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Forum Role Play » LES EVENTS
[EVENT] TDG-1
Créé par Key~66636 le 21 Mars 2017 à 00:54
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- Sujet Role Play
News — MAJ 4.11
Flaxia~51662
Posté le 25 Mars 2017 à 10:29
#261
Glaneuse d'indi.
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Partie III : De l'air.
Prendre des médocs. Dormir. Sa journée s'était à peu de chose près résumée à ça. Elle ne voulait plus remettre un pied dehors. L'endroit où elle se trouvait avait beau être miteux, elle préférait ça à la quarantaine. C'était le calme après la tempête, en somme. Elle avait finit par couper sa connexion neurale afin d'avoir pleinement la paix des messages qui affluaient encore et encore. « Qu'ils cuvent tous, ces cons ! » Pourtant avant de le faire quelques messages avaient attirés son attention.
Ni une, ni deux, elle se leva, inspectant chaque centimètre carrée de peau. Elle ne pouvait pas être poilue. Non. Impossible. Plus elle cherchait sur son derme la moindre touffe de poils suspecte, plus elle commençait à paniquer. Bloquée dans ce taudis, elle se sentait désormais à l'étroit, son air manquait. Déjà, sa respiration se faisait plus courte. Pour autant, savoir qu'elle n'était pas en train de muter n'atténua pas son trouble. « Je DOIS sortir ! »
Son compagnon d'aventure ne semblait pas du même avis. Du moins, la perspective de sortir en t-shirt et culotte ne lui semblait pas adaptée. Fichtre ! Flaxia se révéla malgré tout d'une grande docilité, confiante sur le fait qu'il ne la laisserait pas dans cette lente agonie. Et surtout, elle se sentait beaucoup trop faible pour riposter. Elle faisait des efforts pour inspirer, pour expirer, chaque mouvement de sa cage thoracique devenait plus difficile, plus douloureux.
Il ouvrit l'unique petite fenêtre du taudis — comment aurait-il pu en avoir d'autres ? On aurait explosé le ratio m²/fenêtres — quelques bouffées de smog plus tard, l'humaine était de nouveau calme. Même si l'envie de se retrouver dehors était encore présente, elle était partiellement apaisée. Même sa colère semblait fondre comme glaçon dans le skiwi.
Quelques cycles plus tard, elle retrouvait son lit pour une nuit en solitaire et terriblement agitée. Une nouvelle crise de panique la réveilla, étouffant, jusqu'à ce qu'elle laisse la fenêtre grande ouverte pour s'endormir au frais, recroquevillée au fond de la couette.
Partie IV : Stable ?
Au réveil, elle mourrait de froid. Ce fut une raison suffisante pour refermer la fenêtre et aller se morfondre devant la grande baie vitrée du salon, emmitouflée dans la couette, sa nouvelle cape bien chaude. Sans doute que contempler ce paysage urbain n'était pas la meilleure idée lorsqu'on est prise d'une folle envie de rester dehors. « Encore une pulsion idiote, ma petite. RESSAISIS-TOI ! » Comme si le froid et le smog étaient salvateurs... L'ermite qui ne pensait plus qu'à sortir, s'en devenait presque risible.
La fièvre revenait au fil des cycles, lasse et hargneuse, l'envie de tout casser, et à commencer par la baie vitrée, aussi. Quel était l'intérêt de lutter contre ce mal qui la rongeait ? C'était pourtant si simple de se soumettre à chacune de ses pulsions colériques. Désormais seule face à sa rage, il était si facile de perdre le contrôle, de prendre sa dague pour défoncer chaque coussin, de taper dans le mur jusqu'au sang, d'hurler son mal être à en avoir la gorge en feu, d'envoyer tout le monde se faire royalement foutre. « DE DÉTRUIRE CETTE BAIE VITRÉE ! »
Avant même qu'elle ait pu réaliser ce qu'elle était en train de faire, elle saisissait déjà le pot de fleurs synthétiques pour le balancer contre l'épais vitrage, ne créant qu'une fissure à l'impact. Elle avait pourtant mis toute sa rage dans cet acte désespéré, tombant ensuite à genoux à fixer son œuvre partielle, totalement hébétée. Elle venait réellement de perdre pieds. Personne ne devait le savoir ! Miss contrôle venait de basculer. A cette pensée une nouvelle vague de rage monta, plus dévastatrice encore. Si la fenêtre lui résistait, tant mieux, elle voyait rouge — ou plutôt gris foncé ? — prête à passer ses nerfs sur le verre, qu'importe la mutation. « Ah ouais ? Depuis quand tu ne t'accroches plus à ton humanité comme à un précieux oripeau ? »
Dans un ultime élan de maîtrise, suite à cette minable conclusion qui l'agaça au plus haut point, elle fonça vers sa trousse médicale pour s'injecter un sédatif. A peine le garrot en place qu'elle planta l'aiguille dans le derme, s'y reprenant à deux fois pour trouver la veine, fébrile, et faire enfin couler le médoc dans son système sanguin. Oh oui. Elle avait forcé sur la dose dans son empressement. Elle recula contre le canapé, s'affalant dessus. Jamais elle ne s'était sentie aussi bien, aussi vide de pensées parasites. Elle ferma les yeux, somnolant plusieurs cycles sur le canapé sans bouger la moindre partie de son corps.
Elle planait.
I was busy thinking about boys.
Skiwine~64701
Posté le 25 Mars 2017 à 14:21
#262
Système D
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Elles l'avaient presque ce vaccin, presque et vlan, le vent changeant les aura vite remis sur pieds.
Il restait encore le soucis des nouveaux gnolls mais Skiwine était très partagée.
Les recherches historiques étaient formelles, cet état était néfaste, contrôlé par Ahambar et certainement pas une bonne chose.
Cependant voir son amie enfin heureuse avec ses longs poils bleus perturbait la gobeline. Elle n'était pas heureuse avant et là se sentait tellement libre...Si elles trouvaient une solution et qu'elle redevenait comme avant, serait-elle vraiment heureuse ?
