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L'Étoile
Repartir en quête d'un nouveau présent, un présent qui correspondrait plus à ce que je suis, ou, tout du moins, ce que je voudrais être...
J'avance en silence sur ce chemin entre ombre et lumière, le seul qu'il ne me semble avoir jamais connu.
Hier encore, les derniers obstacles à ma progression dans le néant étaient là comme une compagnie de fortune mais qui gardait le mérite de me soulager du poids terrible de la solitude.
Aujourd'hui, je marche seul et devant moi s'étend à perte de vue l'abstraite route des rêves déchus. Celle sans carrefour ni hésitation, celle sans montagne insurmontable ni crevasse infranchissable, celle qu'il est si facile d'arpenter...
Rares sont les personnes qui n'y ont pas déjà fait quelques pas pour calmer leur arrogance après avoir compris qu'espoirs et réels mènent depuis la nuit des temps une guerre fratricide dont nous sommes les premières victimes...
Se retrouver sur cette voie si douce d'apparence mais qui ne porte en réalité que les fruits de l'ennui amène inrémédiablement à un profond sentiment de lassitude.
C'est en contemplant cet infini que se dévoile la véritable Éternité. L'Éternité synonyme d'abattement, presque d'abandon mais que la faiblesse incite à garder près de soi. La faiblesse de l'homme, ou de l'animal qu'il est resté. Notre faiblesse affublée de surnoms malsains dont l'unique but est de cacher cette vérité. L'instinct de survie pour certains, l'immortalité pour les autres. La peur de la mort semble souvent nous pousser vers une bestialité indigne de l'image qu'Il nous a laissé...
Oublier l'instinct pour laisser place à une sagesse nouvelle, oublier la peur pour vivre dans le courage et l'honneur car Il nous le donne.
Espérer, non pas par naïveté mais pour pouvoir, une fois le jour venu, se dire que si nous n'avions pas vécu pour Sa Gloire, si nous n'avions pas cherché en chaque instant à porter Son Message au-delà de toutes frontières que nous aurions pu nous imposer, si nous n'avions pas désiré réaliser à tout prix Sa Volonté au lieu de la notre, alors nous aurions véritablement été en mesure de vivre cette Eternité morose...
Sachons donner un sens toujours plus profond à ce mot de "Liberté".
Faisons de nos choix des devoirs et de nos hésitations des forces.
Rappelons nous que nos idéaux ne sont que ceux qu'Il nous donne et que notre vérité ne dois jamais devenir celle que l'on nous dicte mais rester celle en laquelle nous avons toujours cru, celle qui plane en notre âme comme une certitude extrême, comme une étoile qui indique notre chemin pour atteindre Son dernier refuge... Une étoile, qui partout où l'on s'égare continue à briller, à percer les poches souvent trop opaques du néant.
L'éclat fut perçu au travers des ténèbres sans que je ne m'en aperçoive vraiment mais il a fallu peu de temps pour que tout mon être se rende à l'évidence.
Il fallait défénitivement quitter les sentiers battus et les larges routes, par notre singulaité, marquer l'originalité de la voie que nous arpentons.
Quelques pas dans le vide insondable de l'ignorance,
Pour échapper aux terribles ravages du temps,
Espérerer pouvoir en quitter à jamais la tendre danse
Toute en légèreté, l'agréable valse d'antan.
J'avance en silence sur ce chemin entre ombre et lumière, le seul qu'il ne me semble avoir jamais connu.
Hier encore, les derniers obstacles à ma progression dans le néant étaient là comme une compagnie de fortune mais qui gardait le mérite de me soulager du poids terrible de la solitude.
Aujourd'hui, je marche seul et devant moi s'étend à perte de vue l'abstraite route des rêves déchus. Celle sans carrefour ni hésitation, celle sans montagne insurmontable ni crevasse infranchissable, celle qu'il est si facile d'arpenter...
Rares sont les personnes qui n'y ont pas déjà fait quelques pas pour calmer leur arrogance après avoir compris qu'espoirs et réels mènent depuis la nuit des temps une guerre fratricide dont nous sommes les premières victimes...
Se retrouver sur cette voie si douce d'apparence mais qui ne porte en réalité que les fruits de l'ennui amène inrémédiablement à un profond sentiment de lassitude.
C'est en contemplant cet infini que se dévoile la véritable Éternité. L'Éternité synonyme d'abattement, presque d'abandon mais que la faiblesse incite à garder près de soi. La faiblesse de l'homme, ou de l'animal qu'il est resté. Notre faiblesse affublée de surnoms malsains dont l'unique but est de cacher cette vérité. L'instinct de survie pour certains, l'immortalité pour les autres. La peur de la mort semble souvent nous pousser vers une bestialité indigne de l'image qu'Il nous a laissé...
Oublier l'instinct pour laisser place à une sagesse nouvelle, oublier la peur pour vivre dans le courage et l'honneur car Il nous le donne.
Espérer, non pas par naïveté mais pour pouvoir, une fois le jour venu, se dire que si nous n'avions pas vécu pour Sa Gloire, si nous n'avions pas cherché en chaque instant à porter Son Message au-delà de toutes frontières que nous aurions pu nous imposer, si nous n'avions pas désiré réaliser à tout prix Sa Volonté au lieu de la notre, alors nous aurions véritablement été en mesure de vivre cette Eternité morose...
Sachons donner un sens toujours plus profond à ce mot de "Liberté".
Faisons de nos choix des devoirs et de nos hésitations des forces.
Rappelons nous que nos idéaux ne sont que ceux qu'Il nous donne et que notre vérité ne dois jamais devenir celle que l'on nous dicte mais rester celle en laquelle nous avons toujours cru, celle qui plane en notre âme comme une certitude extrême, comme une étoile qui indique notre chemin pour atteindre Son dernier refuge... Une étoile, qui partout où l'on s'égare continue à briller, à percer les poches souvent trop opaques du néant.
L'éclat fut perçu au travers des ténèbres sans que je ne m'en aperçoive vraiment mais il a fallu peu de temps pour que tout mon être se rende à l'évidence.
Il fallait défénitivement quitter les sentiers battus et les larges routes, par notre singulaité, marquer l'originalité de la voie que nous arpentons.
Quelques pas dans le vide insondable de l'ignorance,
Pour échapper aux terribles ravages du temps,
Espérerer pouvoir en quitter à jamais la tendre danse
Toute en légèreté, l'agréable valse d'antan.
Erreur, la peur est un doute dont il ne faut s'encombrer,
Echec, maintenant seule l'hésitation m'accompangne,
Ainsi que sa soeur, la lassitude, ce vice ombré.
Tout doucement une folie silencieuse me gagne...
Mais, Elle est là, à briller non loin comme un signe,
Sous Sa Fabuleuse Lumière revient l'Espérance
Sa Splendide Clarté m'inspire ces quelques lignes
Et redonne un véritable but à mon existence...
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Informations sur l'article
Dialogue avec un page vierge.
26 Mars 2013
862√
2☆
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◊ Commentaires
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Hazel (362☆) Le 21 Juin 2013
Joli texte... Encore plus joli le poème.