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Loyalistes, Impérialistes, et Hostis (Pt 2).
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La détermination, ou ses nuances que sont le ténacité, la volonté, voir l'acharnement, sont des qualités Impérialistes pour peu que l'on en possède pas à outrance et qu'elle n'obscurcisse pas la vision que l'on a des choses, par exemple en l'équilibrant avec autant de pragmatisme et d'impartialité, ou d'humilité.
Être déterminé, est vital pour un Impérialiste dans les tâches qu'il lui est donné de faire, la plus grande, je le rappelle tout de même pour expliquer pourquoi cela est digne de figurer ici, est l'Elévation de l'Humanité vers une Ere de l'Esprit, vers un plan plus élevé de conscience. Si évidemment il n'y a pas un seul projet clairement défini pour y arriver dans lequel l'Impérialiste doit se consacrer corps et âme, c'est plutôt dans les responsabilités qu'on lui donne pour servir l'Impérium et l'Humanité que ce cache les innombrables voies, pour que la société tout entière se détache petit à petit de la fange de nos instincts primaires qui nous retiennent.
En cela, il faut se doter de la plus grande des déterminations, de la plus dure des volontés, a constamment se donner dans le travail, pour aussi le faire de façon la plus parfaite possible, même si la perfection est un idéal utopique et impossible à atteindre, mais pas à approcher. Même si un projet est mauvais, la détermination qu'on y met est la seule chose qui permettra d'en tirer tous les enseignements de l'échec, voir, même si l'objectif principal n'est pas atteint, d'en tirer le meilleur possible à côté. Il ne faut pas cependant être acharné à outrance comme dit plus tôt pour des projets personnels, et savoir si cela est plus bénéfique, reconnaître l'erreur et faire son Mea Culpa.
L'Honnêteté, est une particularité plus complexe qu'elle en a l'air. Notez par ailleurs que je n'ai pas parlé de qualité, n'en étant pas forcément une, bien que pourtant nombreux sachent l'importance assez extrême que je porte à la franchise et à la vérité pour tout.
L'Honnêteté, se définit comme le fait d'être en accord avec des valeurs, qu'on pourrait même qualifier de vertus, comme celles exposées avant, et donc de ce qu'on pourrait définir comme "bon", ou de façon plus restreinte et déjà moins forcément "bonne", simplement à certains principes, qui cependant sont souvent les Codex, la Loi, la vénération des Enclism et de leur Héritage, mais peuvent tout aussi bien être n'importe quelles règles, dogmes, etc. Que l'on s'est donné pour but de respecter quel qu'en soient les circonstances.
L'Impérialiste se doit d'être nécessairement honnête le plus possible, mais selon des principes bien précis et reconnus avec certitude comme étant Impérialistes, ET aussi, aux autres Impérialistes, aux Loyalistes du SI, et si cela ne porte pas atteinte aux intérêts de l'Impérium, même à ceux n'étant ni l'un ni l'autre, y compris aux Hostis ou tout autre ennemi de l'Impérium. Quel besoin a l'Impérialiste de mentir en règle générale, alors qu'il peut s'élever, s'imposer en dehors comme parangon de Vérité, Raison, et Logique ?
C'est donc à mettre en opposition éventuelle avec l'Honnêteté extrême, qui est de ne jamais mentir quelle que soient les circonstances, l'interlocuteur, et même les conséquences pour l'Impérium. Si mentir est profondément salissant, il faut savoir sacrifier sa vertu.
Le Respect se définit, contrairement à la croyance commune, d'abord comme la capacité, dérivée du mot Impérial "Respicere", de "regarder en arrière" pour tirer les enseignements, les conclusions d'actes accomplis dans le passé, que cela soit un contrat, une promesse, ou simplement un acte. Et évidemment, pas seulement ceux qui sont de son propre fait, mais également ce que d'autres ont fait, ce qui donne tout son sens courant au mot. Il est également contraire au mépris.
