EDC de 34487
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Dora Depreda est très grande, athlétique, bien musclée.
Yeux noirs, cheveux noirs, le teint légèrement verdâtre.
Vous l'observez depuis quelques instants, intrigué,
lorsqu' elle penche là tête sur le coté, pour replacer sa très longue chevelure.
Ce mouvement a pour effet de dévoiler pendant un instant ses oreilles pointues.
Plus de doute:
C'est une orc, ce que tendrait à confirmer les peintures de guerre que souvent, elle se fait sur le corps et le visage.
Son agrimensor n'est jamais bien loin d'elle.
Parfois, elle aime se parer de quelques peaux de bêtes, probablement fourrures de rats géants tués dans les ST, tel ce pagne, ou bien encore cette peau qu'elle jette sur ses épaules pour se protéger des nuits fraiches.
Yeux noirs, cheveux noirs, le teint légèrement verdâtre.
Vous l'observez depuis quelques instants, intrigué,
lorsqu' elle penche là tête sur le coté, pour replacer sa très longue chevelure.
Ce mouvement a pour effet de dévoiler pendant un instant ses oreilles pointues.
Plus de doute:
C'est une orc, ce que tendrait à confirmer les peintures de guerre que souvent, elle se fait sur le corps et le visage.
Son agrimensor n'est jamais bien loin d'elle.
Parfois, elle aime se parer de quelques peaux de bêtes, probablement fourrures de rats géants tués dans les ST, tel ce pagne, ou bien encore cette peau qu'elle jette sur ses épaules pour se protéger des nuits fraiches.
Fière et élancée, elle vous regarde la tête droite,
du haut de ses 1 m 90.
Presque toujours, elle regardera son interlocuteur dans les yeux.
Un esprit perspicace pourra en déduire que ce n'est pas de la provocation.
Il s'agit juste de sa façon d'être, ça semble naturel pour elle.
Ses mouvements sont lents, précis, surs.
Quelque chose de sauvage et de profondément farouche se dégage de l'ensemble de sa personne,
Comme un souvenir lointain porté par le vent glacial depuis une steppe aride,
comme le cri primitif de quelque tribu ancestrale maintenant décimée par l’holocauste.