EDC de 19962
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5. It could be sweet.
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Ne pas pleurer pour profiter des derniers instants qu'ils leur restaient...
Cependant, Luli ne pouvait retenir ses larmes plus longtemps. Quelques unes coulèrent qu'il s'empressa de venir essuyer d'une caresse. Ils échangèrent un long regard et il avança son visage près du sien. Elle fit les derniers centimètres qui les séparaient pour venir effleurer ses lèvres et enfin l'embrasser avec tendresse, presque timidement.
Le désir monta très vite, les baisers se firent plus pressants. Le tout se transforma en une étreinte passionnée. Luli passa une main sur sa nuque pour prolonger ce moment. Il ne souhaitait pas non plus quitter ses lèvres puisqu'il appuya doucement sur ses reins pour l'attirer, la plaquer contre lui. Plus rien de comptait vraiment, il était là pour le moment et c'était tout ce qui importait. Elle aurait le temps de regretter plus tard. Malgré tout, une petite voix se fit entendre.
Ne pars pas de l'autre côté. Reste avec moi. Reste contre moi.
Khan murmura :
- La chambre...
Pour toute réponse, elle croisa les jambes dans son dos et crocheta ses doigts derrière son cou, oubliant dans la seconde tout ce qu'elle ne voulait exprimer, ses peurs, ses angoisses. Il la souleva comme une plume et se dirigea prestement dans la pièce voisine avant de l'asseoir délicatement sur le coin du lit. Il l'observa un instant avec envie puis vint de nouveau l'embrasser. Il passa une main sous son débardeur, caressant sa peau, puis en profita pour le retirer. Elle était à sa merci, se laissant totalement faire, répondant même à ses caresses. Elle avait avait envie de lui, son corps le réclamait avec ardeur et il le sentait.
Elle prit donc l'initiative de déboutonner la chemise de Khan, d'une façon un peu frénétique et brouillonne, butant nerveusement sur chaque bouton malgré son expertise en la matière. Une fois la chemise ouverte, elle lâcha un soupire de satisfaction devant le torse parfaitement sculpté, ce qui amusa l'homme. L'Elfe l'embrassa pour le faire taire et fit valser la chemise au sol. Il répondit à ce baiser avec fougue, prenant le temps de dégrafer son soutien gorge qu'il fit glisser rapidement. Il se pencha ensuite sur elle, torse nu, pour la faire s'allonger. Elle obtempéra, agrippant de ses mains les omoplates masculines, brûlée par le feu qui naissait de leur contact, étant désormais dénudée.
Ils étaient là, l'un sur l'autre, emmêlés dans une tornade de sentiments plus ou moins refoulés qu'ils libéraient de façon explosive, se caressant sans réfléchir. Les émotions se transmettaient grâce à leurs paumes de mains, la pulpe de chacun de leurs doigts rencontrant respectivement un cuir dur, solide et de l'autre coté, une peau tendre au grain incroyablement doux. Leur seul point commun était leur chaleur corporelle qui montait, montait...
[...]
Elle l'embrassa de nouveau avant qu'il ne se redresse pour lui retirer le pantalon avec ardeur. [...] Il glissa ses mains le long des fines et longues jambes. [...] Dans sa position verticale, il en profita pour admirer ses courbes, s'y attardant trop longtemps.
- Tu es magnifique...
- Arrête... Tu dis des bêtises, tu vas me faire rougir...
Il la regarda d'un air attendri, souriant à sa remarque. Elle lui rendit son sourire, les joues rosies. Elle pensait qu'il ne faisait que la complimenter comme il faisait avec toutes les autres dans ces moments là. Il se pencha de nouveau sur elle pour l'embrasser avec tendresse, ses mains parcourant son corps presque nu. Cette dernière tira sur son pantalon, le baissant jusqu'à ses genoux et Khan prit le relai pour l'ôter complétement.
[...]
Très vite, ils atteignirent leur point de rupture, puisque de concert, ils allèrent retirer le dernier vêtement de l'autre, dernière barrière avant la nudité totale. Sans la moindre hésitation ou appréhension, les tissus disparurent, laissant place à la proximité la plus complète entre les deux amants, collés l'un à l'autre.
[...]
Très simplement, ils faisaient l'amour. Elle avait l'impression que leur corps s'épousaient parfaitement, répondant au même désir inassouvi. Deux personnes éprises d'une affection commune qui entraient en parfaite communion.
[...]
La peau des deux amants était dorénavant perlée de sueur, les rendant légèrement luisant grâce aux faisceaux de lumière qui traversaient la pièce par les fenêtres de la chambre. [...] Elle ferma les yeux lorsqu'une vague d'émotions déferla en elle. Elle l'extériorisa en poussant un cri presque animal, s'agrippant aux draps d'une main.
[...]
Ils s'embrassèrent comme pour parfaire l'union qui venait de se produire entre les eux deux.
[...]
Ils se mirent dans les couvertures, l'un contre l'autre. Il l'encercla de ses bras musclés, caressant doucement son dos. Ils entremêlèrent leurs jambes et tombèrent de sommeil rapidement, repus.
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Informations sur l'article
Khan Pilare
08 Mai 2012
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4☆
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