Il restait encore le soucis des nouveaux gnolls mais Skiwine était très partagée.
Les recherches historiques étaient formelles, cet état était néfaste, contrôlé par Ahambar et certainement pas une bonne chose.
Cependant voir son amie enfin heureuse avec ses longs poils bleus perturbait la gobeline. Elle n'était pas heureuse avant et là se sentait tellement libre...Si elles trouvaient une solution et qu'elle redevenait comme avant, serait-elle vraiment heureuse ?
Stoner
Posté le 25 Mars 2017 à 14:37
#263
Chef d'entrepri.
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Putain fait chier.
Non il n'était pas infecté, juste ses râleries habituelles. Le fait de n'avoir pas tiré sur une cigarette depuis des jours n'arrangeait pas non plus son état, engoncé qu'il était dans sa combinaison. Quatre jours désormais qu'il la portait jour et nuit, ne l’ôtant que pour une longue séance de nettoyage au cours de laquelle il vidait la moitié du flacon de gel douche. Le virus ou la nanotechnologie responsable de l'épidémie actuelle avait réveillé en lui sa plus sombre peur: la crainte de ne plus être lui même, plus maître de son corps ou son esprit. Conséquences psychologiques de ses expériences passées il en avait conscience, même s'il faisait tout pour cacher cette faiblesse y compris à sa compagne.
Un nouveau grommellement vint accompagner la pensée qu'il avait pour celle qui avait subit la transformation. Il avait passé son peu de temps éveillé à essayer de la rencontrer tout en soutenant les docs sur l'affaire. Avec un com explosé et ses talents inefficaces de traque il n'avait pu la trouver. Seule l'aide de "gnoll Mikett"e lui avait permis de la voir en compagnie de celui qui s'était perdu dans les égouts pendant des heptades et était réapparu comme un kanuf au milieu d'une décharge.
La première rencontre avec "gnoll Lô" ne s'était pas bien conclue. Malgré sa méfiance initiale il avait réussit à exprimer ses sentiments toujours présents envers elle. Mais la question du retrait de la combinaison avait causé un malaise. Il avait du partir sur son insistance pour éviter une hypothétique réaction violente. La seconde rencontre avait été pire. Elle fuyante, puis agressive avant de s'enfuir suite à un nouvel échange sur son équipement de protection.
Et l'autre qui lui faisait des reproches "faut arrêter d'être des tapettes...", "le virus c'est du vent, j'ai rien porté et j'ai quedal...", "je vais la retrouver..."
Connard!
Maintenant pour arriver à la retrouver sans qu'elle ne fuit et lui parler et la convaincre sans être dérangé, il allait avoir besoin d'une bonne dose de chance. Sans compter son impuissance pour aider les personnes en charge de combattre l'épidémie. Aucune compétence médicale, il avait même réussit à se faire renversé par une elfette contaminée qui affichait auprès de Thallys 1 seul UBA de force... décidément il n'était plus bon à rien. Même sur son point fort, la réflexion, il n'arrivait à rien. Comment expliquer qu'une patiente en rémission se retrouvait gnolifiée, alors que d'autres plus atteints guérissaient par magie. Comment expliquer que certains sans protection n'avaient rien et que d'autres plus prudents avaient choppé la maladie? Tout foutait le camp, même sa logique...
Non il n'était pas infecté, juste ses râleries habituelles. Le fait de n'avoir pas tiré sur une cigarette depuis des jours n'arrangeait pas non plus son état, engoncé qu'il était dans sa combinaison. Quatre jours désormais qu'il la portait jour et nuit, ne l’ôtant que pour une longue séance de nettoyage au cours de laquelle il vidait la moitié du flacon de gel douche. Le virus ou la nanotechnologie responsable de l'épidémie actuelle avait réveillé en lui sa plus sombre peur: la crainte de ne plus être lui même, plus maître de son corps ou son esprit. Conséquences psychologiques de ses expériences passées il en avait conscience, même s'il faisait tout pour cacher cette faiblesse y compris à sa compagne.
Un nouveau grommellement vint accompagner la pensée qu'il avait pour celle qui avait subit la transformation. Il avait passé son peu de temps éveillé à essayer de la rencontrer tout en soutenant les docs sur l'affaire. Avec un com explosé et ses talents inefficaces de traque il n'avait pu la trouver. Seule l'aide de "gnoll Mikett"e lui avait permis de la voir en compagnie de celui qui s'était perdu dans les égouts pendant des heptades et était réapparu comme un kanuf au milieu d'une décharge.
La première rencontre avec "gnoll Lô" ne s'était pas bien conclue. Malgré sa méfiance initiale il avait réussit à exprimer ses sentiments toujours présents envers elle. Mais la question du retrait de la combinaison avait causé un malaise. Il avait du partir sur son insistance pour éviter une hypothétique réaction violente. La seconde rencontre avait été pire. Elle fuyante, puis agressive avant de s'enfuir suite à un nouvel échange sur son équipement de protection.
Et l'autre qui lui faisait des reproches "faut arrêter d'être des tapettes...", "le virus c'est du vent, j'ai rien porté et j'ai quedal...", "je vais la retrouver..."
Connard!
Maintenant pour arriver à la retrouver sans qu'elle ne fuit et lui parler et la convaincre sans être dérangé, il allait avoir besoin d'une bonne dose de chance. Sans compter son impuissance pour aider les personnes en charge de combattre l'épidémie. Aucune compétence médicale, il avait même réussit à se faire renversé par une elfette contaminée qui affichait auprès de Thallys 1 seul UBA de force... décidément il n'était plus bon à rien. Même sur son point fort, la réflexion, il n'arrivait à rien. Comment expliquer qu'une patiente en rémission se retrouvait gnolifiée, alors que d'autres plus atteints guérissaient par magie. Comment expliquer que certains sans protection n'avaient rien et que d'autres plus prudents avaient choppé la maladie? Tout foutait le camp, même sa logique...