Le respect est vital, dans une approche où l'Impérialiste se doit d'être conscient d'au moins partie des faits ou des paroles qui ont engagé un individu, et font ce qu'il est maintenant, cela se rapprochant de la considération voire de l'estime, et donne par là un sens très logique, une approche très impartiale, sur comment définir un individu selon des actes qui se doivent d'être remarqués et remémorés, selon leur nature en accord avec des valeurs, Impérialistes ou non.
Pour passer aux exemples et clarifier tout cela, l'on peut fort évidemment avoir du respect pour tel ou tel Impérialiste, Loyaliste, qu'il ait été un simple camarade, un dirigeant, pour des choses qu'il a faite, et d'ailleurs fort justement, pas uniquement un statut occupé.
Mais on peut fort bien avoir également du respect pour d'autres genres de raisons et personnes. En tant que Général ou Alte Nobilis, il m'est arrivé d'avoir une forme de respect pour certains Hostis... Devant leur propension à honorer une valeur qu'est la bravoure.
Du respect qui n'empêche par exemple pas la haine, contre la Serratus Vellox aussi, malgré l'estime porté à sa dangerosité.
Cette partie du livre se veut généraliste dans la dénomination de "dirigeants", bien qu'une fois encore, les valeurs à cultiver se doivent d'être aussi florissantes que les responsabilités et leur poids pour la société Impériale tout entière se font grandes et lourdes.
Je vais tout d'abord adresser mes mots au doute, un sentiment que l'on connaît que très bien au fur et à mesure que les choix importent.
Le doute est une remise en question, qui ronge les entrailles des loyaux autant que des déloyaux envers l'Impérium. Le doute des choix qui s'offrent, le doute en le futur.
L'Impérium doit être dirigé par des personnes qui savent percer au travers de leurs doutes, et guider par la force, l'exemple, et la confiance, au travers des cavernes de l'incertitude. L'on doit briller d'une Lumière d'autant plus éclatante que l'on veut guider au travers des Ténèbres qui peuvent s'abattre sur l'Impérium.
Un dirigeant de l'Impérium ne peut se laisser enterrer dans les souterrains du doute personnel. Il ne peut pas se laisser troubler par des visions de désastre, d'échec. Il ne peut pas laisser ces vision négatives tourner dans son esprit sans retenue, dans un sens contraire au mouvement productif qu'il doit imprimer et symboliser.
Un dirigeant de l'Impérium, doit garder les yeux clairement fixés sur le smog qui s'illumine sur l'Empire et le bilan de la journée passée chaque matin, pour penser au suivant et à ce qui pourrait être changé, ou commencer à être changé, pour le bien de l'Humanité. Cela s'illustre bien, par la nuance, la ligne tenue qui existe entre considération et hésitation, le premier étant preuve de sagesse, le
second preuve de peur, qui ne devrait retenir de faire les bons choix.
Un dirigeant de l'Impérium, ne peut simplement avancer dans l'inconnu du futur et s'attendre à ce que tout le monde puisse le suivre de la même manière lorsqu'il apprend à se faire plus assuré.
Il doit être capable de regarder par-dessus son épaule, et observer, ainsi que comprendre, les difficultés qu'affrontent les autres, et également celles qu'entraînent ses choix. Ainsi, il doit s'assurer que l'avant-garde reste en contact avec l'arrière-garde, ou c'est lui qui se perdra et entraînera son peuple à sa suite dans le Chaos, là où l'Ordre quasi total doit prévaloir. Mais le Chaos est synonyme de mouvement là où l'Ordre peut-être un immobilisme détrimental à l'Impérium. Ce premier doit donc être présent mais canalisé du bon côté avec une observation assidue, tout comme ceux qui se font Méritants à être élevés. Un dirigeant de l'Impérium suivi, doit savoir manier deux armes pour son peuple, avec égale dextérité : Espoir, et sécurité.
Un dirigeant de l'Impérium, ne peut en aucun cas tourner le dos à Sa Lumière, que l'on peut définir par son Héritage et les Charges allant avec, sinon, seule son ombre mènera sa voie, une voie où il plongera ceux dont il a la charge dans les ornières ténébreuses de sa propre immoralité, irrespect du Bien de l'Humanité.
