EDC de 16725
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Cacher
Folie ?
_______Ambiance, pourquoi pas.
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Traces. Faire semblant d’effacer, uniquement semblant, car les gommes n’existent pas.
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Traces. Faire semblant d’effacer, uniquement semblant, car les gommes n’existent pas.
La fatigue s’insinue dans un corps si on lui laisse la place de rester. Je lui ai laissé cette place...
C’est ainsi que les événements s’enchaînent, toujours plus perçants, toujours plus nombreux, plus rapides. Il n’y a pas de place pour les faibles à Dreadcast, si ce n’est pour se faire écraser.
C’est ainsi que les événements s’enchaînent, toujours plus perçants, toujours plus nombreux, plus rapides. Il n’y a pas de place pour les faibles à Dreadcast, si ce n’est pour se faire écraser.
Cumuler, accumuler. Je crois me souvenir d’une voix disant que cumuler les postes porteraient loin. J’ai des doutes, et à cet instant précis, y réfléchir ne me vient pas même à l’esprit. Quelque chose qui bloque, dans l’avancée. Dans la réflexion. Réfléchis, bon sang.
Ta cryo, déjà. Une heptade, c’est long, ne vient pas me dire le contraire. On a beau avoir l’Eternité pour nous, parfois, elle parait dérisoire. Question d’impressions, rien de plus.
Mais tu étais revenue, lui aussi, tout allait bien. Tout. Presque. Quasiment.
On a beau avoir l’Eternite, certaines choses restent éphémères.
Mais tu étais revenue, lui aussi, tout allait bien. Tout. Presque. Quasiment.
On a beau avoir l’Eternite, certaines choses restent éphémères.
Puis il y a eu tes cuves, Fleur de Soleil. C’est idiot, la mort n’a pas d’importance, et pourtant, c’est plus fort que moi… Ton message fut la première décharge, je crois. La première fois que je frappais dans un mur. Et la décharge, la peur, rendirent ma peau de nouveau gelée.
« Ça faisait longtemps tiens… »
« Ça faisait longtemps tiens… »
Je n’ai pas été celle qui t’a retrouvé, baignant de ton sang sous les coups que tu t’étais toi-même donné. Je ne t’ai même pas vue dans cet état.
Je n’ai pas été ceux qui t’ont rafistolé autant que possible, alors que tu t’étais charcuté au possible.
Je n’ai été là que durant ton sommeil, et à ton réveil. Deuxième décharge.
Ne recommence plus Ella…
Je n’ai pas été ceux qui t’ont rafistolé autant que possible, alors que tu t’étais charcuté au possible.
Je n’ai été là que durant ton sommeil, et à ton réveil. Deuxième décharge.
Ne recommence plus Ella…
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Et puis, ce cauchemar. Comme avant.
« Ah, tu t’en souviens ? »
Avant leur passage, le massacre... Avant le smog, l’éclair, les blessures... Avant ces rats, étranges, carnassiers. Le même cauchemar. Il allait s’abattre quelque chose, encore. Et encore.
Et puis, ce cauchemar. Comme avant.
« Ah, tu t’en souviens ? »
Avant leur passage, le massacre... Avant le smog, l’éclair, les blessures... Avant ces rats, étranges, carnassiers. Le même cauchemar. Il allait s’abattre quelque chose, encore. Et encore.
- Fait attention à toi… Promis ?
Et troisième décharge. Jamais deux sans trois. Ce n’est que trois vrai. Pourtant, ils n’étaient pas que trois…
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Nuit du 1/231.3.
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Nuit du 1/231.3.
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Code rouge échelon 1. Tout arrêter, filer, vite. Ne pas perdre de temps.
Nombreux, encore plus que la dernière fois. Les combats sont inaudibles, mais on les devine. Certains visages sont fermés, d’autres parviennent à plaisanter. Il faudra qu’ils me donnent leur recette, un jour. L’habitude, sans doute. L’Habitude.