øctavie~64245
Posté le 25 Mars 2017 à 22:28
#264
A Mica Mea
Compte Joueur
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Le paysage s’était assombri, s’était plombé d’un reflet livide, comme lorsqu’un nuage cache soudain un rai de lumière ou un morceau de musique passe de la tonalité majeure à la tonalité mineure, et que le regard se charge de la prescience d’un danger. Elle avait alors eu le pressentiment que quelque chose d’horrible allait se produire. Ces derniers temps, cette intuition inexpliquée d’un péril menaçant était toujours prête à effleurer à sa conscience; chaque fois qu’elle s’imposait à elle, l’angoisse la faisait frémir. Elle fermait les yeux et, pour la chasser, se forçait à penser aux bienfaits de l’existence. Elle se faisait un point d’honneur pour ne rien montrer comme pour encourager les gens à ne pas sombrer.
Elle s’attarda dans la bibliothèque devant les rayonnages qui couvraient le pan de mur. A côté des livres d’histoire, elle découvrit une abondante littérature ésotérique consacrée à des œuvres sur la science. Elle prit « Qu’est ce que la recherche ? » et l’ouvrit à la première page.
De toutes les sciences que l’homme peut et doit savoir, la principale, c’est la science de vivre de manière à faire le moins de mal et le plus de bien possible.
Elle frissonna et reposa le livre sur l’étagère...
Elle s’attarda dans la bibliothèque devant les rayonnages qui couvraient le pan de mur. A côté des livres d’histoire, elle découvrit une abondante littérature ésotérique consacrée à des œuvres sur la science. Elle prit « Qu’est ce que la recherche ? » et l’ouvrit à la première page.
De toutes les sciences que l’homme peut et doit savoir, la principale, c’est la science de vivre de manière à faire le moins de mal et le plus de bien possible.
Elle frissonna et reposa le livre sur l’étagère...
Inconnu
Posté le 26 Mars 2017 à 09:39
#265
Le temps s'écoule, les liens se nouent, se délient, se transfèrent... Glissent, transcendés par la nouvelle condition. Se créer des repères est plus que vital.
Il aura su lui apporter le soutien et le réconfort pour l’apaiser dans ses doutes, cette peur malgré tout du destin forcé qui s'était amusé avec ses gènes ; avait fait d'elle ce qu'elle était.
Ami ? Famille ? Frère ? Proche ...
Autre ...
Elle ne savait pas comment qualifier cette nouvelle relation, fonctionnant à l'instinct, qui comblait des besoins qu'elle ne gère pas toujours.
Voici donc ce qu'ils étaient aux yeux de certains, de ceux qui se protègent en deçà des liens, pour leur propre survie.
Comme Lui...
Qui ne sent plus rien de lui même camouflé dans son accoutrement.
Ils se protègent des pestiférés... coupables d'être victimes d'un acte qui dépasse la conscience collective. Victimes des retombées qui bouleversent la vie dans le secteur.
La providence lui fait croiser le chemin de cet humain dans lequel elle finit par se trouver des ressemblances ; qui l'accepte comme elle est, sans protection, sans faux semblant. Du moins le pensait-elle, à la façon dont leur odeur s'était progressivement mêlé... une histoire de mauvaise humeur, de curiosité, dont les premiers pas communs ont débuté pour un steak.
Bien loin de son paraître habituel, elle n'hésitait pas à se reposer, le museau sur la main tendue, chassant les problématiques de ses pensées pour profiter de l'instant présent.
Seul l'acte compte...
Ainsi, ne supportant pas que son petit bien être s'en trouve perturbé, notre petite Aellô vogue au grès de ses besoins et envies, marchant fière, cote à cote avec l'humain, et n'hésite pas à se gonfler la fourrure au besoin.
Territoriale ?Possessive ?
Les trois à la fois ?
"F'bien prot'ger s'garde m'ger."
Certainement ce qu'elle répondrait en affichant un rictus carnassier, le regard malicieux.
Il aura su lui apporter le soutien et le réconfort pour l’apaiser dans ses doutes, cette peur malgré tout du destin forcé qui s'était amusé avec ses gènes ; avait fait d'elle ce qu'elle était.
Ami ? Famille ? Frère ? Proche ...
Elle ne savait pas comment qualifier cette nouvelle relation, fonctionnant à l'instinct, qui comblait des besoins qu'elle ne gère pas toujours.
ȼяI$e ˅ɨяµS
ʍaℓąďE$
QµąяąnţąɨɲE βêteS
ȼOɲtąmiNés
ʍonstres...
Voici donc ce qu'ils étaient aux yeux de certains, de ceux qui se protègent en deçà des liens, pour leur propre survie.
Comme Lui...
Qui ne sent plus rien de lui même camouflé dans son accoutrement.
Ils se protègent des pestiférés... coupables d'être victimes d'un acte qui dépasse la conscience collective. Victimes des retombées qui bouleversent la vie dans le secteur.
La providence lui fait croiser le chemin de cet humain dans lequel elle finit par se trouver des ressemblances ; qui l'accepte comme elle est, sans protection, sans faux semblant. Du moins le pensait-elle, à la façon dont leur odeur s'était progressivement mêlé... une histoire de mauvaise humeur, de curiosité, dont les premiers pas communs ont débuté pour un steak.
Bien loin de son paraître habituel, elle n'hésitait pas à se reposer, le museau sur la main tendue, chassant les problématiques de ses pensées pour profiter de l'instant présent.
Seul l'acte compte...
Ainsi, ne supportant pas que son petit bien être s'en trouve perturbé, notre petite Aellô vogue au grès de ses besoins et envies, marchant fière, cote à cote avec l'humain, et n'hésite pas à se gonfler la fourrure au besoin.
Territoriale ?
Protectrice ?
Les trois à la fois ?
"F'bien prot'ger s'garde m'ger."
Certainement ce qu'elle répondrait en affichant un rictus carnassier, le regard malicieux.