La route vers une Justice totale, Impériale, est semée par les ornières de l'ambition, du désespoir, tortueuse et perfide, plongée dans l'obscurité du doute et de l'égotisme, le désir de se mettre sur un piédestal. Celui qui la cherche, doit prendre garde à ceux voulant troubler cette quête en tarissant ses espoirs et annihilant ses rêves d'Elévation... Mais il doit aussi rester vrai à lui-même, et sûr de lui.
Un dirigeant de l'Impérium, ne peut simplement avancer dans l'inconnu du futur et s'attendre à ce que tout le monde puisse le suivre de la même manière lorsqu'il apprend à se faire plus assuré.
Il doit être capable de regarder par-dessus son épaule, et observer, ainsi que comprendre, les difficultés qu'affrontent les autres, et également celles qu'entraînent ses choix. Ainsi, il doit s'assurer que l'avant-garde reste en contact avec l'arrière-garde, ou c'est lui qui se perdra et entraînera son peuple à sa suite dans le Chaos, là où l'Ordre quasi total doit prévaloir. Mais le Chaos est synonyme de mouvement là où l'Ordre peut-être un immobilisme détrimental à l'Impérium. Ce premier doit donc être présent mais canalisé du bon côté avec une observation assidue, tout comme ceux qui se font Méritants à être élevés. Un dirigeant de l'Impérium suivi, doit savoir manier deux armes pour son peuple, avec égale dextérité : Espoir, et sécurité.
Un dirigeant de l'Impérium, ne peut en aucun cas tourner le dos à Sa Lumière, que l'on peut définir par son Héritage et les Charges allant avec, sinon, seule son ombre mènera sa voie, une voie où il plongera ceux dont il a la charge dans les ornières ténébreuses de sa propre immoralité, irrespect du Bien de l'Humanité.
La route vers une Justice totale, Impériale, est semée par les ornières de l'ambition, du désespoir, tortueuse et perfide, plongée dans l'obscurité du doute et de l'égotisme, le désir de se mettre sur un piédestal. Celui qui la cherche, doit prendre garde à ceux voulant troubler cette quête en tarissant ses espoirs et annihilant ses rêves d'Elévation... Mais il doit aussi rester vrai à lui-même, et sûr de lui.
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Hostis
Introduction, page 44 à 45.
I - Des différents Hostis, page 46 à 49.
- Les Habitants, page 46.
- Les barbares, page 47.
- Les Libre-Penseurs, page 48.
- Les Habitants, page 46.
- Les barbares, page 47.
- Les Libre-Penseurs, page 48.
Conclusion, page 49.
Je commencerais ce livre en m'excusant envers tout ceux espérant me voir parler en longueur de la Rébellion pour différentes raisons.
Malheureusement comme vous aurez pu le remarquer, ce livre troisième est court, ce qui s'explique notamment par la limitation du format que vous avez entre les doigts si il est constitué de papier, ainsi que du fait de n'avoir jamais vécu parmi la Rébellion sauf hors de vue dans le cadre des tâches qui me furent confiés. Dites tâches qui, cependant, m'ont fait correspondre avec nombre de rebelles au fil de la dernière décennie bien que la plupart ne le soient plus.
La Rébellion est également une idéologie avec ces propres idées, valeurs communes, buts, pour lesquels il est important de dénoter deux choses : Premièrement, c'est une idéologie peut-être plus encore moribonde que l'Impérialisme, et les Hostis reconnus
pratiquement unanimement comme incarnant les valeurs rebelles sans aucune concession, sont rarissimes. En fait, l'on parle même plutôt rarement de ce sujet, selon les groupes.
Enfin, plus encore aussi que l'Impérialisme, mais là, il est important de préciser, que c'est relatif à l'idéologie Rebelle, chacun en a sa propre définition et de façon très assumée, bien que presque tous se rassemblent autour d'une en particulier qui incarne justement cette totale indépendance les uns les autres : La Liberté.
C'est une valeur qui est, pour ceux se souciant d'être considérés rebelles ou l'étant, centrale et suprême pour la Rébellion, autant a appliquer de façon interne au secteur, qu'à l'extérieur. Liberté vis-a vis de ce que l'on peut faire au sein du secteur, quoi que souvent avec la limitation de ne pas porter atteinte au bien commun de la Rébellion, mais liberté aussi, évidemment, vis-a-vis de l'Impérium.
