à se poser, tout simplement se remémorer que nous sommes un grain de sable sur la carte du temps. Et quoi que furent nos actions, bonnes ou mauvaises, il n'en restera tout simplement que des mots. Sur des pages pour les plus chanceux et dans le smog pour les oublier, si tenté que la chance ait à voir quelque chose dans tout ça.
Non vraiment, autant se limiter à l'action, un bon coup de tronçolame vaut bien 10 discours de politicards véreux. D'ailleurs, lorsque j'assiste à un évènement politique tel qu'une conférence, j'ai simplement envie de dormir. Oui, d'abord l'attente interminable qui sépare mon entrée dans le bâtiment du début du discours. Puis le flot de mots creux qui sort de la bouche de l'orateur. S'ensuit la série habituelle de questions plus ou moins idiotes et enfin... la fin. Le soulagement.
Alors, sans demander mon reste, je m'esquive en apportant avec moi, dans les rues plus ou moins bondées de ce secteur, cette gueule de nouveau blasé.
Je crois que j'ai juste besoin d'éliminer mon ras-le-bol et le lot de cons du secteur... mais au final, tout cela se limite à des pensées. Car quoi qu'on en dise, je demeure impérialiste, à ma façon...
Alors, sans demander mon reste, je m'esquive en apportant avec moi, dans les rues plus ou moins bondées de ce secteur, cette gueule de nouveau blasé.
Je crois que j'ai juste besoin d'éliminer mon ras-le-bol et le lot de cons du secteur... mais au final, tout cela se limite à des pensées. Car quoi qu'on en dise, je demeure impérialiste, à ma façon...
Informations sur l'article
Born too late.
23 Février 2016
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◊ Commentaires
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Leviathan~47056 (504☆) Le 23 Février 2016
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Roxann~58440 (59☆) Le 23 Février 2016
Mais pourquoi avoir supprimé les textes d'origine... pourqwaaaaa..? é_è