Celya~62223
Posté le 26 Mars 2017 à 13:06
#266
ReaL124c41+
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Ces derniers jours furent chaotiques, c'est le cas de le dire. L'outrilienne ne savait plus où donner de la tête entre les malades, les meurtriers dans les rues et les diverses interventions médicales.
D'ailleurs parlons en. Des détails ? Certainement pas, vous risqueriez sans doute de ne pas passer le plat de midi.
Alternant entre domiciles, clinique et hopital, Seyna n'arrêtait pas, sollicitée de partout, elle faisait au mieux pour maintenir la vie. En effet, beaucoup, voir trop d'individus en ce bas monde trinquent à la mort tandis que l'outrilienne, trinque à la vie, c'est bien un de ses seuls buts.
Retirer la balle... Retirer des fragments d'os, administrer des injections, que ce soit du sérum ou tout un tas d'autres substances. Masque constamment sur le minois, mains gantées. La pression est vraiment énorme, alors qu'on lui délègue beaucoup de responsabilités, c'est sans broncher qu'elle traite toutes les tâches confiées.
Beaucoup trop de sang ces derniers jours, heureusement, les vies entre ses mains furent toutes sauvées. Certains avec des séquelles, certes, mais les résultats sont là. Les différents messages privés arrivent au fur et à mesure, des remerciements, de petites gratitudes qui la pousse à continuer, sans broncher.
Malgré quelques évanouissements dû à la fatigue, elle se tient toujours là, suivant les directives et en donnant d'autres à l'équipe dont elle prit la charge sous les ordres de nobles.
Tout semble se calmer, évidemment dans ce récit, aucun détails ne sera fournit, les noms de ses patients, de leurs blessures, des lieux, tout.
Son seul souhait à présent est que la justice impériale prenne le relais dans les jours à venir.
D'ailleurs parlons en. Des détails ? Certainement pas, vous risqueriez sans doute de ne pas passer le plat de midi.
Alternant entre domiciles, clinique et hopital, Seyna n'arrêtait pas, sollicitée de partout, elle faisait au mieux pour maintenir la vie. En effet, beaucoup, voir trop d'individus en ce bas monde trinquent à la mort tandis que l'outrilienne, trinque à la vie, c'est bien un de ses seuls buts.
Retirer la balle... Retirer des fragments d'os, administrer des injections, que ce soit du sérum ou tout un tas d'autres substances. Masque constamment sur le minois, mains gantées. La pression est vraiment énorme, alors qu'on lui délègue beaucoup de responsabilités, c'est sans broncher qu'elle traite toutes les tâches confiées.
Beaucoup trop de sang ces derniers jours, heureusement, les vies entre ses mains furent toutes sauvées. Certains avec des séquelles, certes, mais les résultats sont là. Les différents messages privés arrivent au fur et à mesure, des remerciements, de petites gratitudes qui la pousse à continuer, sans broncher.
Malgré quelques évanouissements dû à la fatigue, elle se tient toujours là, suivant les directives et en donnant d'autres à l'équipe dont elle prit la charge sous les ordres de nobles.
Tout semble se calmer, évidemment dans ce récit, aucun détails ne sera fournit, les noms de ses patients, de leurs blessures, des lieux, tout.
Son seul souhait à présent est que la justice impériale prenne le relais dans les jours à venir.
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Lenba
Posté le 26 Mars 2017 à 13:52
#267
Personne ne m'.
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Lenba ouvre les yeux après une nuit à l'extérieur, se frottant les yeux, a son grand étonnement, avec quelque chose qui ne ressemble plus du tout à une main.
Sa compagne se réveille et porte son regard sur lui.
Le nouveau gnoll cache ses pattes derrière sont dos pour quelle ne les voit, n'ayant pas encore réalisé que ce geste est inutile, son aspect physique étant totalement modifié.
La gnoll l'observe et met fin à ses craintes en lui témoignant toute sa tendresse, frottant son museau contre sa joue.
Désormais, ils ne sont plus ni nain ni elfe mais qu'importe.
Ils apprendront et affronteront cette épreuve, ensemble, comme toutes les autres avant elle.
Sa compagne se réveille et porte son regard sur lui.
Le nouveau gnoll cache ses pattes derrière sont dos pour quelle ne les voit, n'ayant pas encore réalisé que ce geste est inutile, son aspect physique étant totalement modifié.
La gnoll l'observe et met fin à ses craintes en lui témoignant toute sa tendresse, frottant son museau contre sa joue.
Désormais, ils ne sont plus ni nain ni elfe mais qu'importe.
Ils apprendront et affronteront cette épreuve, ensemble, comme toutes les autres avant elle.
Cosmos
Posté le 26 Mars 2017 à 23:40
#268
NetKeeper
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Non...
C'était si facile... se libérer totalement, oublier les conventions sociales, n'exister plus que pour soi même. Des pulsions... un véritable shoot d'hormones perpétuel, une vigueur naturelle qu'il n'avait jamais possédé auparavant.
La chair, les muscles, la force... soulever sans aucune difficulté une femelle pour la pilonner... lui donner le coït de sa vie... la prendre... encore... encore...n'être plus qu'une machine sexuelle, un piston percutant le tréfonds des entrailles, imposer sa marque, son territoire dans l'autre.
Non...
Un prédateur, un dominant, cette part perpétuellement présente en lui. Cette part qui est devenue l'Alpha et l'Omega de son existence. Devenir une machine parfaite pour la traque, la chasse... sentir les effluves des femelles... sentir leurs désirs les plus infâmes car si la bouche peut mentir, la chair ne fait que libérer son parfum.
Devenir une machine implacable, soumettre par la chair, le plaisir, le coït, asservir par des percussions de plus en plus violente, briser l'esprit, les sens, le corps...
Non... Pas encore...
Si la bête qui a toujours été en lui a pu enfin prendre vie, prendre le contrôle, cette rage naturelle qui va de paire ne peut lutter contre celle qui l'habite depuis si longtemps.
