EDC de 36259

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Force et Honneur!
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« Montrez moi un héros, et je vous écrirai une tragédie. »
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- Général... Vous.. Confirmez l'ordre?
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- Tuez-les tous.
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- Compris.
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Raid de soirée aux allures de génocide de deux cycles horaires.
Un général au milieu des rues désertes d'un secteur ne lui offrant que peine et pitié, pendant que les hommes, souvent à contre-coeur obéissent aux ordres.
Mais la politique est là. Et il se fera félicité de cette politique. Il le faut voyez-vous? Il faut éveiller l’ennemi pour qu'il soit utile. Lui laisser une chance, avant qu'on ne lui ordonne de les éradiquer définitivement.
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Une ombre passe et le tueur lève l'arme : réflexes huilés, travaillés, entraînés, et fauche une épaule en pleine course qui se terminera contre le pavé.
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- Me tuez pas... J'ai rien fait!
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- Vivre ici... soutenir la rébellion... est ton pêché...
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- Pitié!?
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Il doit tuer, c'est son devoir...
Et au grand jamais il ne manquera à ses devoirs. Alors il tue. Encore.
Et il attend qu'on le libère, qu'on lui détache les mains et qu'enfin il puisse achever cet adversaire qu'est le s3... Qu'enfin, il puisse cesser de torturer un adversaire à terre...
Et il attend, et il tue, c'est son devoir... non?
Et dans cette rue du s3, il regarde le corps se liquéfier, le faible s'envolant vers le formol.
Il ne reste bientôt plus qu'un fine trace humide en dépôt de ce corps parti, alors que son regard se perds sur l'enseigne d'un bâtiment, vieux, inutilisé depuis des années, surement plus connu que de quelques-uns.
C'était là sont premier meurtre. La première personne qu'il avait tuée.
A l'intérieur de ce bâtiment... une arène.
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Krrrss.. Krrsss.. Kkrcchhht!
Une flamme scintille en tête de briquet, allumant une cigarette. Et il imagine que cette fumée sont ses maux. Alors il inspire fort. Il expire fort cette fumée vers le ciel et perd son regard dans cette volute qui se confond au smog.
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*Brûle, brûle pensées vagabonde. Alors que je te consume et te crache.
Va t'en. Cesse de me hanter. Ces serments sont ceux d'un mort.*
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Je suis une légende.
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...« L'idée du combat échappe à ceux qui le font. Ils sont condamnés à se battre. Ils se cherchent, ombres et silhouettes ; ils ont besoin de l'autre, pour éteindre une haine, comme le feu a besoin d'eau. » ...
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- Alte!!!
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Criait l'ennemis, alors que sortant de son camouflage le canon d'un fusil sniper se devine à l'angle de l’arène, crachant ses gemmes azuré faérique qui percutent et percent l'armure de l'adversaire. Le combat prenait un tournant attendue : l'équipe alliée à terres et deux Alte encore debout face au général. Et dans cette belle arène impériale, devant ce prestigieux publique, il fait acte et démonstration de ses talents de héraut de la destruction...
Le renfort arrive à son flanc, arme sa lame et frappe le vide laisser par une esquive alerte.
Les combattants lui font face, il serait donc seul contre deux combattants de renom.
Mais l'adrénaline ne monte pas dans ses veines, l'adrénaline ne monte plus dans ses veines.
Alors il se contentera de reprendre son souffle lentement, d'aviser la situation, de crée une stratégie et de laisser parler ses dons pour la destruction.
Les 3 combattants sont au cœur de l’arène, haletant d'un combat déjà long, blessés de coups assassins, l'adrénaline, la douleur, la peur peut-être anime-t-elle les deux autres.
Mais lui? Où sont donc passer ses sentiments? Où sont passer ses désirs de combattre?
Lui la légende du combat... La légende.. L'as... Légende...
Et alors que les deux le chargent d'un assaut commun, il change d'arme par mécanisme, gardant son calme devant leurs avancée et arme son fusil à pompe laser.
Les deux adversaires se pressent devant lui, arme levée et dévotion toute trouvée à le terrasser. Et lui... La légende...?
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Il fléchit légèrement le genou, lance la pointe du canon dans le plexus de l'assaillant, puis, une fois percuté de cet acier froid, presse la détente de ce fusil à pompe laser. L'adversaire est séché sur place, arrêté dans son élan combatif, à terre et à l'agonie affichant un large trou dans son plastron renforcé, fumant de ce tir macabre.
Leurs attaques simultanée ont eu l'effet escompté cependant et l'épaule du général reçoit la douce punition d'un sévère coups le faisant chanceler.
Alors ils reculent, frappent ou tirent. L'échange semble intense, passant des lames au farin, la défaite du général se prononce. Il est affaibli, fatigué... Las.
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- Je suis désolé... Alte.
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Mais il est une légende hein? Alors, même si plus rien ne l'anime, il se doit de gagner.
Il enchaîne ses techniques de combattant fourbe, multipliant l'activation du module, apparaissant de-ci, de-là, lâchant une cartouche dans l'armure de son adversaire avant de disparaître de nouveau.
Les revers d'Hoblet s'enchaînent et se déchaînent, l'alte-nobilis fatigue, saigne, tente mais ne réussit pas à stopper cette avalanche de tirs, qui finiront par l’abattre lui aussi...
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Ainsi le général est désigné vainqueur, dernier debout de ce combat d'équipe...
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*Navré.. Je n'ai pas le bonheur de la victoire... j'aurais aimer vous l'offrir... Mais je ne peux pas... Je suis l'as des as, une légende du combat...*
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