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Quand y'en a plus...
Vide...
Je sens parfois ce vide qui vient... celui qui vous prends aux tripes et ne vous lâche plus.
Celui qui reste dans votre ventre, vous étouffe de l'intérieur et vous laisse sans rien, sans motivation de se lever chaque matin.
Cela faisait 24 jours... 24 fois 24 h...576 h...
Pourquoi ? Pourquoi me suis-je laisser hiberner ? je n'ai pas de raisons autre que de celle de laisser le temps faire.
Laisser le temps venir éroder mes possessions, mes relations, ma lassitude.
S'entraîner... jour et nuit... ne laisser au corps que le temps de récupérer juste le temps qu'il faut puis reprendre.
Des jours ou je ne m'entraînais pas à penser.
Des mps vite baclés à ceux m'en envoyant... Deux ou trois salut dans les espaces matriciels pour montrer qu'il vivait encore... Ou plutôt, survivait encore...
Je sens parfois ce vide qui vient... celui qui vous prends aux tripes et ne vous lâche plus.
Celui qui reste dans votre ventre, vous étouffe de l'intérieur et vous laisse sans rien, sans motivation de se lever chaque matin.
Cela faisait 24 jours... 24 fois 24 h...576 h...
Pourquoi ? Pourquoi me suis-je laisser hiberner ? je n'ai pas de raisons autre que de celle de laisser le temps faire.
Laisser le temps venir éroder mes possessions, mes relations, ma lassitude.
S'entraîner... jour et nuit... ne laisser au corps que le temps de récupérer juste le temps qu'il faut puis reprendre.
Des jours ou je ne m'entraînais pas à penser.
Des mps vite baclés à ceux m'en envoyant... Deux ou trois salut dans les espaces matriciels pour montrer qu'il vivait encore... Ou plutôt, survivait encore...
Du temps.
C'est tout ce qu'il faut pour soigner ça.
On prends le temps de faire le nettoyage dans sa tête et ses amis.
On prends le temps de se centrer sur ce qui nous importe, rien d'autre.
Et quand on se sent prêt, on reviens...
C'est tout ce qu'il faut pour soigner ça.
On prends le temps de faire le nettoyage dans sa tête et ses amis.
On prends le temps de se centrer sur ce qui nous importe, rien d'autre.
Et quand on se sent prêt, on reviens...
Étrangement, à peine suis-je revenu que déjà, je retrouve de quoi faire encore.
Un navire qui coule, un troll qui se dégonfle, une âme qui se damne à moi et un départ inattendu.
Un navire qui coule, un troll qui se dégonfle, une âme qui se damne à moi et un départ inattendu.
C'est ça la ville.
Attache ta ceinture.
On est déjà reparti.
Attache ta ceinture.
On est déjà reparti.
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En jeu...
26 Juin 2012
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