Alors que son adn-pluri centenaire a été recalibré par une multitude de micro machine, alors qu'il n'est plus qu'une masse de muscle, de crocs, de griffe...
Que les seules pensées qui l'habitent sont d'engrosser toute les femelles à portée... faire le cheptel qu'il mérite.
Quelque chose ne cesse de lui vriller le crâne, quelque chose qui a planté ses crocs acérés dans son esprit, quelque chose qui le garde en vie depuis tout ce temps : la rage.
Une rage plus puissante que celle d'un Gnoll Alpha. Une rage tellement violente, si présente en lui, chaque jours, à chaque seconde, une rage si intense qu'elle en est devenue invisible aux yeux des autres.
Car oui... c'est sa signature, le créateur... Encore et toujours lui ! Comme si l'éternelle réponse pour celui qui la poserai, la réponse absolue, se résumait à un chiffre : 42 !
Ce fils de pute continu de s'acharner, encore et toujours... Cette merde est encore là à vivre, respirer à faire chier, à comploter pour assurer sa domination, à exploser, détruire, mettre à bas les défenses.
Qu'il serait bon de joindre les doigts d'une main, les garder bien tendu pour les enfoncer dans le bide de cette merde humaine...
Qu'il serait délicieux de lui arracher ce qu'il lui reste de chair... d'attraper ses tripes ou quoi que ce soit de synthétique qui y ressemble, de les sortir de son ventre pour les lui enfoncer dans la bouche... lui déchirer la trachée au passage...
Il ne peut pas lui appartenir, il ne peut pas avoir sa marque sur lui, accepter que son adn, sa personnalité soit souillée par le contact immonde de cette pourriture.
Il est dominant et en conséquence, en aucune manière, il ne peut accepter de se soumettre un seul instant face à cette vomissure de chiasse, de fiente. La seule envie qui l'habite est celle de lui arracher les yeux.
Il n'en a pas fini, pas encore... l'arme n'est toujours pas prête, il n'a toujours pas construit l'outil qui asservira les IA, qui arrachera les membres, les moyens d'action de ce connard.
L'implant hurle en lui, rendant la coupure avec la matrice des plus insupportable, lui rappelant où est sa place, comme si toute l'essence de ce qu'il est s'était réfugié à cet endroit.
Car si animal il est, que les odeurs sont un nouveau champ de communication, l'implant ne cesse de battre le rappel, de lui faire sentir en permanence l'univers qu'il vient de quitter, d'abandonner.
Et ça il n'en est pas question...
Pas tant qu'il n'aura pas entendu hurler Thallys, SG et les autres à l'imminence de leur propre destruction,
Pas tant qu'il ne leur aura fait apprendre de force ce qu'est la peur, qu'il ne leur fera pas sentir ses crocs sur leurs jugulaires...
Pas tant qu'il n'aura pas rendu incontinent de terreur cet enculé qui ne cesse de prendre SON territoire pour un terrain de jeu...
Cosmos
Posté le 27 Mars 2017 à 22:56
#269
NetKeeper
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Dans son lit, le gnoll déchire le matelas sous l'emprise d'une douleur insoutenable. Une lame lui ravage les entrailles, des tenailles lui éclatent les articulations.
Le blindage en farinium étouffe les hurlements qu'il parvient à expirer, tellement la douleur lui contracte sa gorge au point de ne plus pouvoir respirer. Il rampe... comme si la fuite pouvait le soustraire à son bourreau invisible.
Un filet chaud sur les draps et le sol se répand quand il s’effondre à terre, perdant le contrôle total de ses sphincters... Il rampe... tente d'avancer... plante ses griffes qui se brisent au contact de la surface... ajoutant encore et toujours plus de douleur...
"A...ach...vez... moi..."
Il ne pense plus qu'à cela...la cuve, pour en finir avec cette douleur des plus immonde... Son corps semble fait de verre, comme si ses os se brisaient à chaque mouvements, se déboitaient...
Il vomit quand un tison de flamme plonge pile à l'endroit où se trouve son implant, comme si ce dernier étaient en surchauffe, le magma se répandant à l'intérieur de ses os, de ses cellules, de ses micros machines ?
La bête évolue en sens inverse... sa fourrure se détache par plaque... telle une mue, la douleur est si profonde en lui qu'il en sent presque les micro machines remettre son adn à la normale.
Les dernières images qu'il garde à l'esprit sont celle de sa propre liquéfaction, sa déchéance...
Le blindage en farinium étouffe les hurlements qu'il parvient à expirer, tellement la douleur lui contracte sa gorge au point de ne plus pouvoir respirer. Il rampe... comme si la fuite pouvait le soustraire à son bourreau invisible.
Un filet chaud sur les draps et le sol se répand quand il s’effondre à terre, perdant le contrôle total de ses sphincters... Il rampe... tente d'avancer... plante ses griffes qui se brisent au contact de la surface... ajoutant encore et toujours plus de douleur...
"A...ach...vez... moi..."
Il ne pense plus qu'à cela...la cuve, pour en finir avec cette douleur des plus immonde... Son corps semble fait de verre, comme si ses os se brisaient à chaque mouvements, se déboitaient...
Il vomit quand un tison de flamme plonge pile à l'endroit où se trouve son implant, comme si ce dernier étaient en surchauffe, le magma se répandant à l'intérieur de ses os, de ses cellules, de ses micros machines ?
La bête évolue en sens inverse... sa fourrure se détache par plaque... telle une mue, la douleur est si profonde en lui qu'il en sent presque les micro machines remettre son adn à la normale.
Les dernières images qu'il garde à l'esprit sont celle de sa propre liquéfaction, sa déchéance...
Mik~44917
Posté le 28 Mars 2017 à 10:36
#270
Sans ADN fixe
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La gnoll, en train de mobiliser sa patience pour essayer de passer une commande sur son terminal d'entreprise, se gratte d'un geste machinal. Et voit une touffe de poil atterrir sur les commandes. Pas trois poils, vraiment une touffe.
Surprise elle recommence plus modérément: même résultat.
