EDC de 50575

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def blondie (i):______

________while love != False:

____________return Love

print (blondie(True))

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____Voilà bientôt une années entière que j'avais décidé, certes un peu malgrès moi de quitter ceux qui me sont chers, mon boulot, ma vie de salopard.
” .. J'ai chaud ..‟
______Ses mots, sa peau, la lueur chaude qui teinte son regard, je me repasse le film de ma nuit en dans ma tête comme une boucle infini, surchargeant ma mémoire. Elle avait tout remit en question, même moi, surtout moi.
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L'homme se trouvait comme à son habitude dans une des ruelles du Sud, la lumière moite des lampadères allaient et venaient, marquant par intermitense son ombre sur le mûr lequel il s'appuyait. Il songeait, oui, dur à croire qu'un type comme lui se remette en question. Il avait besoin de ses moments de réflexion pour creuser le trou noir qui le sert cerveau, se parler, se battre contre lui même, pleurer.
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” .. Vous ne vous sentez pas seule, parfois .. avait-il dit quelques cycles plus tôt à une femme au rang social bien trop haut à son goût. ...vous souvenez vous de cette sensation de froid et de solitude à votre sortie de maturation ? Je crois qu'elle ne m'a jamais quitté ..”
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C'était exactement ce qu'il resentait à ce moment, et ce malgrès toutes les présences et les mots possible, ne persistait que ce sentiment. Comme beaucoup il s'en était servi pour se fabriquer un masque de glace où il avait taillé un sourire, comme l'omniprésent picotement glacé, dur et dérangeant.
C'est ce froid qui pousse les habitants de la cité à se montre en cuve, il en reste certain. C'est cette implacable conclusion à l'esprit qu'il continuait sa vie, cherchant vainement un peu chauleur dans un verre, un compliement, entre les cuisses d'une femme, ou même dans son boulot.
C'était le cas de cette femme aux cheveux brun, qui trouvait la douce sensation de réconfort en se noyant sous des papiers et les courbettes de ses admirateurs.
Elle fut si touchée par la question, qu'elle ne put faire autrement qu'être sincère, retirant un instant son masque de glace pour comparer leurs cicatrices.
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Tout n'était pour lui qu'échec. La femme de sa vie n'assumait pas leur liaison, et préfèrée de tourner vers le travail, s'y donnant corps et âme, sa vie professionnel étant réduite à néant par ses choix et sa vie sentimental, il ne préférait pas y songer.
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______Mais un jour, alors qu'il s'appliquait comme chacun à sa quête de chaleur dans un des bar du Secteur, il croisa un regard qui ne semblait jamais avoir connu l'hiver, une sublime boule de feu qui l'attirait. Regardant autours de lui pour voir si il était le seul à avoir fait sa découverte, il ne vit personne. On l'a regardait certes, comment ne pas le faire, mais il semblait le seul à sentir cette sensation, celle qu'on ressent quand on allume la flamme d'un briquet entre ses mains pour ce les réchauffer. Fragile et chaude, on ne peut s'empêcher de la fixer de peur qu'un coup de vent ne vienne nous l'arracher.
Mais revenons à ce bar, se moment. Jouant comme à son habitude sa carte de l'ignorance, il se contentait de l'observer. Lui soufflant un mot désobligeant ou deux pour attirer son attention. Ridicule ...
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Mais voilà que celle qui avait nommée Blondie, lui rendait son admiration. En découlant une réaction en chaine qui les conduires tout deux à se l'avouer, malgrès la peur, malgrès la vérité, il la voulait pour lui, pour toujours, jusqu'à ce qu'elle aussi le déteste ...
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