A part la liberté, il ne semble pas y avoir réellement de valeur commune entre les Rebelles, du moins de valeur commune bien précise qui ne soit pas aussi basiques qu'évidentes, tel que le bien du secteur, la compétence, la force, etc.
Une chose importante a noter cependant : J'ai parlé plus tôt de certaines valeurs, comme étant Impérialiste... Cependant, il est important de noter que cela n'empêche pas un Rebelle d'en porter partie voir totalité, mais de ne pas pour autant croire en le système Impérial. Ce n'est pas l'idéologie qui définit les individus et leurs valeurs, mais bien dans l'autre sens, les individus, s'attachant a certaines valeurs, qui penchent vers des idéologies précises selon leur lieu de naissance, les valeurs qu'ils mettent en exergue, et leurs idées.
Enfin, plus encore aussi que l'Impérialisme, mais là, il est important de préciser, que c'est relatif à l'idéologie Rebelle, chacun en a sa propre définition et de façon très assumée, bien que presque tous se rassemblent autour d'une en particulier qui incarne justement cette totale indépendance les uns les autres : La Liberté.
C'est une valeur qui est, pour ceux se souciant d'être considérés rebelles ou l'étant, centrale et suprême pour la Rébellion, autant a appliquer de façon interne au secteur, qu'à l'extérieur. Liberté vis-a vis de ce que l'on peut faire au sein du secteur, quoi que souvent avec la limitation de ne pas porter atteinte au bien commun de la Rébellion, mais liberté aussi, évidemment, vis-a-vis de l'Impérium.
A part la liberté, il ne semble pas y avoir réellement de valeur commune entre les Rebelles, du moins de valeur commune bien précise qui ne soit pas aussi basiques qu'évidentes, tel que le bien du secteur, la compétence, la force, etc.
Une chose importante a noter cependant : J'ai parlé plus tôt de certaines valeurs, comme étant Impérialiste... Cependant, il est important de noter que cela n'empêche pas un Rebelle d'en porter partie voir totalité, mais de ne pas pour autant croire en le système Impérial. Ce n'est pas l'idéologie qui définit les individus et leurs valeurs, mais bien dans l'autre sens, les individus, s'attachant a certaines valeurs, qui penchent vers des idéologies précises selon leur lieu de naissance, les valeurs qu'ils mettent en exergue, et leurs idées.
Ceci est une catégorie que je fais à dessein comme étant très large.
Pourquoi ? Car il se trouve qu'une certaine majorité du SR, dans mon opinion, s'ils sont plus ou moins rebelles dans l'âme, est simplement née là-bas, et ne sont souvent pas combattants, ni réellement engagés dans un dessein commun, plus encore abusés et désabusés que la population du SI peut l'être occasionnellement tour à tour par l'inactivité ou la tyrannie se passant la main sur le SR.
Les habitants sont soudés entre eux en de nombreux groupes aux liens plus ou moins forts à l'intérieur mais aussi entre les groupes et ce quelle que soit leur taille, souvent regroupés autour d'une ou d'un groupe d'entreprises, ou des projets, des goûts communs, quoi que ce soit qui soit propre à fédérer les individus autour de quelque chose dans lequel ils se reconnaissent, quelque chose qui leur plaît et porte parfois même la marque de chacun.
En principe ce sont les décisions de cette masse qui imprime la cadence du système rebelle, quand ce n'est pas le LR, selon à quel point ce qu'on appelle la "Volonté Populaire" est respectée.
Tantôt opprimés, manipulés, exploités, ou au contraire décisionnaires de leurs dirigeants, unis, ils sont une force à ne pas sous-estimer aussi formidable qu'elle soit difficile à mettre en branle dans une direction.
Du sans emploi au LR en passant par l'employé de boutique ou le DG, l'habitant est en somme le rebelle, combattant ou non, qui pourquoi pas se bat contre l'Empire, mais évite en général le conflit avec d'autres rebelles, jusqu'à totalement s'isoler, pour survivre.