Il s'était produit tant de changements brusques et incompréhensibles que son esprit malmené ne parvenait plus qu'à assimiler les informations et à subir le flot d’événements, leur apportant une réponse pratique et immédiate.
La gnoll pousse donc les poils d'un revers de main et attend la suite, envoyant quelques messages pour excuser son absence.
La suite se ramene sans trop se faire attendre.
Migraine d'abord, de plus en plus violente, sueurs et nausées. Puis une douleur sourde, généralisée. Amplifiant jusqu'à l'insoutenable, dans chacun de ses os, comme des centaines de dards ou de clous venant se vriller dans tout son corps. Une douleur atroce, qui la cloue au sol quand elle ne la souleve pas dans un réflexe incontrôlé.
Très vite épuisée, elle ne fait que subir, encore. Et cela continue,encore. Elle se sent se disloquer, se dissoudre, elle sent ses organes et ses muscles se déplacer. Elle entend avec un écœurement horrifié et dans un état de panique absolu ses vertèbres craquer, ses cartilages grincer, dans une composition arrangée de ses hurlements et halètements.
Pitié ...
Pitié ? Elle est seule. Un constat presque aussi douloureux que le reste qui finit de la plonger dans le désarroi. Elle ne les sent plus.
Le gobelin est là, à deux mètres d'elle, dormant à poings fermés au beau milieu de ce chaos, elle lui en veut. Jamais il n'est présent quand elle a besoin de lui, et elle comme toujours, elle lui racontera, après. Ou peut-être pas.
Seule.
S'il y a un après.
Après des heures de supplice la presque naine parvient à mobiliser son implant pour un appel à l'aide laconique : Un hurlement de douleur, un code d'accès au technopole.
Par chance, l'appel est entendu. Draexia vient, calme, douce, patiente.
Tu n'es pas seule annonce t'elle d'une voix rassurante, dans un écho parfait aux doutes muets de la naine. Début de rémission.
Surprise elle recommence plus modérément: même résultat.
Il s'était produit tant de changements brusques et incompréhensibles que son esprit malmené ne parvenait plus qu'à assimiler les informations et à subir le flot d’événements, leur apportant une réponse pratique et immédiate.
La gnoll pousse donc les poils d'un revers de main et attend la suite, envoyant quelques messages pour excuser son absence.
La suite se ramene sans trop se faire attendre.
Migraine d'abord, de plus en plus violente, sueurs et nausées. Puis une douleur sourde, généralisée. Amplifiant jusqu'à l'insoutenable, dans chacun de ses os, comme des centaines de dards ou de clous venant se vriller dans tout son corps. Une douleur atroce, qui la cloue au sol quand elle ne la souleve pas dans un réflexe incontrôlé.
Très vite épuisée, elle ne fait que subir, encore. Et cela continue,encore. Elle se sent se disloquer, se dissoudre, elle sent ses organes et ses muscles se déplacer. Elle entend avec un écœurement horrifié et dans un état de panique absolu ses vertèbres craquer, ses cartilages grincer, dans une composition arrangée de ses hurlements et halètements.
Pitié ...
Pitié ? Elle est seule. Un constat presque aussi douloureux que le reste qui finit de la plonger dans le désarroi. Elle ne les sent plus.
Le gobelin est là, à deux mètres d'elle, dormant à poings fermés au beau milieu de ce chaos, elle lui en veut. Jamais il n'est présent quand elle a besoin de lui, et elle comme toujours, elle lui racontera, après. Ou peut-être pas.
Seule.
S'il y a un après.
Après des heures de supplice la presque naine parvient à mobiliser son implant pour un appel à l'aide laconique : Un hurlement de douleur, un code d'accès au technopole.
Par chance, l'appel est entendu. Draexia vient, calme, douce, patiente.
Tu n'es pas seule annonce t'elle d'une voix rassurante, dans un écho parfait aux doutes muets de la naine. Début de rémission.
Cosmos
Posté le 29 Mars 2017 à 19:18
#271
NetKeeper
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Le vautour gît toujours chez lui... au sol... baignant dans les effluves... son organisme ayant beaucoup de mal à se remettre du choc brutal lié à la reconfiguration de son adn.
Un vieillard imberbe la peau flétrie... voilà ce qu'il est...
Trouvé au sol... ramassé par un proche en pleur... le vieillard est emmené examiné et mit sous perf
Un vieillard imberbe la peau flétrie... voilà ce qu'il est...
Trouvé au sol... ramassé par un proche en pleur... le vieillard est emmené examiné et mit sous perf
Inconnu
Posté le 30 Mars 2017 à 00:24
#272
Grrrrmmmmph....
Elle se sent prise de nausée, la gueule ouverte tirant au cœur, se redresse avec maladresse souhaitant s'éloigner. Cependant saisit par d'horribles douleurs elle se trouve fixée au sol dans un hurlement.
Rrrrrrrooooooooooarrrrrrrr !!!
Huuuuummmmmph.....
Elle étouffe, halète, le corps se tordant tendu par la souffrance... un os craque.
Elle se sent prise de nausée, la gueule ouverte tirant au cœur, se redresse avec maladresse souhaitant s'éloigner. Cependant saisit par d'horribles douleurs elle se trouve fixée au sol dans un hurlement.
Rrrrrrrooooooooooarrrrrrrr !!!
Huuuuummmmmph.....
Elle étouffe, halète, le corps se tordant tendu par la souffrance... un os craque.
Incompréhension, hébétude, l'esprit glisse, se délie dans l'espace.
RrrRROOOOooooooarrrrr !!!
Elle se contorsionne, les membres sont crispés, le regard fou.
Elle souffre trop pour comprendre quoi que ce soit. Plaie vivante, elle convulse, son corps reprenant au fur et mesure la morphologie d'origine.
La fourrure se détache peu à peu alors qu'elle tente de se traîner... Vain réflexe automatique de survie
Aaaaaah !!!