Relever les yeux, les plisser face à une silhouette. Et une voix lointaine s’y associe lentement.
« Ne perdez pas espoir ». Jamais.
Malgré tout, la peur s’installe. Flancher, un instant, sous tes yeux. T’affoler. Non, ne dis rien, il faut tenir. Tenir, jusqu’à la fin. Voir le bout du chemin, en sachant pertinemment qu’on l’empruntera de nouveau. Tu auras un peu appris, ce soir, au moins.
Ils ont lâché, lentement. Les défenses ont tenu, encore.
Regarder le sol, savoir. Que je vais lâcher à mon tour. Dire que tout va bien, et se laisser entraîner, lasse. Tout revient comme une gifle, tout.
Nombreux, encore plus que la dernière fois. Les combats sont inaudibles, mais on les devine. Certains visages sont fermés, d’autres parviennent à plaisanter. Il faudra qu’ils me donnent leur recette, un jour. L’habitude, sans doute. L’Habitude.
Relever les yeux, les plisser face à une silhouette. Et une voix lointaine s’y associe lentement.
« Ne perdez pas espoir ». Jamais.
Malgré tout, la peur s’installe. Flancher, un instant, sous tes yeux. T’affoler. Non, ne dis rien, il faut tenir. Tenir, jusqu’à la fin. Voir le bout du chemin, en sachant pertinemment qu’on l’empruntera de nouveau. Tu auras un peu appris, ce soir, au moins.
Ils ont lâché, lentement. Les défenses ont tenu, encore.
Regarder le sol, savoir. Que je vais lâcher à mon tour. Dire que tout va bien, et se laisser entraîner, lasse. Tout revient comme une gifle, tout.
Et ça déraille.
Embrouillée, déraillée. Folle, mais pas totalement. Il faut me croire.
« Laisse-moi faire… »
Des propos sans queue ni tête. En êtes-vous vraiment certains ?
Un pas en avant, un pas en arrière. Il faut savoir jouer au yo-yo.
« Laisse-moi faire… »
Des propos sans queue ni tête. En êtes-vous vraiment certains ?
Un pas en avant, un pas en arrière. Il faut savoir jouer au yo-yo.
- Mallo va t’examiner et tout ira bien.
Regarder passer les pinces, les tubes de sang, le regard vide. Comme chaque matin, depuis un moment. Vide, fatiguée. Trop tard. Je divaguais.
- Nev’, que sais-tu de la maladie d’Ella ?
- … Dépression, je sais…
- … Dépression, je sais…
« Tu dérailles… Je vais prendre un peu le relais, maintenant. »
Enfantine. Les mots fusent, mais ce ne sont plus les bons. Ils viennent d’ailleurs…
Enfantine. Les mots fusent, mais ce ne sont plus les bons. Ils viennent d’ailleurs…
- Mais je ne fais pas de dépression Luz… Arrête…
Docile. L’esprit a changé, lentement, légèrement.
« Va-t-en… »
« Va-t-en… »
- Que vois-tu la nuit, dans tes cauchemars… ?
« Tu ne peux plus t’échapper. »
- L’eau, le reflet, le miroir… Mon reflet… Faut rien dire… Comme avant… Y’avait des massacres…
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Je m’agite. Me perds. Dans ses filets.
« Avant qu’ils arrivent… Ils étaient nombreux… Tellement nombreux… Ils font faire attention… Andraste a des dagues, elles font mal… Elle était là, elle aussi… Elle en a tué… Des têtes ont roulé, plusieurs jours… Ils retrouvent toujours… Toujours… On s’était caché, tu sais… Le CM n’était plus sûr… Mais ils retrouvent… Peu importe où tu vas… Il faut promettre de ne rien rien… Promis ? »
Je m’agite. Me perds. Dans ses filets.
