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Cacher
susceptibilité....non!
Un réveil de "bon" matin, j'observe "calmement" au travers du plissé des rideaux de la fenêtre le peu de "lumière" s’amusant à fureter. Promesse d’une "belle" journée !
Me voici à l’heure du déjeuner, prête à musarder dans la ville.
Par une "tranquille" balade, la chaleur se fait plus lourde malgré le souffle "léger" de l'air irrespirable. Sur le bitume, les talons clic! clac! de mes escarpins marquent le temps qui passe.
Autour de moi, peu de présents et je "flâne" en inspirant profondément comme pour m’imprégner de ces instants où ne règnent que le bruit de mes pas.
Par une "tranquille" balade, la chaleur se fait plus lourde malgré le souffle "léger" de l'air irrespirable. Sur le bitume, les talons clic! clac! de mes escarpins marquent le temps qui passe.
Autour de moi, peu de présents et je "flâne" en inspirant profondément comme pour m’imprégner de ces instants où ne règnent que le bruit de mes pas.
Com' qui vibre, un message et je change de destination en "souriant" pensant déjà au "plaisir" de voir celui qui m'a proposée son "soutien", peut-être une "famille".
Les retrouvailles "calmes" et "chaleureuses" m'apportent un sentiment de "bien-être" incommensurable quand une conversation frisant l'indiscrétion dégénère.
"t'as un compte?"
"oui!"
"et t'as combien?"
"qu'est ce que ça peut faire? t'as combien toi?"
"c'est moi qui pose les questions, ici!"
"j'suis ta fille, pas un suspect, si?"
"si t'es pas un suspect"
Il me surprend à rire de la situation
"je ne vois pas où tu veux en venir!"
"oui!"
"et t'as combien?"
"qu'est ce que ça peut faire? t'as combien toi?"
"c'est moi qui pose les questions, ici!"
"j'suis ta fille, pas un suspect, si?"
"si t'es pas un suspect"
Il me surprend à rire de la situation
"je ne vois pas où tu veux en venir!"
Étonnée par ces mots, je scrute la silhouette qui énonce cette phrase assise dans la semi-obscurité sur le comptoir d'une chambre mal agencée :
"rho Tu me fais chier toi à la fin"
Mon regard embué se ferma une fraction de seconde pour tenter d’esquiver la douleur de cette phrase poignante.
Me redressant, blessée, je rajuste mon équipement, un œil furtif vers l'homme impassible et je quitte les lieux en grognant.
Me redressant, blessée, je rajuste mon équipement, un œil furtif vers l'homme impassible et je quitte les lieux en grognant.
Une fois tout redevenu calme, dans mon canap', me voici de nouveau face à moi-même. Le pantalon bien serré et les boucles blondes impériales, pour ne pas avoir l'affront de dire rebelles, persistent à dissimuler mon visage, forme de barricades contre la souffrance.
Essoufflée de courir pour n'obtenir que de vains mots ou maux, mes jambes faiblissent sous le joug d'une jeunesse anémiée, fatiguée par ce temps qui passe et qui laisse sur le côté de ma vie l'essentiel....le respect, l'attention et la bienveillance.
Essoufflée de courir pour n'obtenir que de vains mots ou maux, mes jambes faiblissent sous le joug d'une jeunesse anémiée, fatiguée par ce temps qui passe et qui laisse sur le côté de ma vie l'essentiel....le respect, l'attention et la bienveillance.
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09 Mars 2013
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