Elle retrouve peu à peu un timbre humain, les derniers os terminent de se placer, la peau réapparût sur le corps, imberbe...
Aellô se recroqueville tremblante, à l'instar de sa psyché.
Elle se contorsionne, les membres sont crispés, le regard fou.
Elle souffre trop pour comprendre quoi que ce soit. Plaie vivante, elle convulse, son corps reprenant au fur et mesure la morphologie d'origine.
La fourrure se détache peu à peu alors qu'elle tente de se traîner... Vain réflexe automatique de survie
Aaaaaah !!!
Elle retrouve peu à peu un timbre humain, les derniers os terminent de se placer, la peau réapparût sur le corps, imberbe...
Aellô se recroqueville tremblante, à l'instar de sa psyché.
POURQUOI !!!
Le retour à la normale est chaotique. Elle se perd, aspirée par la machine du destin. Les couleurs revenues restent ternes... l'ensemble est bien fade ; et la vie lui laisse un arrière goût de cendre.
Ramassant les pots cassés pour les briser d'avantage, elle n'accepte pas la réalité.
A peine effleurée du bout des lèvres, qu'on lui arrache des mains...
Vivante, elle ne l'était plus. De mauvaise humeur, en colère contre le monde. Elle n'avait pas confiance, doutait de tout. Même les psycho' n'apportaient plus toute leur merveille...
Est souvent la réponse qu'elle apporte quand on lui demande comment ça va à présent.
Une ombre parmi les autres, elle s'efforce de vivre au jour le jour et tente de combler l'abysse. Reprendre peu à peu les habitudes, ses marques... Ses peurs et ses angoisses...
Elle allait devoir se retrouver.
A l'abri des autres, baignant dans son oubli...
Cosmos
Posté le 31 Mars 2017 à 01:54
#273
NetKeeper
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Le vautour récupère lentement depuis sa mise sous assistance médicale. A mesure que les micros machines sont dissoutes, puis assimilées, son corps subit une étrange réaction des plus inexplicable.
De la bête il passe au vieillard... du vieillard il redevient homme, ou du moins vautour... encore que...
A mesure que les jours s'écoulent ses trais et ses chairs retrouvent une certaine vigueur mais son adn semble ne pas avoir oublié le traumatisme qu'il a subit, quelque chose s'est incrusté au sein même de ses nucléotides.
L'homme qui allongé sur le lit semble différent de ce qu'il a été... du moins en apparence... qui peut dire de ce qu'il en est à l'intérieur, là où résidait la bête. A présent qu'elle s'en est allé, qui peut savoir ce qu'il reste d'elle...
Cosmos... le matricule 399... ouvre les yeux...
De la bête il passe au vieillard... du vieillard il redevient homme, ou du moins vautour... encore que...
A mesure que les jours s'écoulent ses trais et ses chairs retrouvent une certaine vigueur mais son adn semble ne pas avoir oublié le traumatisme qu'il a subit, quelque chose s'est incrusté au sein même de ses nucléotides.
L'homme qui allongé sur le lit semble différent de ce qu'il a été... du moins en apparence... qui peut dire de ce qu'il en est à l'intérieur, là où résidait la bête. A présent qu'elle s'en est allé, qui peut savoir ce qu'il reste d'elle...
Cosmos... le matricule 399... ouvre les yeux...
Ellea
Posté le 31 Mars 2017 à 10:38
#274
Auriga
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Cela faisait plusieurs jours qu'ils n'étaient plus que trois. Trois Gnoll qui formèrent une meute à eux, n'ayant pas pu entrer en contact avec les anciens du secteur, mais trois Gnoll qui n'avaient pas régressé ici, en SI.
Les journées sont redevenues calme, les ruelles elles.. restent désertes sauf pour ceux qui avaient déjà l'habitude de sortir. La Gnoll s'occupait sagement de celle qu'elle aimait, la soirée se déroulait bien et elle allèrent dans la chambre, toutes deux calme et amoureuses.. il faut dire qu'à avoir passé tout cette crise à avoir dormis dans des canapé, une bonne nuit dans un lit n'aurait pas été du luxe.
Quelques pas, un couloir puis la chambre.. Mais qu'est-ce que c'est que ça ? Un violent bruit de craquement se fait entendre tandis que la Gnoll manque de trébucher. Elles parviennent au lit, non sans un couinement de douleur. Elle la dépose sur le lit avant de s'écrouler à coté d'elle, prise se spasmes tandis que ses os craquent violemment, sa fourrure tombant par grosse touffe. Elle agonisait dans ce lit, alors que chaque craquement la rapproche de ce qu'elle était avant. Son elfette tentas de calmer ses souffrance, lui donnant de quoi faire taire la douleur que la Gnoll pris sans chercher un oui, ou un non. Elle ressemblait à un pauvre cadavre, sans plumes ni cheveux, sa peau blanche de retour.
Ce matin, dans ce lit,
la demoiselle se réveilleras dans son corps meurtris pas la rémission,
mais de nouveau en temps que vautourde.
Les journées sont redevenues calme, les ruelles elles.. restent désertes sauf pour ceux qui avaient déjà l'habitude de sortir. La Gnoll s'occupait sagement de celle qu'elle aimait, la soirée se déroulait bien et elle allèrent dans la chambre, toutes deux calme et amoureuses.. il faut dire qu'à avoir passé tout cette crise à avoir dormis dans des canapé, une bonne nuit dans un lit n'aurait pas été du luxe.
Quelques pas, un couloir puis la chambre.. Mais qu'est-ce que c'est que ça ? Un violent bruit de craquement se fait entendre tandis que la Gnoll manque de trébucher. Elles parviennent au lit, non sans un couinement de douleur. Elle la dépose sur le lit avant de s'écrouler à coté d'elle, prise se spasmes tandis que ses os craquent violemment, sa fourrure tombant par grosse touffe. Elle agonisait dans ce lit, alors que chaque craquement la rapproche de ce qu'elle était avant. Son elfette tentas de calmer ses souffrance, lui donnant de quoi faire taire la douleur que la Gnoll pris sans chercher un oui, ou un non. Elle ressemblait à un pauvre cadavre, sans plumes ni cheveux, sa peau blanche de retour.
la demoiselle se réveilleras dans son corps meurtris pas la rémission,
mais de nouveau en temps que vautourde.