« Avant qu’ils arrivent… Ils étaient nombreux… Tellement nombreux… Ils font faire attention… Andraste a des dagues, elles font mal… Elle était là, elle aussi… Elle en a tué… Des têtes ont roulé, plusieurs jours… Ils retrouvent toujours… Toujours… On s’était caché, tu sais… Le CM n’était plus sûr… Mais ils retrouvent… Peu importe où tu vas… Il faut promettre de ne rien rien… Promis ? »
« Je te tiens. »
« Ils rôdent… Il faut les entendre, mais pas les appeler… Ils veulent tuer… Jouer… Faites attention… Theolf… Il faut dormir… Il faut se battre ! … Pas tant qu’on se bat dans l’ombre Sight… L’ombre aura raison de nous… Ils ne doivent pas vaincre… Et nous résisterons… »
Un drôle de sourire s’étend sur mes lèvres, les yeux verts regardant le vague. Lentement, je m’éteins. Lentement, je sombre, je m’endors, je le quitte pour venir vers toi. Parce que c’est toi, n’est-ce pas… ?
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L’eau, claire, d’une vaste piscine. Pas la sienne, pourtant, elle s’y sent bien. Il lui renvoie son reflet, mouvant. Chacun de ses mouvements donne à son autre moi quelque chose de flou. Très flou. Jusqu’à ce qu’elle ne soit plus, qu’elle n’existe plus. Jusqu’à ce que le reflet du miroir ait totalement disparu. Alors qu’elle est toujours là.
Subitement, l’eau devient solide, et se soulève, droite. Un miroir. Immense. Elle hait les miroirs, renvoyant des reflets qu’elle ne supportait pas, qu’elle n’apprécie pas. Et pourtant, il est là, miroir glacé. Et le reflet sourit alors qu’elle est horrifiée. Ce ne sont que des images, pourtant… Un rêve.
Alors, le reflet prend vie, et d’une voix fluette, lointaine, aigüe, elle entend :
« Regarde un peu mieux dans les miroirs, Nevaeh… »
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L’eau, claire, d’une vaste piscine. Pas la sienne, pourtant, elle s’y sent bien. Il lui renvoie son reflet, mouvant. Chacun de ses mouvements donne à son autre moi quelque chose de flou. Très flou. Jusqu’à ce qu’elle ne soit plus, qu’elle n’existe plus. Jusqu’à ce que le reflet du miroir ait totalement disparu. Alors qu’elle est toujours là.
Subitement, l’eau devient solide, et se soulève, droite. Un miroir. Immense. Elle hait les miroirs, renvoyant des reflets qu’elle ne supportait pas, qu’elle n’apprécie pas. Et pourtant, il est là, miroir glacé. Et le reflet sourit alors qu’elle est horrifiée. Ce ne sont que des images, pourtant… Un rêve.
Alors, le reflet prend vie, et d’une voix fluette, lointaine, aigüe, elle entend :
« Regarde un peu mieux dans les miroirs, Nevaeh… »
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« Ton amie avait raison. Elle a beau ne pas savoir exactement. Elle sait au moins que tu as plein de fantômes dans ton armoire… Bonne nuit, Nev’. Je veille sur toi, ne t’en fais surtout pas. »
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Informations sur l'article
Passé Présent
16 Mai 2013
929√
3☆
7◊
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◊ Commentaires
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Amar (211☆) Le 17 Mai 2013
Ha la la ^^ Nevaeh, un de ces 4 va vraiment falloir que je me décide d'aller te voir ^^. -
Hemilly~37023 (37☆) Le 17 Mai 2013
C'est.. c'est.. God! et c'est moi qu'on traite de folle! Ma pauvre maman.. * quandmeme! -
Ella~7202 (137☆) Le 17 Mai 2013
' L’ombre aura raison de nous… Ils ne doivent pas vaincre' pour chaque ombre il y a une lumiere qui la dissipe , tant qu'il y a lumiere ils vaincrons pas ..
Et tss tu doit le savoir j'ai toujours raison hu hu* chasse les fantome de Nev' avec une incantation magique * -
Ella~7202 (137☆) Le 17 Mai 2013
Nan un zolie ecureuil mauve