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La Mort Mécanique
Il est tard, les lumières blafardes de la cité éclairent encore .Je quite le nid douillet, où donc mes pas m'appelle ? Vert ma victime moribonde. La mort est source de paix dit-on . Je lui envoie beaucoup de victimes organiques. Il est clair que le crépuscule est mon allié. Douce nuit tu m'apportes l'infamie et la délivrance.
J'arpente les voies de l'ombre telle la mort sur son voile sombre. Je pianotte mon deck à mon poignet, tapent quelques commandes. Bien sur qu'il est là, il n'a pas bougé depuis des jours.
J'avance inexorablement vert ma délivrance, vers sa destinée. Il est l'heure, le glas sonne pour lui. J'entre dans la baraque, les murs suintent la peur, la sueur et la mort. Un téléviseur est ouvert je l'entant. Il ne dort pas. Ten mieux. J'ouvre mon terminal de frelon.
J'arpente les voies de l'ombre telle la mort sur son voile sombre. Je pianotte mon deck à mon poignet, tapent quelques commandes. Bien sur qu'il est là, il n'a pas bougé depuis des jours.
J'avance inexorablement vert ma délivrance, vers sa destinée. Il est l'heure, le glas sonne pour lui. J'entre dans la baraque, les murs suintent la peur, la sueur et la mort. Un téléviseur est ouvert je l'entant. Il ne dort pas. Ten mieux. J'ouvre mon terminal de frelon.
Pianote un instant , récupère le digicode et l'entre dans le plus grand silence. J'avance à pas feutrés verts lui il est de dos. Il n'est pas mon ennemie, il sera juste un organique de moins sur l'éternité de cette existence.
Je m'approche de lui. Ma main se pose sur mon arme, je l'élève à la hauteur de son cou et active la fusion. S'est terminée, trop vite trop silencieux. Mais la mort frappe rapidement ou lentement tel est son dessein. Et je suis la mort. J'étrape la tête avant qu'elle ne tombe regarde la paix et l'horreur qui règne sur ce visage. Je creuse les chairs de mes griffes sous le cervelet. S'en est fini de lui. Il ne clonera jamais plus . Je laisse le cadavre dans la demeure. Je suis la police. On ne me retrouvera pas . Je suis la haine, je suis une machine.
Je m'approche de lui. Ma main se pose sur mon arme, je l'élève à la hauteur de son cou et active la fusion. S'est terminée, trop vite trop silencieux. Mais la mort frappe rapidement ou lentement tel est son dessein. Et je suis la mort. J'étrape la tête avant qu'elle ne tombe regarde la paix et l'horreur qui règne sur ce visage. Je creuse les chairs de mes griffes sous le cervelet. S'en est fini de lui. Il ne clonera jamais plus . Je laisse le cadavre dans la demeure. Je suis la police. On ne me retrouvera pas . Je suis la haine, je suis une machine.
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Informations sur l'article
Bestial butcher
27 Février 2016
874√
7☆
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◊ Commentaires
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Jade~52355 (159☆) Le 27 Février 2016
j'aime *** -
Valion~36896 (365☆) Le 27 Février 2016
Well, we're in trouble now ♫