Cette dénomination s'étend a certaines types de rebelles bien précis, et au final peu nombreux en comparaison de la taille totale du secteur. Si le terme de barbare peut certes s'élargir en désignant tout ceux attaquant le SI pour en cuver tout les habitants qu'ils croisent comme cela est souvent (toujours ?) le cas lors d'une attaque avec succès, il désigne aussi a plus forte raison ceux qui massacrent les civils, en général qui d'ailleurs ne sont pas de taille a se défendre, à la chaîne, que cela soit en SI ou directement chez eux, en SR.
Cette barbarie, au même rang que le comportement animal, peut-être même pire eu égard à la lâcheté d'attaquer des personnes ne pouvant ce défendre ou riposter, d'ailleurs souvent en nombre supérieur qui plus est, quasiment unanimement condamnable par les critères idéologiques quels qu'ils soient, comme étant, au moins, déshonorant.
Ces individus opèrent ainsi pour de nombreuses raisons, bien souvent avec un motif vénal, qu'il soit direct, pour s'enrichir en pillant au passage, ou indirect, en prenant des contrats prévoyant une quelconque rémunération pour des meurtres à la chaine, voire dans un intérêt stratégique économique, comme pour pousser a bout le personnel d'une boutique voir d'une organisation publique, et par ricochet, intentionnellement ou non, petit a petit, un secteur entier.
Souvent aussi, l'inimitié grandissant envers eux, ils doivent se protéger par les armes des attaques grandissantes qui ce font contre eux, même si elles sont purement de l'ordre des mots, ou simplement dans le but de prendre le pouvoir de façon de plus en plus assumée.
Le Libre-Penseur est le nom que je donne a une hypothétique et très mince catégorie de rebelles, supérieur à l'Habitant, soit dans sa propension a incarner ou promulguer des valeurs rebelles, soit, plus couramment, a s'investir avec assiduité pour son secteur tout entier, souvent d'ailleurs en encourageant, et en passant, par la Volonté Populaire. Si ils s'adaptent au cadre du SI, ils font pourtant de bons transfuges.
Ainsi, même sans être combattant, dirigeant, voir même particulièrement connu, il se fait fort de défendre les idéaux rebelles et ce qu'il y a de mieux pour le secteur et son peuple, au moins en débattant à l'Agora ou sur des EM similaires.
En général, même à côté de cela, le Libre-Penseur se plonge dans des activités propres a stimuler un aspect de son secteur, selon ses compétences et ce qu'il juge être urgent de remédier. En cela, il n'est absolument pas dénué de certaines qualités qui font aussi les Impérialistes ou du moins les Loyalistes les plus investis.
Car, en somme, le Libre-Penseur, si il n'est pas forcément doué d'une grande abnégation, ou détermination a améliorer les choses, est tout du moins souvent impartial, débattant et prenant position non pas selon les personnes qu'il a à ses côtés ou contre lui, mais uniquement d'après ce qui dans son opinion profiterait au secteur tout en respectant et suivant les idées rebelles, bien qu'elles soient très nombreuses. En quelque sorte, ils sont la Noblesse sans statut ni pouvoir du SR, leur unique outils étant leur verve et leur raison qui les font débattre parfois de façon fort enflammé mais pas moins longuement, de multiples sujets, qu'importe le cadre, circonstances.
En conclusion, il convient d'être extrêmement lucide et de n'absolument pas, de base, considérer que la Rébellion et sa déclinaison d'idées, de personnes les suivants, puisse être comparé sans certaines cautions à l'Impérialisme, seul autre exemple équivalent existant actuellement, mais pas opposé exact.
La nature même de l'idéologie en fait une beaucoup plus chaotique et libertaire, et si l'on peut, et encore, difficilement regrouper et établir des classifications d'Impérialistes, par exemple Impérialistes religieux ou non, cela est totalement impossible avec la Rébellion, chaque individu ayant des opinions sensiblement différentes les uns des autres et totalement, ouvertement, revendiquées.