Mik~44917
Posté le 01 Avril 2017 à 17:16
#275
Sans ADN fixe
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Certains souvenirs s’effaçaient déjà, d'autres resteraient à jamais gravés dans la mémoire de la naine.
Le sentiment de vide restait là, pesant, mêlé à un fort sentiment d'échec de ne plus pouvoir partager avec ceux qui auraient pu être sa meute, qui l'avaient été durant quelques heures.
Elle tachait de se remettre d'aplomb par le travail, abattant un nombre d'heures considérable. Sa colère de se sentir seule retombait, laissant une naine qui devrait quelques excuses à son gobelin.
Le retour à la normale avait puisé fortement dans les ressources de son petit corps d'origine. Maigre, anémiée, chauve, les traces de cet épisode se verraient pour encore un moment si elle ne venait pas à cuver.
Le sentiment de vide restait là, pesant, mêlé à un fort sentiment d'échec de ne plus pouvoir partager avec ceux qui auraient pu être sa meute, qui l'avaient été durant quelques heures.
Elle tachait de se remettre d'aplomb par le travail, abattant un nombre d'heures considérable. Sa colère de se sentir seule retombait, laissant une naine qui devrait quelques excuses à son gobelin.
Le retour à la normale avait puisé fortement dans les ressources de son petit corps d'origine. Maigre, anémiée, chauve, les traces de cet épisode se verraient pour encore un moment si elle ne venait pas à cuver.
Inconnu
Posté le 01 Avril 2017 à 20:15
#276
Plusieurs jours se sont écoulés. La jeune gnolle, de plus en plus habituée à son corps poilu, se rend compte des regards de haine, de la peur qu'elle inspire. Ses sens s'affinent, s'affermissent. Mais elle la sent, la palpe : La haine, la solitude. C'est dans l'odeur, pas juste dans les paroles. Les regards... Elle joue le jeu des gentilles, des petites, mais elle n'a qu'une envie leur arracher la gorge...
- Mais merde c'est pas moi ça ...
C'est peut être la solitude, loin d'une meute qui la rend si hargneuse... Toujours est-il que chaque contact qu'elle a essayée avec le gnoll Lorkah se sont soldés par un refus passif ou la jalousie d'une femme... Tout ça juste parce qu'elle recherche la compagnie des siens... Une meute... La jeune gnoll inspire la peur... Elle sera donc un cauchemars... Pour le moment jouer le jeu, prendre des forces.
- Mais merde c'est pas moi ça ...
C'est peut être la solitude, loin d'une meute qui la rend si hargneuse... Toujours est-il que chaque contact qu'elle a essayée avec le gnoll Lorkah se sont soldés par un refus passif ou la jalousie d'une femme... Tout ça juste parce qu'elle recherche la compagnie des siens... Une meute... La jeune gnoll inspire la peur... Elle sera donc un cauchemars... Pour le moment jouer le jeu, prendre des forces.
Inconnu
Posté le 03 Avril 2017 à 02:47
#277
DERNIER PETIT TEXTE POUR CONCLURE !
_____________________
Elle est là, essayant de reprendre des habitudes, mimant l'ancienne vie comme si elle était sienne. Le travail cadre la routine... Rien ne s'était passé n'est-ce pas, tout allait pour le mieux ... Menteuse. Elle le sait bien.
Que faire...
Elle est là, essayant de reprendre des habitudes, mimant l'ancienne vie comme si elle était sienne. Le travail cadre la routine... Un rien l'agacée, l'humeur exacerbée par une situation qui la dépasse. Que lui arrivait-il ? Elle creuse, creuse et creuse encore... Depuis combien de temps maintenant son corps pourrit sous le déni ?
Que faire...
Elle est là, essayant de reprendre des habitudes, mimant l'ancienne vie comme si elle était sienne. Le travail cadre la routine... Un rien l'agacée, l'humeur exacerbée par une situation qui la dépasse. Elle sent les frissons qui lui parcourent l'échine lorsque ses pensées se tournent vers d'Autres souvenirs. Incontrôlable. Embarquée par un souffle rustique aux touchers rugueux...
Que faire...
Ça ronge...
Braquage sentimental. Lèvres sur la tempe.
BANG !
Explosifs contre la porte.
Dévore...
BOOM !
Nier ne fera rien changer.
Encore...
La trame du destin se pare d'un nouveau fil d'Ariane.
Que faire...
_____________________
Elle est là, essayant de reprendre des habitudes, mimant l'ancienne vie comme si elle était sienne. Le travail cadre la routine... Rien ne s'était passé n'est-ce pas, tout allait pour le mieux ... Menteuse. Elle le sait bien.
Que faire...
Elle est là, essayant de reprendre des habitudes, mimant l'ancienne vie comme si elle était sienne. Le travail cadre la routine... Un rien l'agacée, l'humeur exacerbée par une situation qui la dépasse. Que lui arrivait-il ? Elle creuse, creuse et creuse encore... Depuis combien de temps maintenant son corps pourrit sous le déni ?
Que faire...
Elle est là, essayant de reprendre des habitudes, mimant l'ancienne vie comme si elle était sienne. Le travail cadre la routine... Un rien l'agacée, l'humeur exacerbée par une situation qui la dépasse. Elle sent les frissons qui lui parcourent l'échine lorsque ses pensées se tournent vers d'Autres souvenirs. Incontrôlable. Embarquée par un souffle rustique aux touchers rugueux...
Ça ronge...
Braquage sentimental. Lèvres sur la tempe.
BANG !
Explosifs contre la porte.
Dévore...
BOOM !
Nier ne fera rien changer.
Encore...
La trame du destin se pare d'un nouveau fil d'Ariane.
Que faire...
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