Cela en fait certes un système beaucoup plus capable de mouvements rapides, mais qui s'empêtre en général sans le moyen de votes populaires dans des débats sans fin, sans accords ni compromis.
Ce manque commun est la principale raison pour laquelle il n'y a toujours aucun cadre communément et unanimement reconnu en SR, qui du moins ne soit pas désavoué quelques jours plus tard.
Au delà de l'attachement à la liberté/secteur, la seule chose qui peut éventuellement unir les rebelles, c'est l'unique menace commune, celle de l'Impérium, pouvant en des temps records unir le barbare au rebelle qu'il cuvait chaque petit matin, côte a côté. L'on peut ainsi dire que tout comme l'autorité est intrinsèque au système Impérial, la violence l'est pour le système Rebelle. Qui ne peut pas se défendre, ne peut que longer les murs ou se mettre derrière quelqu'un pouvant remplir ce rôle. En fait, on peut même s'amuser a reprendre toutes les valeurs et défauts traités dans ce livre, et faire la part desquels sont avantagés en SI ou SR, par la présence d'un cadre clair ou non.
La nature même de l'idéologie en fait une beaucoup plus chaotique et libertaire, et si l'on peut, et encore, difficilement regrouper et établir des classifications d'Impérialistes, par exemple Impérialistes religieux ou non, cela est totalement impossible avec la Rébellion, chaque individu ayant des opinions sensiblement différentes les uns des autres et totalement, ouvertement, revendiquées.
Cela en fait certes un système beaucoup plus capable de mouvements rapides, mais qui s'empêtre en général sans le moyen de votes populaires dans des débats sans fin, sans accords ni compromis.
Ce manque commun est la principale raison pour laquelle il n'y a toujours aucun cadre communément et unanimement reconnu en SR, qui du moins ne soit pas désavoué quelques jours plus tard.
Au delà de l'attachement à la liberté/secteur, la seule chose qui peut éventuellement unir les rebelles, c'est l'unique menace commune, celle de l'Impérium, pouvant en des temps records unir le barbare au rebelle qu'il cuvait chaque petit matin, côte a côté. L'on peut ainsi dire que tout comme l'autorité est intrinsèque au système Impérial, la violence l'est pour le système Rebelle. Qui ne peut pas se défendre, ne peut que longer les murs ou se mettre derrière quelqu'un pouvant remplir ce rôle. En fait, on peut même s'amuser a reprendre toutes les valeurs et défauts traités dans ce livre, et faire la part desquels sont avantagés en SI ou SR, par la présence d'un cadre clair ou non.
Et voilà, c'est enfin fini.
Je n'aurais pas la prétention d'avoir suffisamment traité d'AUCUN des sujets abordés dans ce livre suffisamment, et qui plus est, un livre, rédigé par une seule personne, n'est après tout qu'une fenêtre sur les pensées de l'écrivain et son seul point de vue, même si il a pu essayer de ce placer dans de nombreux autres, s'appuyer sur des témoignages, son expérience personnelle et celles d'autres.
J'encourage donc a avoir une pensée critique sur ce qui a été exposée dans ce livre, et surtout, relative aux situations que vous vivez, selon propre point de vue. De toute façon, la Vérité absolue n'existe pas, et l'on ce doit de chacun relativiser les choses a son échelle.
J'ajouterais que ce qui fait qu'une personne prend, plus qu'elle ne donne à l'Humanité, quel que soit son idéologie ou son secteur, dépend uniquement de sa réaction aux interactions quelles qu'elles soient qu'il engage. Prendre le mal, pour en faire le bien, c'est cela, la réaction alchimique qui transforme, Elève, l'individu en une forme de Pierre philosophale. Cela, et le mouvement, qu'il faut sans cesse tenter d'amplifier a son niveau, assurent la pérennité de l'Humanité.
Mes remerciements vont aux très nombreuses personnes, que leur influence ait été positive ou négative sur moi, qui ont permit de forger ces opinions diverses. A celle que j'aime aussi, qui me donne la force de continuer de plus belle...
Mais elles vont plus particulièrement aux très nombreux disparus...
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07 Novembre 2016
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